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Un visiteur
1,5
Publiée le 28 novembre 2019
Et Dieu le cinéaste... créa sa femme parfaite, l'ex sur des danses endiablées délibérées fait tourner des têtes hormonales testostérones. Sans plus ce scénario quadrangulaire amoureux fute-fute voit rien qu'a travers le miroir...... Brigitte Bardot, initiale signé BB culte pour le ciné de Roger Vadim, à ranger dans un placard à balai.
Les grands cinéastes de la nouvelle vague apprécièrent plus que le public ce film traitant des conséquences néfastes que peut avoir leur attrait physique pour une femme plus que sulfureuse et symbolisant la libération sexuelle féminine. Cette femme en question est la plantureuse Brigitte Bardot qui, âgée de 20 ans à l’époque, accéda alors à un statut de sex-symbol à travers le monde. Son charme provocateur et sa fraicheur sensuelle firent oublier aux spectateurs la légèreté de son jeu mais provoqua les colères de la bien-pensance cultuelle (particulièrement aux Etats-Unis) qui fit censurer quelques scènes de danses coquines. La qualité des images de ce film viennent toutefois moins des charmes de cette midinette candide que de la technicolor éclatante.
Alors oui il y a la Bardolâtrie qui peut expliquer le grand succès du film à l'époque, bien que les critiques aient été partagées. On se moque d'ailleurs bien du scenario, réduit à sa plus simple expression : c'est Bardot qui crève l'écran et fait tourner la tête de tous ces hommes. Et puis le film de Vadim permet, tel un documentaire, de retrouver le Saint Tropez de l'époque, avant l'hyper bétonisation actuelle. Un film qui se laisse regarder donc, même si parfois trop poussif.
Sulfureux à sa sortie, Et Dieu créa la femme est devenu par les années l'exemple type de la libération sexuelle de la femme. Il faut dire que le réalisateur Roger Vadim ose dès les premiers plans, montrant une Brigitte Bardot entièrement dénudée, cachée en partie et somptueusement par les rideaux pendants sur une corde à linge. Certes de nos jours, l'ensemble affiche ce que l'on appelle la pudeur, le refus de l'exhibitionnisme. Mais si l'on se remet dans le contexte de l'époque, c'est-à-dire à plus de cinquante ans, le film choque. Il faut dire que le personnage de Juliette Hardy a tout de la jeune femme dévergondée, naïve et insouciante de son corps, enchaînant les passions amoureuses sans morale, ni retenu. Néanmoins, le film n'a plus que cet aspect historique d'intéressant. Le reste n'est que superflu. Le scénario éprouve de nombreuses longueurs, affiche trop de ses beaux plans tropéziens, quoique sympathiques, mais sincèrement dispensables. Le côté psychologique des personnages, notamment des trois coeurs partagés de la belle, manquent totalement de sincérités et de talents. L'ensemble n'étant que gloire au numéro volontairement insolent de Brigitte Bardot, le long-métrage vieillit, se laisser dépasser par les temps actuels et reculés de son messages encaissé depuis trois bonnes décennies. Il en reste un film curieux pour son côté d'époque et la grande révélation que fut ce film pour la carière de Brigitte Bardot. Un incontournable.
Vu le 15/02/2019. Depuis le temps que j'entendais parler de ce film mythique qui avait révélé Bardot au rang d’icône féminine, je me suis enfin lancé et... et bien, je me dis que c’est une belle bouse! Alors oui Bardot était belle, je suppose qu'à l’époque ça devait être ultra kiffant (surtout la scène où elle sort de l'eau)... mais elle est tellement nunuche, tellement mièvre, tellement bécasse... et puis les deux acteurs masculins que ce soit le mari cocu Michel (Jean-Louis Trintignant ) ou Carradine (Curd Jürgens). le seul qui s'en tire honorablement, c’est l'amant Antoine (Christian Marquand). Mais franchement, je me suis félicité que ça ne dure que 1h30 parce que ça devenait pénible. les scènes de baston sont catastrophiques au possible, même la scène d'amour est caché. Non, je en comprends pas d’où vient le mythe de ce film, peut-être que ça a correspondu à un changement dans les mœurs de la société mais sinon, niveau des acteurs comme du metteur en scène, c'est misérable et cela même il a été un emblème de l'émancipation des femmes, une jeune fille à la fois modèle et diablesse, libre provocatrice ingénue et impudique, symbole de la féminité, de la liberté sexuelle, d'une révolution des mœurs latente
Toutes proportions gardées, il s'agit du Basic Instinct des années 50 et à cet égard, BB n'a rien à envier à SS. Elle met le feu partout où elle passe et lorsqu'on voit les trois mâles principaux la dévorer du regard, ceux-là sont sincères et n'ont nul besoin de se forcer ou faire semblant ! Le spectateur est fasciné lui aussi par tant de luxure (suggérée) et de lascivité (moins suggérée), hypnotisé par le petit canard lubrique en furie. BB au sommet en somme.
Comme il est dit dans le film, c'est un petit "animal" sauvage qu'il faut "dominer" (sic !) si tu es un "homme" -sous entendu, qu'est-ce que t'attends pour lui filer une trempe ? Presque 40 années nous séparent du film de Verhoeven et ce sont presque autant d'évolutions des moeurs : SS, quant à elle, est une mante religieuse alors que BB n'est qu'un petit animal qui attend d'être dressé. Et Dieu...reste donc indéniablement machiste malgré ses nombreuses provocations.
Soulignons l'excellente prestation de Jean-Louis Trintignant, le mari présenté comme un cave parce qu'il est le moins macho des trois et qui préfigure a priori le changement de comportement des hommes à venir, moins dominateurs et plus empathiques sans doute.
