Mon compte
    Le Garçon et le Héron
    Note moyenne
    3,8
    5220 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Le Garçon et le Héron ?

    462 critiques spectateurs

    5
    85 critiques
    4
    101 critiques
    3
    121 critiques
    2
    90 critiques
    1
    41 critiques
    0
    24 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Gintonik
    Gintonik

    20 abonnés 6 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 13 novembre 2023
    Que c'est long, long, très long... des dessins magnifiques mais ça ne suffit pas à combler ce film qui n'a ni queue ni tête. Un supplice.
    Stéphane Gallard
    Stéphane Gallard

    6 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 novembre 2023
    Nous étions trois à aller voir le film. Aucun de nous n'a vraiment compris ce qui se passait. En conséquence, on reste à l'écart d'une histoire dont on ne saisit pas les enjeux.
    Noa Faure
    Noa Faure

    4 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 novembre 2023
    Pour moi ce film n’est absolument pas tout public car Oui il peut paraître long , Oui il n’est pas fort en rebondissement , il n’est p as non plus adapté à tout le monde… Néanmoins les fans du Grand Maître Japonais sont servis car tout ce que je recherchais en allant le voir est présent , il fait rêver et au combien nous en avons tous besoins en ces temps là , Le merveilleux est omniprésent dans ce film et c’est bien cela qui est appréciable , de plus le point de vue que nous adoptons permet bien de suivre le héros dans sa quête initiatique que l’on prends tout aussi à coeur .
    Isubay
    Isubay

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 novembre 2023
    Cette nouvelle oeuvre de Myazaki nous a encore une fois conquis et transportés dans un monde de toute beauté ! L'histoire est touchante et captivante, les graphismes magnifiques : toute la famille a adoré !
    Arthur Guezou
    Arthur Guezou

    159 abonnés 1 510 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 novembre 2023
    J’ai vu très peu de films des Studios Ghibli mais j’ai rarement été déçu. Concrètement, j’ai trouvé le film bien mais j’ai eu la sensation de voir “Beau is afraid” de Ari Aster, ça part dans tous les sens. Le scénario est intéressant mais trop dense, par contre, la mise en image est irréprochable.

    Rapidement, j’estime que Hayao Miyazaki ne déçoit jamais en termes d’animation. Les dessins sont magnifiques et très détaillés, il y a quelques problèmes de textures et de saccades mais cela ne m’a absolument pas dérangé et cela va avec le style. La composition de l’image est carré ; la photographie est très belle. Mais selon moi, ce qui est le plus marquant dans ce film est sans hésitation la musique : je trouve que la musique est d’une justesse remarquable et rythme le montage. En bref, l’animation est pratiquement parfaite et on ressent le véritable travail du metteur en scène.

    Quant à l’histoire, je trouve que Miyazaki s’étale un peu trop dans ses pensées. Objectivement, je trouve que le scénario est intéressant mais il est trop long car il raconte beaucoup trop de choses. Le récit a fini par me perdre. Quoi qu'il en soit, les personnages sont caractérisés uniquement par leur visuel plus que par leur personnalité ; c’est un peu frustrant. Après chacun ont une évolution crédible et cohérente vis-à-vis de ce que nous présente l'intrigue principale. Malheureusement, le scénario n’est pas aussi touchant que d’autres, mais fait un bon taf.

    En clair, je conseille ce film car Hayao Miyazaki a toujours le talent de nous plonger dans son univers avec la même surprise que d’antan.
    Mr cinetok
    Mr cinetok

    259 abonnés 320 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 novembre 2023
    Miyazaki maitre de l'animation japonaise réalise encore une oeuvre de toute beauté plein de détails bluffant mais malheureusement le rythme trop contemplatif et une histoire trop compliquée à suivre dans différent univers nous perd par moment, heureusement que le dénouement final rattrape un peu l'ensemble.
    Yannick D.
    Yannick D.

