Derniers Avis : The Warrior's Way - Page 2

J'y suis tellement allé à reculons qu'au bout de 80 jours je me suis rendu compte être revenu à mon point de départ. Et au final j'ai passé un super moment devant ce Western-Wu Xia-fantastique. Pour résumer c'est complètement invraisemblable, mais aussi totalement assumé. Ça se sent dans l'interprétation freestyle des acteur avec un gros plus pour Geoffrey Rush tout bonnement excellent. La réalisation est superbe, spectaculaire. Elle se permet de franchir des limites que certains frileux hésitent toujours en encore à dépasser. La direction artistique est aussi de la partie avec ses plans de toute beauté et l'un des plans final à tomber. En dehors d'un scénario classique, mais captivant, c'est un divertissement de haute volée et un Western original dans son traitement.

excellent film, avec une kate éblouïssante. un mélange de western et de film de combats chinois. un vrai plaisir.

Sublime. Malgré mes réticences en lisant le synopsis, je n'en ai pas perdu une seule miette. La réalisation m'a laissé une agréable sensation d’irréelle, quasi onirique, en plus d'être gâtée par des acteurs à la hauteur de ce magnifique visuel. Un choc improbable entre l'orient et l'occident. Les scènes de combats sont réalisées avec une esthétique remarquable, le résultat est pour le moins époustouflant. Pourtant pas fan du genre, je suis tombé sous le charme dès la première minute. Une excellente découverte.

Un bon film surprenant par la qualité des images somptueusement mise en scène, par contre le scénario est trop classique et prévisible pour nous passionner. Un divertissement correct néanmoins!!

western heroic fantasy mélangeant les genres the warrior's way est un film divertissant. Le réalisateur a su créer un univers assez original. Pourvu d'une réalisation réussie, surtout dans les scénes de combat. Le hic est dans le scénario un peu trop convenu. 12/20

Un point pour la photo et .. c'est tout. L'intention de départ de mélanger ciné asiatique et western est intéressante mais le résultat est plus que raté : ce film est sans intérêt. mais que s'est-il passé dans la tête des producteurs et du réalisateur pour que l'on retrouve dans ce film tous les défauts d'une partie du cinéma asiatique (scénario très, très léger, dialogue minables et sans intérêts, acteur principal inexpressif) sans ses qualités (sens cachés, psychologie des protagonistes travaillée, combats chorégraphiés, etc.) ? Et qui est ce scénariste qui à un jour commis cette histoire :
"- on va prendre un chinois, euh non, un assassin coréen du japon, un bébé, une rousse, un nain, un cirque, un village fantôme habité quand même et deux méchants, le tout sous un ciel violet!
- Et le scénario ?
- On s'en fout, ils feront rien pendant tout le film mais on va faire tout le décor en numérique pour utiliser tout le budget!"
Si vous aimez les westerns, ne le regardez pas car l'atmosphère et la tension sont inexistantes. Si vous aimez les films de samouraïs ou d'arts martiaux en général, passez aussi votre chemin car les combats sont extrêmement mous, comme le combat final (honteux!), ou inexistants : la plupart du temps le héros se contente de passer rapidement au milieu de ses adversaires qui s’écroulent après avoir reçu d'hypothétiques coups de katana.
Ça m'a fait penser à Ninja Assassin en moins bon (déjà pas évident) et au far west. Bref, je vous le déconseille.

Warrior’s Way est un très bon film avec des images somptueuses et une histoire plaisante.

Le film débute avec une séquence d’action avec des images plutôt sombres (faisant penser à l’ambiance de Storm Warriors) et dont un décor sur un moment qui fera penser au Secret des poignards volants.

Il faut attendre un peu pour voir un peu d’actions mais le film reste divertissant avec une histoire sympathique présentant des personnages intéressants amenant parfois un peu d’humour. Les scènes d’actions sont réussies et alléchantes accompagné de quelques ralentis fort sympathique. Les ninjas-corbeaux sont originaux.

The Warrior’s way est donc un film plutôt simple dans l’ensemble mais qui assure le spectacle et le divertissement.

Sur une idée maintes fois utilisé, un guerrier samouraï fuit sa patrie pour le nouveau Monde et y refaire sa vie pour échapper à son passé. Ici, le film est traité avec une grande maîtrise des effets spéciaux et les combats sont réglés au millimètres pour un spectacle étonnant et même époustouflant pour ce type de production passée relativement inaperçue et mêlant acteurs coréens et américains dans l'ouest américain au centre d'une petite ville paumé dans le désert et habité par les artistes d'un cirque qui tente de survivre. Le héros plutôt taciturne et solitaire, ancien tueur froid et sans pitié, retrouve le sens de la vie et de l'amour auprès d'un bébé, seule rescapé d'un clan dont il a massacré la plupart des membres. Son propre clan, se sentant trahi par son hésitation devant l'enfant le poursuive sans pitié et l'oblige donc à l'exode sur des terres lointaines.

Évidement, après un moment d’accalmie, le tumulte de la violence se déchaîne lorsqu'un tueur sadique et sa bande décide de s'en prendre à cette petite ville et ils seront bientôt rejoint et confronté également aux membres de l'ancien clan de Yang qui a retrouvé sa trace.

