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Votre avis sur Le Garçon et le Héron ?
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Alors déjà j’ai vu le film en vf car ma soeur n’aime pas la vo bref on m’a même pas prévenu 💀 je pense que ça aurait été plus incroyable en vo mais honnêtement la vf est pas mal.
Le film est incroyable niveau animation magnifique comme d’habitude mais en même temps c’est du Ghibli, histoire triste et poignante.
Magnifique film qui vous transportera dans un autre monde et vous remplira de frissons que demandez de plus ?
Je comprends que certains soient déçus car après 10 ans d’absence de la part de Miyazaki peut-être que on s’attendait à plus incroyable et peut-être enfin d’après les rumeurs ce serait son dernier film donc on s’attendait à plus incroyable. Attention je ne dis pas que le film est nul il est excellent mais peut-être avoir un peu plus n’aurait pas fait de mal.
Bref encore un excellent film dans le studio Ghibli pour moi c’est un grand OUI vous pouvez dépenser votre argent dans ça :)
Le film est incroyable niveau animation magnifique comme d’habitude mais en même temps c’est du Ghibli, histoire triste et poignante.
Magnifique film qui vous transportera dans un autre monde et vous remplira de frissons que demandez de plus ?
Je comprends que certains soient déçus car après 10 ans d’absence de la part de Miyazaki peut-être que on s’attendait à plus incroyable et peut-être enfin d’après les rumeurs ce serait son dernier film donc on s’attendait à plus incroyable. Attention je ne dis pas que le film est nul il est excellent mais peut-être avoir un peu plus n’aurait pas fait de mal.
Bref encore un excellent film dans le studio Ghibli pour moi c’est un grand OUI vous pouvez dépenser votre argent dans ça :)
Un récit initiatique, poétique, fantastique et mystique. Un peu à la façon Alice au pays des merveilles... Nous suivons le jeune Mahito dans un univers métaphorique... Le conseil donné à partir de 10 ans est judicieux 👍
Ufuk K
"Le Garçon et le Héron" acclamé par la critique du réalisateur mythique japonais Hayao Miyazaki est un film d'animation qui m'a beaucoup déçu. En effet en dépit du savoir faire incontesté du réalisateur, de la beauté des images et de quelques moments émouvants, je me suis vraiment ennuyé devant cette histoire qui parle de deuil, de mort, de la fin de l'enfance, de la guerre, le scénario est trop bancal et ne raconte pas grand-chose, personnellement je n'ai jamais accroché, une déception.
Sur le thème du deuil, de l’héritage et de l’oubli, Miyazaki nous offre un animé toujours aussi beau et touffu. Il n’a clairement pas son équivalent dans l’imaginaire. La narration apparaît cependant plus labyrinthique que d’habitude, avec des péripéties qui sortent un peu de nulle part et dont les termes de la résolution ne sont jamais ni expliqués ni introduits. Ça donne au récit un rythme qui avance parfois comme un bond comme si, pour maîtriser la longueur du film, son auteur avait coupé quelques scènes. On reste quand même loin devant les productions Disney. Même s’il reste visible à tout âge, le film se destine clairement plus aux adultes, au regard des thèmes abordés (le deuil, le passage à l’âge adulte, etc.)
À la découverte d'un monde fantastique bariolé, plein de symbolique et d'émotions fortes. Ce merveilleux film d'animation est vraiment à voir.
Hayao nous convie à un nouvel opus de plus à son palmarès et il nous offre une pépite inestimable : "Et vous, comment vivriez vous ?". Au cœur de cette narration, réside la quête de la reconstruction d'un enfant, plongé dans les méandres d'une existence marquée par la perte de sa mère dans des circonstances tragiques. L'enfant s'évade dans un monde imaginaire en constante effervescence, crescendo au fil du récit. Cette épopée est parsemée de subtils clins d'œil et de références, offrant une expérience riche en intensité et en émotion. Il est indubitable que ce travail cinématographique se distingue comme un véritable chef-d'œuvre.