    7 abonnés 30 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 novembre 2023
    Le Garçon et le Héron, d’Hayao Miyazaki

    Version courte : Je me suis toujours demandé ce que ça faisait de boire 3 bouteilles de saké cul-sec. Maintenant je sais.

    Version longue : Le maître de l’animation Japonaise Hayao Miyazaki signe ici son 12ème long métrage à l’aube de ses 82 ans. Dirigeant d’une main de fer dans un gant de fer son studio Ghibli, il est l’auteur de nombreux films qui ont rencontré un succès international grâce à un univers riche et coloré teinté de poésie onirique.
    Princesse Mononoké (1997), Le voyage de Chihiro (2001), Le château Ambulant (2004)… ont tous été des succès internationaux incontestables.
    Le Garçon et le Héron reprend les thèmes chers à l’auteur : un personnage introverti, isolé du monde turbulent et qui observe celui-ci de façon détachée et s’en extrait par une aventure fantastique inattendue. Miyazaki, comme à son habitude, nous propose de découvrir l’histoire de son personnage dans un Japon en partie fantasmé, reflet d’un héritage historique, où les modes de vie traditionnels, une éthique pacifiste, des liens familiaux et des personnages forts sont confrontés à une nature puissante et foisonnante. C’est sans doute, cette simplicité, ce retour à des relations humaines où les qualités morales sont mises en avant et sincères, ainsi que les éléments fantastiques poétiques qui expliquent le succès de ses films. Une parenthèse enchantée dans un monde impersonnel ou tout semble toujours aller très vite.

    Cette dernière production reprend donc les codes écrits par le maître avec une certaine justesse qui nous prédispose à plonger avec délectation dans cet univers coloré et par certains côtés inquiétant. Si tous les codes sont respectés, il ressort que le film va lentement glisser vers un univers onirique qui ne sera pas sans rappeler celui de Lewis Carroll avec son Alice aux Pays des Merveilles. Certains personnages et situations du conte précédemment cité feront écho aux plus imaginatifs d’entre vous.
    Mais là ou le récit de Lewis Carroll nous offrait avec brio une lecture linéaire de la trame, il est hélas à déplorer que Le garçon et le Héron nous perd assez rapidement dans un enchaînement de séquences dont la logique, ou du moins la cohérence, font défaut.
    Ce sentiment de confusion continuera après l’arrivée assez abrupte du générique, à la sortie de la salle alors que vous discuterez du film avec votre compagnon d’infortune qui se sera endormi durant la séance.
    Afin d’avoir quelques éléments de compréhension du film il est nécessaire de s’attarder sur la vie même de l’auteur. En effet, de nombreuses séquences et personnages spoiler: semblent être liés à ce que Miyazaki aura vécu durant ses années de création : la notion d’isolement pour réaliser une oeuvre, la question de la succession pour faire perdurer l’univers créé durant des années autour des différents films, la concurrence de nombreux artistes souhaitant se faire un nom, les relations entre l’auteur et le responsable du studio Ghibli, la dénonciation du capitalisme à outrance…
    Autant de clés qu’il faudra déceler en seconde lecture et qui se basent donc sur un film « testament » autobiographique dissimulé derrière des séquences et des éléments symboliques ou métaphoriques.
    Un indice pour faciliter votre lecture : spoiler: nombre de ces "éléments" volent en bande et ont la capacité de déféquer avec précision dans les airs.
    Une capacité dont l'être humain est dépourvu bien heureusement.
    Dans le film, spoiler: l’univers du grand-oncle se meure et peine à trouver un successeur.
    Hayao Miyazaki atteignant 82 ans, cette métaphore devient de plus en plus évidente. Hélas sans ces clés, le récit peut sembler confus et c’est sans doute pour cela que l’auteur nous prévient en préambule : « Ceux qui cherchent à comprendre périront ».
    En effet.
    Nicolas B.
    Nicolas B.

