AlloCiné
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Votre avis sur Le Garçon et le Héron ?
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J'ai presque honte de l'écrire mais j'ai vécu ce film comme un supplice. Je ne suis pas du genre à casser, j'ai aimé la plupart des précédents Miyazaki mais là c'est tellement lent et ennuyeux , aucun divertissement, les personnages non humains sont moches l'histoire part dans tous les sens et fraîchement on est ressortis avec mon fils de 16 ans dans le même état on a rien compris, c'est fouilli, le scénario n'a quasiment aucun sens.
Deux heures qui se passées tellement leeeenteeemmeeennttt .... je déconseille mais je sais que les fans iront et c'est normal.
Deux heures qui se passées tellement leeeenteeemmeeennttt .... je déconseille mais je sais que les fans iront et c'est normal.
Le film est magnifique visuellement, chaque séquence est un enchantement.
Ce n'est pas la première fois que Miyazaki fait voyager ses personnages dans un monde habités par des esprits, mais ici le résultat est moins convaincant que dans d'autres films. On a du mal à rattacher certaines scènes à l'intrigue principale, donnant l'impression d'un film brouillon, foutraque.
Autre point négatif: on a l'impression que le doublage a été réalisé par une bande de copains du même âge, une personnage âgée est doublée par une femme d'une vingtaine d'années, et d'autres personnages ont des voix qui ne correspondent pas à leur âge
Ce n'est pas la première fois que Miyazaki fait voyager ses personnages dans un monde habités par des esprits, mais ici le résultat est moins convaincant que dans d'autres films. On a du mal à rattacher certaines scènes à l'intrigue principale, donnant l'impression d'un film brouillon, foutraque.
Autre point négatif: on a l'impression que le doublage a été réalisé par une bande de copains du même âge, une personnage âgée est doublée par une femme d'une vingtaine d'années, et d'autres personnages ont des voix qui ne correspondent pas à leur âge
J'ai toujours eu un sentiment particulier à l'égard des films de Miyazaki et, de manière plus générale, des films du Studio Ghibli. Les ayant découverts à un très jeune âge, c'est un peu comme revenir à un classique ; ils ont quelque chose de réconfortant. En tant qu'enthousiaste de l'animation, j'étais déjà au courant de la production d'un nouveau film par le maître de l'animation japonaise, basé sur le roman du même nom écrit par Genzaburô Yoshino. J'étais déjà quelque peu intéressé par sa vie à l'époque, et rien qu'en voyant le titre du film, j'ai commencé à comprendre où Miyazaki voulait nous emmener. Et je n'ai pas été déçu.
Miyazaki avait déjà abordé des thèmes plus que complexes à dépeindre dans un film d'animation, tels que la guerre, l'amour et la préservation de l'environnement, entre autres. Dans son dernier film sorti une décennie plus tôt, "Kaze Tachinu", il avait tenté d'explorer des thèmes beaucoup plus matures que d'habitude. Il est donc tout naturel qu'il poursuive dans cette voie, surtout pour la sortie d'un film annoncé comme son chant du cygne.
Une fois assis face à l'écran, nous nous retrouvons, comme d'habitude dans un film Ghibli, dans un monde regorgeant de détails. Dans un monde où la plupart des studios adoptent des méthodes numériques, Miyazaki, fidèle à lui-même, privilégie principalement des techniques analogiques qui confèrent leur charme aux films qu'il crée, et 'Comment vivez-vous ?' ne fait pas exception. Le film prend son temps, accordant de l'attention à des détails en apparence insignifiants, et nous nous émerveillons des expressions faciales des personnages, qui, comme toujours, sont dépeintes avec une grande richesse.
Le monde qui nous est dépeint n'est ni bon ni mauvais, ce ton nuancé présent dans chaque film du réalisateur est poussé à l'extrême dans ce long métrage où il n'y a pas vraiment d'antagoniste ni de héros. Il n'y a que Mahito, qui essaie de vivre comme il l'entend et d'accepter (pas vraiment un spoiler mais je le mets dans le doute, c'est dis dans le trailer) spoiler: la mort de sa mère.
Comme c'est souvent le cas dans les films de Miyazaki, nous retrouvons le personnage féminin fort incarné par Kiriko, mais plus largement, c'est la figure maternelle qui est constamment mise en avant tout au long du film. Mahito recherche cette figure maternelle et l'amour qu'il a perdu dans chacune des personnalités féminines que nous rencontrons. Je ne peux m'empêcher de faire un parallèle entre le personnage principal et Miyazaki lui-même.