10 ans après "Le vent se lève", voici le nouveau film d'animation du maitre japonais de l'animation. Une invention perpétuelle durant cette projection, une imagination sans faille et incroyable, un film d'une très grande beauté et d'une très grande originalité. Si le film peut paraitre hermétique pour un jeune public, les adultes ayant grandi avec "Princesse Mononéké" ou "Chihiro" se régaleront. Le scénario, très dense, est parfois un peu compliqué surtout pour un jeu public mais ceux qui entrent dans l'univers magique du cinéaste japonais ressortent ravis de la projection de , peut-être, l'ultime film du cinéaste;
velocio
Il fallait bien que je finisse par aller voir un film de ce réalisateur japonais que beaucoup encensent même si les films d'animation n'entrent que très, très rarement dans mes préférences personnelles. Je suis donc allé voir "Le garçon et le héron". Résultat : les films d'animation, ce n'est vraiment pas pour moi ! Là où beaucoup voient de la poésie et de la profondeur dans l'histoire racontée, désolé, mais je n'ai vu que de la niaiserie et je me suis profondément ennuyé. Et puis, qui peut m'expliquer pourquoi, dans ce film japonais, les personnages principaux font penser à des européens ou à des américains et non à des habitants du pays du soleil levant ?
Contrairement à toutes les autres œuvres du réalisateur, je n'ai pas été attaché aux personnages, aucun. Le héro me paraît plutôt froid (est-ce la VF qui donne cela ? mais dans les autres en vf aussi, à aucun moment j'ai eu ce ressentit).
Il y'a aussi beaucoup de longueurs pendant le film, notamment la 1ère partie.
L'histoire est bonne mais "mal construite" (si je peux dire) ou plutôt veut aller trop vite, ce qui fait qu'on ne s'attache pas aux personnages peut-être. Peu de lien entre eux, d'affinités ou de "quête/d'enjeu" (je trouve pas le bon mot dsl).
On dirait qu'on saute des scènes pendant l'histoire...
Plutôt déçu mais l'idée m'a plu ainsi que ses dessins, là-dessus comme d'habitude difficile d'être déçu !
On a l'impression, comparé à tout les autres qu'il y a mis plus de techniques ou de code qui caractérises ses histoires, ses dessins, etc que de cœur, comme dans les autres, je ne sais pas, on dirait qu'il y manque son Âme...
On verra au second visionnage...
Il y'a aussi beaucoup de longueurs pendant le film, notamment la 1ère partie.
L'histoire est bonne mais "mal construite" (si je peux dire) ou plutôt veut aller trop vite, ce qui fait qu'on ne s'attache pas aux personnages peut-être. Peu de lien entre eux, d'affinités ou de "quête/d'enjeu" (je trouve pas le bon mot dsl).
On dirait qu'on saute des scènes pendant l'histoire...
Plutôt déçu mais l'idée m'a plu ainsi que ses dessins, là-dessus comme d'habitude difficile d'être déçu !
On a l'impression, comparé à tout les autres qu'il y a mis plus de techniques ou de code qui caractérises ses histoires, ses dessins, etc que de cœur, comme dans les autres, je ne sais pas, on dirait qu'il y manque son Âme...
On verra au second visionnage...
Roub E.
Une petite déception pour ma part. Sans contexte le garçon et le héron est un film d une grande beauté plastique, Miyazaki n a pas son pareil pour créer des univers féeriques et merveilleux. Ce film donne l impression d être un récapitulatif de ce qu il a pu créer et de la maîtrise qu il a atteint de son art. En revanche son histoire m a laissé dubitatif. Sur un rythme très plat son scénario alterne entre évidences, un côté un peu simpliste et d autres passages trop abstraits dont je n ai pas compris le but ou le sens. Oui c est magnifique, mais je suis resté en dehors.
Aucun doute, c'est un Miyazaki. Sur toute la ligne. On y retrouve tout ce qu'on espérait au plus profond de notre enfance : paysages étincelants, visages immaculés et profondément expressifs, force des personnages féminins. Ici, le chagrin d'enfance est sauvé par le monde merveilleux et sans limites du cinéaste au cours d'une intrigue kaléidoscopique. Une note de modernité vient aussi s'ajouter au décor, comme un coup de pinceau neuf ; je pense à la liberté prise pour plusieurs scènes : visages étirés par une course folle, décors qui changent à toute allure...
Le rythme est celui d'une symphonie de Dvorak : surprenant, avec des temps de pause essentiels pour reprendre haleine.
