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    Et Dieu... créa la femme
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    Guillaume182
    Guillaume182

    127 abonnés 1 194 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 août 2011
    Brigitte Bardot brille de mille feux, c'est simple on ne voit qu'elle d'ailleurs toute l'histoire est centrée sur elle.

    Une femme qui trouble les hommes pour finalement semer la pagaille dans la tête des hommes au point qu'ils se battent pour elle.

    Pas indispensable mais à voir pour Bardot.
    Attigus R. Rosh
    Attigus R. Rosh

    184 abonnés 2 481 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 décembre 2016
    Et Dieu … créa la femme est un film correct mais pas si mémorable que ça, pour voir que c'est considérer comme un film culte.
    Il faut admettre que c'est le genre de film qui résiste mal à l'air du temps. Si la fameuse scène de nu de Brigitte Bardot (qui n'en est pas vraiment une, on ne voit que les jambes et le dos de l'actrice) faisait sensation à l'époque, propulsant Brigitte Bardot au rang de sex-symbol, elle serait aujourd'hui somme toute assez banale.
    L'histoire n'a pas beaucoup d'intérêt, pouvant se résumer à trois hommes se battant pour une femme.
    Les acteurs ont le mérite d'être bon (même si le jeu d'actrice de Bardot m'a un peu laissé de marbre).
    Ça ne m'a pas plus marqué que ça.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 9 avril 2011
    je n'ai vraiment pas accroché. L'histoire m'a vraiment peu interesse, meme en resituant a l'epoque.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 4 juin 2012
    La musique introductive si chatoyante et mordoré ainsi que la première scène , le dévoilement gracieux et scintillant des jambes de Juliette résume l'ensemble du film : une comédie de moeurs fiévreuse porté à bout de bras par l'icône féminine de l'histoire du cinéma français , Brigitte Bardot qui tient ici à 22 ans le 1er grand rôle de sa carrière. Cette délicate alliance de la jeunesse , du désir et de l'amour , de la fidélité repose sur les chassés-croisées d'un quatuor amoureux au centre duquel Juliette , jeune orpheline frivole et libre , impertinente et séductrice lie et délie les passions des hommes sous l'emprise de son charme absolu. C'est léger , les décors du Sud-Est de la France y étant pour beaucoup , on est inévitablement séduit par BB (son charme plus que son jeu d'ailleurs) moins par ses prétendants qui ont une tendance certaine à surjouer leur rôle pour accentuer leurs différences (Le timide gringalet , l'homme séducteur , le riche manipulateur). Malheureusement c'est trop léger , l'intrigue et le scénario ne reposant pas sur un fond qui rendrait le film plus puissant. A voir pour sa culture personnelle sans s'attendre à des miracles.
    Nadia T
    Nadia T

    3 abonnés 419 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 avril 2018
    Magnifique culte surtout pour St tropez on voit comment était le port avant... Et c'est la qu'on se rencontre qu il n'y a pas d'énorme changement. Habitant à côté ce film me touche. St tropez est magique et l à toujours été ! Merci à ce film de le mettre en valeur !
    Redzing
    Redzing

    1 055 abonnés 4 407 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 décembre 2022
    Il est des films dont l’impact sur la pop culture est tellement énorme, qu’ils en deviennent des œuvres considérées comme majeures. Ce indépendamment de leurs qualités intrinsèques... C’est évidemment le cas de « Et Dieu créa… la femme ». Si sa première sortie française fut timorée, le film cartonna à travers le monde, notamment au USA et au Royaume-Uni, où il déchaîna les passions. Les scènes sensuelles avec Brigitte Bardot, et ce rôle de jeune femme aussi insolente que fraîche, faisant autant tourner les têtes que couler de l’encre.
    Les acteurs principaux virent leur carrière propulsée en avant. Tandis que Brigitte Bardot devint une égérie des 60’s, de la sexualité, ou encore de la féminité. Roger Vadim, scénariste et réalisateur, connut la célébrité, au prix de son mariage avec Bardot, qui se brisa peu après la sortie du film. Celle-ci atterrissant provisoirement dans les bras de… Jean-Louis Trintignant ! Enfin, St-Tropez, petit village de pêcheurs connu de quelques initiés, fut placé sous les feux de la rampe, et se transformera en quelques années en une station balnéaire de riches.