Le héros et acteur d'origine coréenne: Dong-gun Jang est vraiment excellent et c'est avec un grand plaisir que l'on retrouve Geoffrey Rush, décidément un acteur caméléon et la très belle et envoûtante et très bagarreuse et revancharde: Kate Bosworth très à l'aise dans cette production qui aurait pu passer pour une simple série B si la réalisation stylée, classieuse et spectaculaire de Lee Sngmoo donne au film un air de blockbuster estival raffiné et haletante. En outre, l'utilisation du "Bullet Time" très efficace et utilisé à bon escient renforce la brutalité, la puissance et l'efficacité meurtrière des combats.

Un bon spectacle qui rappelle un peu Dr Wong en Amérique ainsi que la série Kung Fu par certains côté avec un soupçon de Storm Warriors, et de Baby Cart.....

Il est des soirs où une sorte de grâce inhabituelle vous touche; celui où j'ai vu The Warrior's Way en est un. On pouvait s'attendre à quelque chose de moyen et je voulais me détendre avec un film d'action. Je fus servi au-delà de mon attente car plus que l'action (au rendez-vous), je rencontrai une ambiance très réussie, une "atmosphère" même, une indéniable profondeur derrière un scénario sans réelle surprise, un film étonnant, dérangeant parfois tant il mêle les genres, les images, l'ultra-sophistiqué et l'épuré, le dépouillé.
Il est vrai que cette Asie-là me parle, elle qui parle de quête, d'absolu, de sérénité mainte fois recherchée et si rarement atteinte! Cette âme tendue vers un au-delà du monde fait de pureté, de lumière apaisante et d'inaltérable vide a des échos forts en moi - d'où sans doute une part de ma satisfaction, de mon plaisir... La voie du guerrier m'a toujours fascinée tant elle recèle de contradictions apparentes: l'accès à une sorte de perfection morale, d'intouchabilité absolue par les armes, le combat, le sang versé. Exemplaire ici est le cheminement intérieur, sinueux, tâtonnant, hésitant mais ferme cependant, inflexible, du héros qui est à la fois un surhomme combattant et un infirme émotionnel que la vie simple et rude des colons de l'Ouest américain va épanouir - comme les fleurs qu'il cultive, vivant symbole de sa floraison intérieure.
J'ai alors oublié l'histoire (intéressante), les décors (réussis), les acteurs (plutôt bons!), le sang versé et les larmes répandues pour me laisser porter par une esthétique très spéciale faite de plans colorés, aux ralentis contemplatifs, aux combats ritualisés et stylisés à l'extrême, ballets mortels dans lesquels fleurissent les roses de sang répandu. Incroyable et réussi mélange d'Orient et d'Occident, d'anecdotique et d'éternel, de personnel et d'intemporel, de kistch et de dépouillement, de rires et de larmes, le film est fort, marquant.
J'aime les films qui parlent d'éternité, de quêtes inassouvies, de chemins sans retour.

Sorti directement en DVD dans le courant de l'année 2010, un peu noyé parmi les dizaines de films d'arts-martiaux asiatiques, c'est essentiellement la présence du très bon Geoffrey Rush qui a attiré mon attention. Et, même si le bougre britannique campe un rôle secondaire et plus drôle que mémorable, "The Warrior's Way" étonne -favorablement bien sur- sur plusieurs points; A commencer par une direction artistique qui n'est pas née de la dernière pluie et qui a su pertinemment allier l'artificiel et la pureté de l'image. Les décors, amplement modifiés par informatique (ciels rougeoyants, paysages) sont certes un peu kitchs mais collent parfaitement à la personnalité du film. Au même titre, les combats usent d'artifices bien rodés, qui plairont certainement aux néophytes et choqueront les fous du genre, de la "vielle école". Car "The Warrior's Way" prend le risque de proposer des clins d’œils omniprésents à deux genres pourtant éloignés: le cinéma de combat asiatique et le Western bien poussiéreux à la "Sergio Leone". Un pari osé et totalement maitrisé, harmonieux même. L'histoire est bien entendu simplissime mais son contenu comme la qualité de la réalisation ne sont pas piqués des vers. Tout est conçu afin de détendre le spectateur (sans user d'artifices ultra-convenus et usés)... mais pas que puisqu'une dimension poétique et presque philosophique amenée par l’énigmatique Yang, redoutable fine lame à la recherche de la paix intérieure, fuyant son sanglant passé dans les terres "désolés" de l'ouest américain (pas si désolées que ça puisqu'il trouvera amour et joie). Mais le passé finira bien entendu par le rattraper, sans compter des violents mercenaires saccageant le village, violant, brulant et pillant. L'humble et ésotérique héros va donc devoir refaire parler son katana, car personne n'échappe à son destin n'est-ce pas? J'en ai assez dis et je me suis peut-être un peu égaré, mais j'espère vous avoir convaincu des qualités qui abritent "The Warrior's Way". Un film comique et touchant, violent et divertissant comme on aimerait en voir davantage. 15/20