D'habitude après un Miyazaki, on sort de la salle avec une musique dans la tête ; pour le garçon et le héron, c'est le silence qui résonne, et le souffle des dormeurs. Le génie du cinéaste est intemporel.
Foncez tant qu’il est en salle !
Le rythme est celui d'une symphonie de Dvorak : surprenant, avec des temps de pause essentiels pour reprendre haleine.
D'habitude après un Miyazaki, on sort de la salle avec une musique dans la tête ; pour le garçon et le héron, c'est le silence qui résonne, et le souffle des dormeurs. Le génie du cinéaste est intemporel.
Foncez tant qu’il est en salle !
Décidemment la réputation du "vieux" Miyazaki n'est pas usurpée. Un film pour toutes générations, un peu testament et démonstration de sa pleine liberté de nous proposer un voyage dans l'imaginaire, les rêves pour mieux revenir à la réalité des humains.
En sortant l'impression d'avoir vu un mix inattendu d'Alice aux pays des merveilles et de… 2001, l'odyssée de l'espace! La pierre du grand-oncle fait furieusement penser au monolithe noir de Kubrick. La mort, la renaissance, la continuité de la vie d'une génération à l'autre, les messages s'entrechoquent et ne sont pas tous résolus, libre au spectateur de se laisser porter dans ce voyage mystique, très visuel, plus que sonore, la musique laissant souvent la place à de longs silences.
Le riche graphisme des paysages offre son lot habituel de couleurs dégradées, complémentaires et bien plus fouillées que les personnages eux-mêmes.
Le feu détruit autant qu'il purifie, l'eau porte le marin ou renverse le navire, la terre nourrit la végétation luxuriante ou ensevelit les corps, l'air accueille le héron ou souffle la tempête. On n'est jamais manichéen, toujours un passage existe vers un monde différent, porteur d'un minimum d'espoir, dans les situations les plus désespérées.
Les petites perruches, lorsqu'elle deviennent géantes, sont des gardes du corps carnivores redoutables. Et réciproquement.
Et puis, même sans message, l'animation multiplie les envols, les panoramas sublimés, lesquels sont en soi déjà un régal de tous les instants pour les yeux.
Bref, la sérénité est au coin de la vielle tour délabrée.
cinéma - novembre 23
En sortant l'impression d'avoir vu un mix inattendu d'Alice aux pays des merveilles et de… 2001, l'odyssée de l'espace! La pierre du grand-oncle fait furieusement penser au monolithe noir de Kubrick. La mort, la renaissance, la continuité de la vie d'une génération à l'autre, les messages s'entrechoquent et ne sont pas tous résolus, libre au spectateur de se laisser porter dans ce voyage mystique, très visuel, plus que sonore, la musique laissant souvent la place à de longs silences.
Le riche graphisme des paysages offre son lot habituel de couleurs dégradées, complémentaires et bien plus fouillées que les personnages eux-mêmes.
Le feu détruit autant qu'il purifie, l'eau porte le marin ou renverse le navire, la terre nourrit la végétation luxuriante ou ensevelit les corps, l'air accueille le héron ou souffle la tempête. On n'est jamais manichéen, toujours un passage existe vers un monde différent, porteur d'un minimum d'espoir, dans les situations les plus désespérées.
Les petites perruches, lorsqu'elle deviennent géantes, sont des gardes du corps carnivores redoutables. Et réciproquement.
Et puis, même sans message, l'animation multiplie les envols, les panoramas sublimés, lesquels sont en soi déjà un régal de tous les instants pour les yeux.
Bref, la sérénité est au coin de la vielle tour délabrée.
cinéma - novembre 23
Miyazaki propose une oeuvre méta, complexe, profonde qui demandera à coup sûr des revisionnages pour pouvoir en appréçié toute les subtilités. C'est visuellement toujours au top, à la fois riche sur le fond et sur la forme. Peut être pas son meilleur mais c'est un film à voir !
" le garçon et le héron " : ennuyeux ( et incompréhensible) sur le fond mais absolument magnifique sur la forme !
J'ai regardé les images et coupé le son ...
J'ai regardé les images et coupé le son ...
miyazaki livre une oeuvre magnifique, complexe et riche. Un film mature aux thématiques variées et aux personnages profonds.
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