    Certes, mais quid du film ? Et bien il faut avouer que vu d’aujourd’hui, on peut avoir du mal à comprendre tout ce raffut.
    D’abord, que les (a)mateurs se détendent, les scènes de nudité demeurent très prudes. Oui, ça a du faire tourner quelques têtes dans les 50’s, notamment ce plan totalement gratuit dans les premières minutes sur le corps nu de Brigitte Bardot (vu de dos). Ou cette séquence de danse lascive, par ailleurs sans doute la mieux montée du film. Mais pas de quoi vrombir non plus…
    D’autant plus qu’à part cela, le film est monstrueusement statique. La mise en scène étant très sage, et l’intrigue sans grand intérêt. Qui des trois lascars la belle jeune femme sensuelle va-t-elle choisir ? Le jeunot gentil sans charisme ? L’entrepreneur cinquantenaire trop vieux et rigide pour elle, mais qui a du pognon et du statut ? Le loup aguerri qu’elle désire, mais qu’elle sait être une raclure ?
    Alors je veux bien admettre qu’à l’époque, il était relativement novateur de montrer le désir et les choix féminins de la sorte. Le problème est que cette démarche est anéantie par le personnage de Bardot, une irrespectueuse immature qui tient davantage de la saboteuse de relation que de la jeune épicurienne. En conséquence, on n’éprouve aucune empathie ni pour elle… ni pour l’intrigue.
    Sans compter le propos du film, soi-disant féministe. En réalité le comportement de la protagoniste est sans cesse moralisé par les autres personnages (hommes comme femmes). Et son univers est en permanence guidé par le choix des hommes, qu’elle se contente de suivre. Ce jusqu’à un final d’un conservatisme ahurissant pour une œuvre qui est censée représenter la sexualité et la féminité des 60’s.
    Reste une évocation esthétique du St-Tropez pré-jet set, de bons acteurs dans les rôles principaux, et quelques bons mots çà et là.
    Acidus
    Acidus

    688 abonnés 3 691 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 avril 2023
    "Et Dieu... créa la femme" a bâti sa popularité sur l'érotisme de certaines scènes ayant choqué une Amérique puritaine. C'est aussi (et surtout) le film qui a révélé Brigitte Bardot au grand public.
    Aujourd'hui, ce long métrage présente assez peu d'intérêt. Son côté subversif ne fait plus effet et il ne reste au final qu'un film basique dans son scénario et sa mise en scène. Bien entendu, Bardot occupe tout l’écran et si l’actrice est charmante, son personnage de jeune fille ingénue est peu intéressant.
    Film moyen à visionner une fois pour sa culture cinématographique mais qualitativement dispensable.
    bladgik
    bladgik

    86 abonnés 532 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 mai 2023
    2023 vs 1956 les temps ont changé mais je peux comprendre le scandale a l'époque. Brigitte est terriblement belle et magnétique. Pour le reste de belles images de st tropez, mais les qualités du film en reste là . L'histoire est un peu flemmarde, on tourne en rond ... la scène finale est intéressante ... Brigitte est né à partir de ce film mais je pense que c'est loin d'être son meilleur .
    Yves G.
    Yves G.

    1 408 abonnés 3 428 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 août 2022
    Juliette (Brigitte Bardot), une jeune femme libre et sensuelle, excite le désir des hommes : Carradine (Curd Jurgens), un riche entrepreneur, Antoine (Christian Marquand) dont elle est amoureuse et Michel (Jean-Louis Trintignant), le frère d’Antoine, qu’elle accepte d’épouser sans l’aimer pour s’émanciper de ses tuteurs qui veulent la renvoyer à l’orphelinat.

    "Et Dieu créa la femme" est un film mythique qui lança le « mythe Bardot ». À sa sortie, en France, fin 1956, il fit un flop. Mais son succès au parfum de scandale à l’étranger lui valut de revenir à l’affiche un an plus tard et d’y attirer les foules.

    B.B. y crève l’écran. Un des personnages du film la décrit dans un langage fleuri : « Elle a le cul qui chante ». Simone de Beauvoir dit la même chose dans un style plus polissé : « un saint vendrait son âme au diable pour la voir danser ». Aujourd’hui, on pourra la trouver bien sage. Il est vrai que depuis 1956, les mœurs se sont libérées et que le spectateur en a vu des vertes et des pas mûres. Pour autant, même en 2022, les fesses dénudées de l’actrice, sa moue, ses cheveux relevés en chignon ou dénoués en cascade, le déhanché fiévreux de ses danses jusqu’à son phrasé traînant que les puristes critiquent, font leur petit effet.
    Et on imagine volontiers le scandale qu’elle a causé à l’époque, pour devenir illico une icône du féminisme. Une icône toutefois pas si révolutionnaire, puisqu’à la fin du film – pardon pour le spoiler – après un mambo endiablé, elle reçoit quatre torgnoles de son mari et le suit piteusement à la maison.

    Il est de bon ton de nos jours de tenir en piètre estime "Et Dieu créa la femme". Les critiques se moquent de son intrigue de roman-photo. Elles n’ont pas tout à fait tort. Mais celle des "Parapluies de Cherbourg", peut-être le film le plus réussi qui soit à mes yeux, ne valait guère mieux. Elles raillent le jeu des acteurs, à commencer, on l’a dit, par celui de Bardot : si Trintignant – dont c’est quasiment le premier film – se morfond dans le rôle du mari cocu transi d’amour, Curd Jurgens y est pourtant impérial. Surtout, elles passent à côté de l’essentiel : l’apparition météoritique d’une actrice incandescente dont le réalisateur – et futur ex-mari – eut le talent de capter la sensualité et l’élan de liberté. Elle enflamma la pellicule ; elle l’enflamme encore.
    Shawn777
    Shawn777