Mais 'Comment vivez-vous?' est avant tout un film qui dépeint la nature profonde de l'humanité et incite à la réflexion sur la manière dont nous vivons et percevons le monde. Du point de vue de Miyazaki, le film est presque autobiographique et est certainement celui où il partage ses pensées les plus personnelles. Hayao Miyazaki nous pose ici une question simple : Comment vivez-vous ? (le garçon et le héron) Portant un message d'espoir pour la jeunesse d'aujourd'hui. Quel genre de monde allez-vous construire ? Une tour instable ou une tour aux bases solides où règnent la paix et l'harmonie.
Comment voulez-vous vivre en tant qu'être humain ?
Comment vivez-vous ?
Miyazaki avait déjà abordé des thèmes plus que complexes à dépeindre dans un film d'animation, tels que la guerre, l'amour et la préservation de l'environnement, entre autres. Dans son dernier film sorti une décennie plus tôt, "Kaze Tachinu", il avait tenté d'explorer des thèmes beaucoup plus matures que d'habitude. Il est donc tout naturel qu'il poursuive dans cette voie, surtout pour la sortie d'un film annoncé comme son chant du cygne.
Une fois assis face à l'écran, nous nous retrouvons, comme d'habitude dans un film Ghibli, dans un monde regorgeant de détails. Dans un monde où la plupart des studios adoptent des méthodes numériques, Miyazaki, fidèle à lui-même, privilégie principalement des techniques analogiques qui confèrent leur charme aux films qu'il crée, et 'Comment vivez-vous ?' ne fait pas exception. Le film prend son temps, accordant de l'attention à des détails en apparence insignifiants, et nous nous émerveillons des expressions faciales des personnages, qui, comme toujours, sont dépeintes avec une grande richesse.
Le monde qui nous est dépeint n'est ni bon ni mauvais, ce ton nuancé présent dans chaque film du réalisateur est poussé à l'extrême dans ce long métrage où il n'y a pas vraiment d'antagoniste ni de héros. Il n'y a que Mahito, qui essaie de vivre comme il l'entend et d'accepter (pas vraiment un spoiler mais je le mets dans le doute, c'est dis dans le trailer) spoiler: la mort de sa mère.
Comme c'est souvent le cas dans les films de Miyazaki, nous retrouvons le personnage féminin fort incarné par Kiriko, mais plus largement, c'est la figure maternelle qui est constamment mise en avant tout au long du film. Mahito recherche cette figure maternelle et l'amour qu'il a perdu dans chacune des personnalités féminines que nous rencontrons. Je ne peux m'empêcher de faire un parallèle entre le personnage principal et Miyazaki lui-même.
Mais 'Comment vivez-vous?' est avant tout un film qui dépeint la nature profonde de l'humanité et incite à la réflexion sur la manière dont nous vivons et percevons le monde. Du point de vue de Miyazaki, le film est presque autobiographique et est certainement celui où il partage ses pensées les plus personnelles. Hayao Miyazaki nous pose ici une question simple : Comment vivez-vous ? (le garçon et le héron) Portant un message d'espoir pour la jeunesse d'aujourd'hui. Quel genre de monde allez-vous construire ? Une tour instable ou une tour aux bases solides où règnent la paix et l'harmonie.
Comment voulez-vous vivre en tant qu'être humain ?
Comment vivez-vous ?
Énorme déception
Les dessins sont toujours aussi magnifiques mais l'histoire part dans tous les sens : très lente à démarrer puis déstructurée avec des personnages moches bref passez votre chemin ou retournez voir Porto Rossi ou kiki mais pas lui !
Les dessins sont toujours aussi magnifiques mais l'histoire part dans tous les sens : très lente à démarrer puis déstructurée avec des personnages moches bref passez votre chemin ou retournez voir Porto Rossi ou kiki mais pas lui !
Un film esthétiquement très réussi qui représente une parfaite synthèse de l'Oeuvre de Miyazaki. On se laisse porter dans les univers imaginaires du Maître, avec à la clé des messages sur la place de l'homme dans le monde ainsi qu'une réflexion plus intime sur la relation mère-enfant.
Mais quel film ! sûrement un des meilleurs des studio Ghibli. Les thématiques que propose le film sont universel et contrairement à certain commentaires je trouve le film compréhensible et les élément du scénario sont amener avec subtilité.
Du grand cinéma !
Du grand cinéma !
TROP BEAU! J'ai envie d'aller le revoir mais quand il y aura moins de monde. Les gens faisaient trop de bruit, ça a un peu détruit les éléments de silence dans le film. J'ai adoré ce film, toutes les réf de Chihiro, Château dans le ciel etc. Miyazaki est un génie.