    18 abonnés 31 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 novembre 2023
    Ça n'est peut-être pas son meilleur car la lecture du film est très difficile. Mais quel bonheur de le voir revenir à l'écran.... Il manque cependant une très belle musique...
    Benjamin A
    Benjamin A

    37 abonnés 93 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 novembre 2023
    Bon film,

    spoiler: Vraiment triste quand on voit le parallèle qui est fait entre le vieil oncle qui doit trouver un successeur pour construire des mondes avec ce qui semble être un jouet pour enfant. Quand il dit que son monde sera détruit et que quelqu'un doit prendre sa place. Vraiment triste, en espérant que Miyazaki nous fasse un autre film même si celui-ci a un réel message de fin. Sinon le film est coloré, la thématique la mort est bien présente. Un film triste mais les enfants ne devraient sans doute pas voir le message derrière, ça vaut sûrement mieux.
    LEMON
    LEMON

    1 abonné 24 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 novembre 2023
    Grosse déception ! Au début on cherche le sens ... Puis on a de plus en plus l'impression d’assister au délire d'un auteur sous psychotrope avec souvent de belles images mais aussi et surtout des allégories complètement hermétiques. On espère jusqu'au bout qu'on finira par avoir la clef mais on ressort bredouille et frustré.
    Yves G.
    Yves G.

    1 457 abonnés 3 487 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 novembre 2023
    Mahitio a onze ans. La Seconde Guerre mondiale fait rage au Japon. Il perd sa mère dans l’incendie qui détruit Tokyo et part à la campagne avec son père, qui y dirige une usine aéronautique. Sa nouvelle belle-mère, déjà enceinte de son père, le prend sous sa coupe. Avec la complicité d’un héron cendré doué de parole, Mihito découvre un passage secret qui le mène dans un monde parallèle. Il y pénètre dans l’espoir d’y retrouver sa mère.

    Hayao Miyazaki, 82 ans, est de retour, dix ans après "Le vent se lève". Il avait pourtant, à plusieurs reprises déjà, annoncé sa retraite. Pour le plus grand soulagement de ses fans, il n’a pas tenu sa promesse.

    "Le Garçon et le Héron" sonne un peu comme un film testamentaire et comme la synthèse de ses films précédents. On y trouve, comme dans "Le vent se lève" ou dans "Porco Rosso", un ancrage historique bien réel et ici largement autobiographique (fils d’un ingénieur en aéronautique, Miyazaki est né en 1941 et sa famille a fui Tokyo en 1944 pour se protéger à la campagne des bombardements). Son héros est un pré-adolescent – ici un garçon alors que souvent il s’agissait d’une jeune fille ("Le Voyage de Chihiro", Le Château ambulant"). Comme Alice au pays des merveilles, ce héros effectue un voyage initiatique dans un monde imaginaire peuplé d’étranges créatures. Il en ressort transformé et grandi et y aura trouvé, comme Mihito à la fin du "Garçon et le Héron" les moyens d’y dépasser le traumatisme originel qu’il avait subi.

    Si la palette de Miyazaki est immédiatement reconnaissable, si on retrouve dans son dernier film les mêmes situations, les mêmes personnages que dans les précédents, cette répétition ne produit aucune lassitude. Au contraire. C’est avec un plaisir toujours renouvelé qu’on se laisse emporter dans cet univers à l’imagination débridée, tout à la fois mystérieux et familier.