    537 abonnés 3 432 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 août 2024
    Premier film de Roger Vadim sorti en 1956 dont je n'ai vu que "Barbarella" qui m'avait plutôt fait marrer alors je me suis dit pourquoi pas, surtout que c'est culte et que ça a lancé la carrière et surtout l'icône Brigitte Bardot. spoiler: Et puis finalement, eh bien... pas grand chose. Alors je ne m'attendais certes pas à un scénario tarabiscoté ou forcément très travaillé mais tout de même, tout reste très léger. Nous suivons les aventures d'une jeune femme qui attise tous les regards. Elle est considérée comme dévergondée, assume pleinement son corps et sa sexualité dont elle est consciente et fait volontairement tourner les têtes. Malgré tout, ce n'est pas une fille idiote, comme la plupart des sex-symbols de l'époque, elle est indépendante et envoie chier en gros toutes les personnes se trouvant sur sa route. Mais sa vie amoureuse tourne principalement autour de trois mecs : un garçon qu'elle épouse, le frère de ce dernier et un riche entrepreneur. Alors oui, c'est sympa, c'est Saint-Tropez, c'est le soleil, c'est l'été, ce qui est d'ailleurs une bonne excuse pour foutre Bardot à poil toutes les cinq minutes, mais ça s'arrête là. L'histoire d'amour pseudo-tragique est vite fatigante et surtout prévisible et puis le film est creux, tout simplement. Il y a certes une sensualité indéniable qui se dégage de l'actrice, aidée par la mise en scène de Vadim, mais le film ne propose jamais vraiment autre chose, ce qui est bien dommage.
    Ainsi, on reste finalement très passif devant "Et Dieu... créa la femme" qui, sans Bardot, n'a rien à raconter.
    CH1218
    CH1218

    188 abonnés 2 852 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 7 août 2022
    Je veux bien croire que « Et Dieu… Créa la Femme » bousculait certains codes lorsqu’il sorti en 1956 mais le temps joue aujourd’hui méchamment en sa défaveur. L’histoire ne vaut pas tripette et la grande majorité de la distribution joue mal. Alors bien sûr, le film de Vadim lança le mythe Bardot. Et c’est bien là son seul attrait.
    Nicolas L.
    Nicolas L.

    80 abonnés 1 714 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 octobre 2021
    Etonnamnent féministe pour un film de cette époque. Le film dépeint et prone la liberté d'être une femme libre et amoureuse de la vie. Bardot crevé l'écran et il est clair que le film est fait pour elle. Une belle photo très carte postal provincial et un Trintignant tout jeune qui montre déjà son talent d'acteur. Belle surprise donc.
    Philippe C
    Philippe C

    92 abonnés 1 037 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 mars 2018
    Film culte s'il en est, mais qui ne vaut que par les images du Saint-Tropez d'avant (ce film) et les acteurs débutants qui s'y révèlent tout en jouant (de mon point de vue) de façon peu naturelle : Brigitte Bardot et Jean-Louis Trintignant.
    Evidemment, cette comédie de moeurs, avec son héroïne libre et quelque peu désespérée a fait scandale à l'époque. Mais que tout celà semble bien léger 60 et quelques années plus tard !
    jfharo
    jfharo

    50 abonnés 1 232 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 juillet 2009
    Et dieu créa Bardot , et quel bonne idée la plus belle actrice du cinéma Français resplendit dans ce film ,dommage que sa carrière n'est pas été aussi brillante que sa beauté .

    Bravo Mr Vadim d' avoir découvert cette pépite et surtout de l'avoir si bien mis en scène .
    inspecteur morvandieu
    inspecteur morvandieu

    25 abonnés 2 113 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 5 juillet 2024
    Et Vadim créa Bardot (mais on peut aussi considérer que c'est le contraire). Si le film a marqué son époque, c'est par la grâce d'une jeune actrice d'une rare sensualité qu'il le doit. Brigitte Bardot crève l'écran dans ce film où le cinéaste fait preuve d'une certaine audace érotique et a le mérite d'imposer un modèle féminin moderne en ce qu'il renouvelle le sex-appeal.
    Mais le talent de Vadim fut surestimé et s'est d'ailleurs déprécié de films en films. "Et Dieu crea la femme" est un mélodrame sentimental artificiel et maladroit. Juliette, qui passe pour une fille légère -Vadim l'affirme sans réellement le démontrer- et impertinente, se voit menacée de réintegrer l'orphelinat. spoiler: Pour l'éviter, elle épouse le chétif Michel (le jeunot Trintignant), frère de l'homme qu'elle aime.

    Le parfum d'amoralité qui émane du film est vain tant les personnages manquent d'envergure et d'authenticité, de profondeur psychologique. La réalisation cliquante de Vadim (la Côte d'Azur en couleur et en Cinémascope) et sa starlette voluptueuse n'occultent pas un sujet superficiel, des dialogues mal écrits, une direction d'acteurs malhabile. Tout un style et des lacunes qui promettaient cette oeuvre parfois risible à une rapide désuétude.
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