J'ai mis 1,5 étoile uniquement pour les dessins toujours magnifiques. Au niveau de l'histoire trop d'incohérences, de délires de l'auteur. Il y a des questions sans réponse (
spoiler:
on ne voit pas l'importance d'avoir trouvé le livre de sa mère, pourquoi le héron veut l'emmener au début du film puis quand le héros veut entrer dans le monde du héron, il fait tout pour le repousser, le passage sur le décollage des petits personnages blancs n'a aucun intérêt et encore moins l'attaque des pélicans
). Bref, vous l'aurez compris je n'ai pas du tout accroché à ce nouveau Ghibli. Mon fils de 10 ans, qui est plutôt fan de ces dessins animés n'a pas aimé non plus le trouvant trop décalé.
). Bref, vous l'aurez compris je n'ai pas du tout accroché à ce nouveau Ghibli. Mon fils de 10 ans, qui est plutôt fan de ces dessins animés n'a pas aimé non plus le trouvant trop décalé.
Toujours aussi bien Myiazaki même si j'ai trouvé cet opus un peu trop lent. Mais quelle créativité et quelle explosion de couleurs. D'ailleurs, perso, j'appellerai ce film Le garçon et les 1000 couleurs !
J’étais plutôt optimiste sur la qualité du film, peut-être dernier d’Hayao Miyazaki.
J’ai commencé à tiquer lors du prologue avec l’incendie à Tokyo. Même chose lors du déménagement de la famille à la campagne. Quelque chose cloche.
Le reste du film parle pour lui-même : la qualité de l’animation et les effets de mise en scène cache assez mal le pot aux roses :
Le scénario est mal écrit, bourré d’incohérences multiples, d’absence de développement psychologique ou de la moindre séquence d’exposition : on ne comprendra jamais la psychologique du héros, les tenants et aboutissants de l’histoire, le leitmotiv de la mère adoptive, etc.
Le héros est taiseux, la plupart des personnages ne disent pas ce qu’ils pensent, dès lors, le film devient assez long, frustrant, malgré les images magnifiques, et les innombrables séquences d’actions, et l’univers fantasmagorique, inspiré des contes occidentaux et du folklore japonais.
Un autre reproche au film, et qu’il m’a rappelé Indiana Jones et le Cadran de la Destinée, imaginée comme une suite, reprenant la mise en scène typique des années 80 de Steven Spielberg. Mais le hic, c’est que ce film n’a pas été mis en scène par un réalisateur inspiré de Miyazaki, mais par le Miyazaki lui-même.
Comme si le maitre se copiait lui-même, livrant un immense décalque de ses précédents films, comme un immense patchwork improvisé, allant dans toutes les directions jusqu’au final explosif.
Le film a longuement été pensé en terme d’animation et de mise en scène, mais pas en terme de scénario, comme si Miyazaki adaptait une suite à l’un de ses films, omettant de présenter son contexte historique (la Seconde Guerre Mondiale, les bombardements américains sur Tokyo, le militarisme japonais), ses personnages.
Dès lors, le film perd sa magie, sa poésie, son émerveillement auprès du spectateur.
On sent d’ailleurs que le héros taiseux Mahito n’est pas sensible au surnaturel, au monde parallèle, lui donnant un côté froid et belliqueux : le héron qui rôde autour de chez lui l’insupporte, il se met donc en tête de le tuer!
J’ai toujours le sentiment que les personnages sont raccourcis à leur fonction utilitariste : Mahito est le héros qui fonce tête baissée, le Héron est le guide dans le monde fantastique, la sorcière Himi sauve le héros au moment critique, Kiriko acclimate le héros au nouveau monde, etc.
Le long-métrage est donc pétris de défauts, d’incohérences, que Miyazaki tente de dissimuler devant de pittoresques séquences surnaturelles et des scènes d’action grandioses.
J’ai commencé à tiquer lors du prologue avec l’incendie à Tokyo. Même chose lors du déménagement de la famille à la campagne. Quelque chose cloche.
Le reste du film parle pour lui-même : la qualité de l’animation et les effets de mise en scène cache assez mal le pot aux roses :
Le scénario est mal écrit, bourré d’incohérences multiples, d’absence de développement psychologique ou de la moindre séquence d’exposition : on ne comprendra jamais la psychologique du héros, les tenants et aboutissants de l’histoire, le leitmotiv de la mère adoptive, etc.
Le héros est taiseux, la plupart des personnages ne disent pas ce qu’ils pensent, dès lors, le film devient assez long, frustrant, malgré les images magnifiques, et les innombrables séquences d’actions, et l’univers fantasmagorique, inspiré des contes occidentaux et du folklore japonais.
