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RedArrow
1 685 abonnés
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2,0
Publiée le 13 juin 2013
Soyons clairs, sans Jonah Hill, ce Baby-sitter malgré lui n'aurait absolument aucun intérêt avec son scénario ultra-prévisible enchaînant les scènes convenues jusqu'à une fin très attendue. Heureusement, l'acteur apporte beaucoup de sincérité au personnage principal grâce à son sens de la répartie et à sa faculté de toujours sortir la tête haute des situations les plus incongrues. Les enfants s'en sortent aussi plutôt bien (surtout Max Records), chacun ayant son joli moment d'émotion mais c'est surtout Sam Rockwell, en trafiquant fou furieux, qui marque les esprits. Après le ratage total Votre majesté, David Gordon Green semble relever (un tout petit peu) la tête.
Jonah Hill surfe encore sur la vague du looser vulgaire et maladroit. Scénario original pour arriver au même endroit, trop vu à mon goût et pas de vrais situations délirantes. Il dure 1h15 c'est pour dire à quel point ils savaient plus quoi inventer. A éviter.
« Baby-sitter malgré lui » est encore une comédie avec Jonah Hill où ce dernier joue encore un loser qui a du mal avec les filles. Le seul élément un peu inédit du film est la présence des trois enfants qui donnent la seule touche d’humour et d’émotion un tant soit peu réussie. Les scènes où ces derniers ne sont pas présents, ne sont que l’habituelle collection de vulgarité à caractère sexuel niveau adolescent attardé censées être drôles, mais qui au final se vautre seulement dans une vulgarité consommée. Non pas que les scènes avec les enfants soient exemptes de ça, mais leur présence amène une touche sinon d’innocence, au moins d’une certaine fraîcheur, qui rend les saillies humoristiques, même limites, drôle et les séquences émotions un peu touchantes. Le film prétend à un humour subversif alors qu’il n’est qu’un enchaînement de saillies d’une vulgarité crasse. Jonah Hill fait du Jonah Hill et n’apporte à son personnage rien qui ne soit basé sur son physique atypique à Hollywood, en d’autres termes : n’importe quel acteur comique aurait pu prendre sa place sans qu’on y perde au change. Le scénario se tient sur une intrigue limite qui une fois encore ne doit sa relative réussite qu’aux scènes où les mioches sont présents, en dehors on pourrait être dans n’importe quelles comédies de l’équipe Apatow. Bref un film sans vraiment d’intérêt hors des personnages d’enfants assez drôles, mais pas non plus ultra-désopilants, qui permet, à la rigueur si on n’est pas trop difficile dans son humour, de passer un moment pas trop désagréable, mais qui peut-être évité sans regret.
Très étonnée! Malgré l'excellent acteur "Jonah HILL" je m'attendais a un teen movie bâclée,en raison de son affiche." Mais le film est super bien organiser,les détails de scène sont super bien pensée,super scénario,J'adore ♥
Un scénario assez classique et une mise en scène assez décousu, « The Sitter » n’en reste pas pour le moins séduisant. Jonah Hill est toujours parfait dans ce genre de rôle. Un humour à l’américaine, le film enchaîne les moments tellement improbables qu’ils en deviennent marrants. Entre Jonah Hill qui joue un baby-sitter à qui je ne demanderai pas de garder mon chien, des enfants tous aussi déjantés et un dealer de drogue bizarre, la recette marche bien dans son ensemble. Il n’est pas le film comique de l’année mais donne un peu de fraîcheur par son originalité et son humour décalé. A conseiller pour les fans de Jonah Hill !!
Source : Plog Magazine, les critiques des ours http://lescritiquesdesours.blogspot.fr/2012/07/baby-sitter-malgre-lui.html
J’ai vu ce film dans l’avion pour passer le temps, et au final j’ai trouvé cette comédie plutôt réussie. Nuançons, l’histoire est connue puisqu’elle est un amalgame de tout ce qui se fait aux US depuis le début du règne Apatow (règne qui bat de l’aile soit dit en passant) : Jonah Hill, une histoire de baby-sitting avec des gamins insupportables (et des cas sociaux, oui l’un des enfants est un pyromane latino-américain…), une histoire de sexe et de « lutte des classes » populaire/pas populaire (il fait du oral sex à celle qu’il considère comme sa petite amie, mais celle-ci ne lui « retourne pas la politesse »… C’est du Apatow right ?!) et surtout une histoire de drogue (Sam Rockwell est génial en dealer déjanté). Toutes ces histoires se mêlant vous vous retrouvez devant une comédie rythmée, plutôt amusante et réussie. Louez le DVD éventuellement, ou offrez-le à votre petit neveu et profitez-en pour le regarder.
Avec "Baby-Sitter malgré lui", Jonah HILL vient se perdre dans une comédie loufoque. D'habitude, cela lui réussi plutôt bien. On se souvient de son rôle dans l'excellent "American Trip". Mais ici, la sauce ne prend pas. C'est complètement dénué de sens. Le film est inintéressant au possible. Les personnages sont pathétiques. Nous avons envie de les gifler un par un. Il n'y a, bien entendu, pas l'ombre d'un scénario. Ni même une scène pouvant faire rire le spectateur. Bref, c'est du grand gâchis. Et par conséquent, une perte de temps.
Un bon acteur (Jonah Hill) que l'on a pu admirer dans le fameux "Le stratège" au coté de Brad Pitt, qui à l'air tout de même de rarement trouver des rôles à la hauteur. En effet, la majorité de ses films ont pour but de "divertir". Dans le cas présent, c'est loupé. Un film enfantin (pour ne pas dire téléfilm du dimanche) digne de passé sur Canal J. Scénario stupide, mauvais acteurs dans l'ensemble, vu et revu. Passez votre chemin, voilà une perte de temps.