Curd Jurgens, cela va de soi, incarne la classe à l'état pur dans ce rôle de vieux mâle alpha à la fois tenté et effrayé par cet "animal" dont il se demande s'il arrivera à le dompter. Il sent la femelle à problèmes, la femelle rétive qui mettra le souk dans la tribu. Et voilà qui clôt la petite analyse ethno-sociologique de comptoir, m'ssieurs dames.
Revenons à Brigitte Bardot aussi fascinante qu'insupportable comme de coutume... elle confirme une fois de plus son statut de "sex symbol"... et d'actrice définitivement incapable. Il est clair qu'à ce sujet, Sharon Stone -bien qu'inégale- lui est sensiblement supérieure à tout le moins. Si Curd Jurgens relève le film, BB l'abaisse autant qu'elle le relève.
Avouons-le, on s'ennuie tout de même dans ce film qui tutoie seulement l'heure et demi : malgré ses coups d'éclats provocants, il souffre de longueurs regrettables et d'une mise en scène effacée comme s'il voulait se restreindre après nous avoir montré les petites culottes de BB.
Difficile de trouver la juste note entre la moyenne et juste au-dessus de la moyenne... mettons au-dessus pour le contexte historique : quelle baffe ç'a dû être à l'époque... Même avec le regard blasé d'aujourd'hui, Et Dieu... parvient à surprendre.
Certains films restent dans les mémoires. Pour une bonne partie d'entre eux, on se demande vraiment pourquoi. La mémoire populaire a des carences énormes qu'illustrent parfaitement ce film et qui font me demander comment il a pu avoir une aussi longue durée de vie. Certe, l'attout majeur est Brigitte Bardot. Mais pas l'actrice entière, uniquement sa plastique. Son talent, lui, est très mal employé. Son rôle ne la met pas en valeur ; elle joue une sorte de cruche blonde un peu Marie-couche-toi-là sur les bords (des esprits tempérés diront que c'est juste une femme libéré) dont le jeu de jambes semble séduire. Finalement, elle me fait un peu penser à Marilyn Monroe, surtout connu pour ses rôles dans les films de Billy Wilder, à chaque fois des nanas qui n'ont rien dans le crâne. L'image est souvent remarquablement composée. Mais le scénario est affligeant. Chacun se contente de répéter à l'infini "je t'aime, je ne t'aime plus, je t'aimais, je t'aime encore, je ne t'aime pas" et tout autre variante. Chaque phrase a été composée avec soin, chaque mot scrupuleusement choisi, et donne l'impression désagréable que les scénaristes n'ont souhaiter écrire que des phrases cultes (loupé !!!) L'expérience tombe a plat et s'écraes même pour atteindre des sommets de mièvrerie.
Et Vadim... Créa le vide ! Conseil, soit vous prenez un oreiller ou soit vous zappez, y à t-il un réalisateur ? difficile de dire, en tout cas ce film nous rassure d'une chose et pas des moindres, Brigitte Bardot est craquante à souhait, filmer sur toute les coutures et c'est ici certainement que Vadim se laisse piéger, il en oublie tout le reste. Un réalisateur comme Wong Kar-Wai par exemple, lui quand il est hypnotiser par les femmes, il délaisse pas pour autant les à côté, bref passons. Et Dieu... créa la femme c'est aussi des p'tites bastons nanardesque pour le coeur d'une femme, Et Dieu créa la femme c'est Vadim m'endort... Bardot bien, mais c'est pas suffisant le film laissera perplexe plus d'un spectateurs.
Fort ennuyant. Le film est vraiment creux et lent, c'est une romance on ne peut plus banal qui plus est, c'est déroulé il y a maintenant bien longtemps. Mis à part deux ou trois répliques, il n'y a rien d'intéressant.
Mais qu'est-ce que c'est que ce film ? Jamais vu un film aussi surestimé. "Et Dieu créa la femme" est un navet, qui plus est, qui a horriblement vieilli, et pas en bien... Affligeant !
Une jeune fille assimilée à "une femme libérée" selon les critiques. Voilà qui est extrêmement exagéré. En vérité, on nous montre une oie blanche: totalement écervelée donc, qui en pince pour un type qui la traite comme une chienne et qui lui fait avaler sans peine tout ce qu'il lui débite même s'il se trahit la seconde d'avant. Si être candide et idiote c'est être "une femme libérée"...eh bien euh...sans commentaires. Ce film a les relents du machisme d'autant plus que l'unique qualité de l'héroïne est sa beauté blonde. La femme blonde écervelée: LE fantasme chez les hommes, fort bien mis en évidence. Ca vous dit quelque chose là, tout de suite, n'est-ce pas ?
Le jeu d'actrice de Brigitte Bardot est pitoyable (et encore je suis gentille). Sa voix est à la limite du supportable. Néanmoins, elle aurait fait l'affaire dans un doublage de Paris Hilton dans la série animée "les Simpson".
Ce film s'avère être un pur navet. Une grosse verrue reluisante de pue à la fesse du cinéma français.Dire qu'il est culte: c'est effrayant...
L'insolence et la beauté de Brigitte Bardot ont fait le succès de ce film;L'ambiance estivale de Saint Tropez, l'histoire de cette jeune fille partagée entre deux histoires d'amour sont filmées avec énergie et langueur érotique. A voir!
Le Mythe de "St Tropez", le Mythe et le fantasme de toute une génération "BB".. Naturellement, il fallait bien que je découvre enfin ce film même si j'ai souvent repoussé le visionnage.. Et bien, ce fut une grande déception.. alors oui, l'époque a changée, oui le cinéma a tant évolué.. alors oui, je n'ai pas su aprécier