Un autre reproche au film, et qu’il m’a rappelé Indiana Jones et le Cadran de la Destinée, imaginée comme une suite, reprenant la mise en scène typique des années 80 de Steven Spielberg. Mais le hic, c’est que ce film n’a pas été mis en scène par un réalisateur inspiré de Miyazaki, mais par le Miyazaki lui-même.
Comme si le maitre se copiait lui-même, livrant un immense décalque de ses précédents films, comme un immense patchwork improvisé, allant dans toutes les directions jusqu’au final explosif.
Le film a longuement été pensé en terme d’animation et de mise en scène, mais pas en terme de scénario, comme si Miyazaki adaptait une suite à l’un de ses films, omettant de présenter son contexte historique (la Seconde Guerre Mondiale, les bombardements américains sur Tokyo, le militarisme japonais), ses personnages.
Dès lors, le film perd sa magie, sa poésie, son émerveillement auprès du spectateur.
On sent d’ailleurs que le héros taiseux Mahito n’est pas sensible au surnaturel, au monde parallèle, lui donnant un côté froid et belliqueux : le héron qui rôde autour de chez lui l’insupporte, il se met donc en tête de le tuer!
J’ai toujours le sentiment que les personnages sont raccourcis à leur fonction utilitariste : Mahito est le héros qui fonce tête baissée, le Héron est le guide dans le monde fantastique, la sorcière Himi sauve le héros au moment critique, Kiriko acclimate le héros au nouveau monde, etc.
Le long-métrage est donc pétris de défauts, d’incohérences, que Miyazaki tente de dissimuler devant de pittoresques séquences surnaturelles et des scènes d’action grandioses.
La note que je donne c'est pour la 1ere partie de l'histoire et la beauté du film , le reste est moyen
Je trouve que Miyazaki voulait se dépasser tout en restant sur le théme des anciens films ghibli ,cela a donc créer ce film
Je trouve que Miyazaki voulait se dépasser tout en restant sur le théme des anciens films ghibli ,cela a donc créer ce film
Superbe , à voir absolument
Un graphisme extraordinaire et une sublime promenade symbolique et poétique
Un graphisme extraordinaire et une sublime promenade symbolique et poétique
Déçu par ce dernier film de Hayao Miyazaki.
A certains moments, on reconnaît les clins d'œil graphiques à ces précédents films, c'est subtil.
Le gros problème : l'histoire part dans tous les sens avec beaucoup de redondances, d'aller-retours dans le scénario, ça manque de cohérence. Dommage !
Que c’est long, pas de rythme.
Les paysages de fond en 2D avec les dessins sur les reflets, les forêts, les intérieurs de la maison sont très beaux et c'est surtout pour eux que je mets les 2 étoiles. Le dessin des personnages est quant à lui très moyen. Cela donne l’impression que les équipes de dessinateurs ne se sont pas concertées. Vraiment c’est désolant de voir des personnages maltraités au niveau graphique avec les calques grossiers.
En terme de musique, Joe Hisaichi nous a habitué à de meilleures bandes originales, là la musique est peu présente, quelques accords au piano : des notes par ci par là mais rien de transcendant, rien qui nous emporte vraiment. .
A certains moments, on reconnaît les clins d'œil graphiques à ces précédents films, c'est subtil.
Le gros problème : l'histoire part dans tous les sens avec beaucoup de redondances, d'aller-retours dans le scénario, ça manque de cohérence. Dommage !
Que c’est long, pas de rythme.
Les paysages de fond en 2D avec les dessins sur les reflets, les forêts, les intérieurs de la maison sont très beaux et c'est surtout pour eux que je mets les 2 étoiles. Le dessin des personnages est quant à lui très moyen. Cela donne l’impression que les équipes de dessinateurs ne se sont pas concertées. Vraiment c’est désolant de voir des personnages maltraités au niveau graphique avec les calques grossiers.
En terme de musique, Joe Hisaichi nous a habitué à de meilleures bandes originales, là la musique est peu présente, quelques accords au piano : des notes par ci par là mais rien de transcendant, rien qui nous emporte vraiment. .
Graphisme et décors fidèles aux plus grandes animations de Myazaki, mais histoire épouvantable, c'est très sombre, déprimant, violent et choquant. Ne respire pas la joie contrairement à ces animations légendaire. Il ya très peu de moments agréables et l'humour est très peu présent.Très déçu par ce film, on en attendait beaucoup plus de Myazaki...
On s'attendait à un style voyage de Chihiro mais là c'est plus tombeau des lucioles....
On s'attendait à un style voyage de Chihiro mais là c'est plus tombeau des lucioles....
Le Film est Trés Bien j'ai Regardé La première séance du 01 Novembre en Vostfr je vous le consaie vraiment
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