J'ai trouvé ce film excellent et bizarre à la fois. Bizarre parce que l'histoire est un peu brouillon, elle n'a pas beacoup de sens, de logique, ensuite les combats du héros ne sont pas assez voyant et sont trop rapide. Ensuite excellent pour plusieurs raisons, le casting, surprenant et extremement bien choisi, Dong-gun Jang, que je ne connais pas beaucoup colle très bien au personnage, froid et vide; Geoffrey Rush, toujours aussi drôle et efficace, Kate Bosworth rajonte la touche de charme du film, excellent. Par la suite, malgré les combats pas assez visible, ils sont quand même impressionant. Ensuite la musique est tres bien ancré dans le film, touchante, enigmatique. Pour conclure je dirais que ce film est pour les adeptes du genre, un western mélangé aux art martiaux, une idée originale qui a fait son effet !

un film original et sympa ,j'ai bien aimé

Film plutôt extravagant mais qui parvient tout de même à attirer l'attention notamment grâce au trio d'acteurs principaux qui éblouissent par leurs prestations (mention spéciale à Dong-gun Jang, pour moi le meilleur acteur de ce film et le prochain Cho Yun-fat) et la surprenante qualité d'image. à voir!

The warrior’s way est un film comme on aimerait en voir plus souvent, d’un point de vue de son originalité qui mélange à la fois le Western et les Ninjas. Ça peut paraître un peu farfelu à première vue, mais le résultat est plus qu’étonnant !

Tout d’abord, il faut le souligner que le scénario est très surprenant. Lee Sngmoo nous a livré un travail bluffant, à vouloir mélanger deux genres, un risque d'assez grande ampleur, mais qui réussi, finalement, à nous surprendre, à nous épater !

Cette histoire d’un homme qui tue ses ennemis mais qui sera dans l’incapacité de tué un bébé, et finira par le protéger en s’installant dans une ville de l’Ouest, mais où certaines choses prendront de l’ampleur, et termineront au massacre, comme dans tous films de Ninjas.

Ce côté Western en plus, était très intelligent de la part du scénariste, je trouve, car ça a permit de s’écarter un peu du fantastique, en allant vers une dimension plus libre, en élargissant les possibilités, à imaginer des situations qui ne pourraient être le cas dans un film de Ninjas, en y incrustant des décors de Western, mais avec une histoire se mélangeant à celle de l’Homme en question qui va se loger dans cette ville de l’Ouest, où des « truands » viendront s’amuser un peu avec les quelques derniers survivant, à y planter cette atmosphère de terreur, à s’amuser avec la vie des gens de cette petite ville (qui ressemble plutôt à une épave qu’autre chose).

L’histoire est donc originale, très palpitante, avec une série de retournement de situations, MAIS le hic reste bien cette série de clichés typiquement américains, où un homme tombe amoureux d’une jeune femme, ravissante, où un homme se croit un peu comme l’élite, celui qui peut régler n’importe quelle situation, où un homme, une fois à son arrivée, il aura réussi à redonné un coup de neuf, de bonne attitude aux habitants. Enfin voilà, l’histoire comporte ses défauts, mais qui sont restent peu dérangeants ! Et puis, le coup du méchant qui devient gentil, prend conscience de ce qu'il est en train de faire, c'est peut être pas super original, mais ce qui a autour de ce détail permet de nous captiver d'autant plus!



Concernant le casting, il est juste parfait. Nous avons Dong-gun Jang, dans une prestation très étonnante car dans une bonne partie du film, il semble muet, on fait plus attention à la voix off, qu’à lui, et ce qui est d’autant plus intéressante, c’est son jeu vraiment captivant, il arrive à rester sérieux, à faire passer ses émotions à travers l’écran, soit un bon acteur, comme on en demande toujours !

Puis, nous avons Kate Bosworth, ainsi que Geoffrey Rush, deux acteurs qui complètent un casting déjà palpitant. Suivi de Danny Huston et Tony Cox, Tomas Haden Church, et Ashley Jones, des acteurs de second rôle, mais qui en font un casting quasi 4 étoiles. Soit, sur ce coup, Lee Sngmoo a fait les bons choix, de quoi attirer notre attention dès les premières vues du trailer.

Enfin, les effets visuels sont eux vachement très mitigés. On ne sait pas trop si c’était l’intention du réalisateur d’en faire un film avec des effets spéciaux qui sont très peu réussi, mais d’un autre côté, j’ai l’impression que c’était dans son intention, car finalement on y prenait goût, et je trouve que ça donnait une touche d’originalité au film.



En fin de compte, j’ai trouvé « The Warrior’s Way » très bon, à la limite du chef d’œuvre. Avec un casting quasi 4 étoiles, nous présentant une histoire juste palpitante, un film que je conseil vivement à voir, en version original pour un meilleur rendu garanti.

Concernant ma note, je donne un bon gros 17/20. D’un côté le film comporte ses qualités, mais il y comporte aussi ses défauts, malheureusement, mais ça reste une très bonne réussite, où on n’en demande toujours plus une fois le film terminé.

Un film esthétiquement bien travaillé, je n'ai cependant pas accroché au mélange Far-West et Samouraï.