    J’aurai vu trois films magistraux ces dernières semaines : "Killers of the Flower Moon", "L’Enlèvement" et "Le Garçon et le Héron". Ils sont chacun signés par un immense réalisateur octogénaire au sommet de son art. Aucun de ces films n’est crépusculaire. J’ai dit du "Garçon et le Héron" qu’il était testamentaire – dans la mesure notamment où il ouvre dans son dernier tiers une réflexion sur l’héritage et la succession – mais testamentaire et crépusculaire ne sont pas la même chose.
    Je ne sais que penser de cette concomitance. Faut-il déplorer que de jeunes réalisateurs se voient éclipsés par de vieilles gloires et que les meilleurs films qu’on nous propose en cet automne 2023 soient les mêmes que ceux qu’on nous proposait déjà il y a vingt ans à l’époque de "Gangs of New York", de "Buongiorno, Notte" ou du "Voyage de Chihiro" ? ou doit-on au contraire se féliciter qu’avant de passer la main ces immenses réalisateurs trouvent encore l’énergie de nous léguer un dernier témoignage de leur impressionnante maîtrise et de leur foisonnante créativité ?
    Marie Jose A
    Marie Jose A

    4 abonnés 23 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 novembre 2023
    Un bijou de poésie le maître japonais Miyazaki nous emmène loin dans notre imagination je pense que je vais revoir
    XAVIER
    XAVIER

    3 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 novembre 2023
    Des longueurs et des difficultés de compréhension , mais ou MIYAZAKI veut il nous emmener?
    Déçu après ses précédents films
    Rem 69
    Rem 69

    3 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 novembre 2023
    Un des meilleurs miyazaki mais très classique et c'est ce que j'attendais un mélange de réalité et de fantastique avec un petit côté plus sombre que les autres Ghibli.

    Du côté de l'animation c'est un sans faute un des animé les plus réussis du studio et que dire de la bo tout simplement parfaite.

    Le scénario semble être l'élément qui divise le plus au vu des critiques mais comme beaucoup de film de miyazaki je pense qu'il ne faut pas tout chercher à expliquer de manière rationnelle on est dans un comte et il faut se laisser porter chaque personne pourra interpréter le scénario a sa manière et c'est ce qui fait la force du genre pour ma part.

    Le film ma beaucoup fait penser au labyrinthe de Pan un film que j'avais également beaucoup aimé.

    Je recommande si vous aimez ce genre d'histoire qui mélange fantastique et réalité.
    Pascal Olivier
    Pascal Olivier

    5 abonnés 42 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 novembre 2023
    Raconter Le Garçon et le Héron serait d’une bêtise sans nom car cela reviendrait à définir une pensée poétique avec une formule mathématique. Alors comment parler de ce film ? Comment évoquer ce voyage surréaliste et flamboyant ? Le Garçon et le Héron étonne tout d’abord par son ton dur et réaliste, appuyé par une animation stupéfiante, qui laisse sans voix (surtout quand on est au premier rang comme moi !). Mais bientôt le long-métrage prend une tournure fantastique exubérante qui rappellera forcément aux amateurs du Maître Le Voyage de Chihiro, une œuvre maîtresse elle-même influencée par le livre de Lewis Caroll , Alice au pays des merveilles.

    Mais Le Garçon et le Héron, loin d’être une redite trébuchante dans une filmographie aussi exceptionnelle qu’exigeante, va au contraire creuser un sillon qui va nous entraîner au cœur même du processus créatif du réalisateur japonais, dans un vertige artistique où toutes les barrières temporelles, physiques et géographiques n’ont plus aucun sens. Nourris que nous sommes à l’imagerie numérique, nous n’étions pas prêts à recevoir Le Garçon et le Héron. Sa beauté formelle, inspirée notamment par l’art pictural, est une nouvelle fois transcendée par la musique de Joe Isaishi, qui délaisse la symphonie pour explorer une nouvelle voie musicale, plus impressionniste, qui sied parfaitement à la subtilité fantasmagorique qui habite ce film inespéré. Peut-on d’ailleurs espérer après un tel exploit artistique un autre film d’Hayao Miyazaki ? Tout est permis, et en attendant, on peut toujours retourner avec joie et émotions vers Ponyo, Kiki, Chihiro, Ashitaka et tous ces merveilleux personnages d’un univers toujours en mouvement et tourné vers la préservation de la beauté de la nature.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top