AlloCiné
Mon compte
Note moyenne
3,8
5266 notes
En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
Votre avis sur Le Garçon et le Héron ?
5
85 critiques
4
101 critiques
3
123 critiques
2
90 critiques
1
41 critiques
0
24 critiques
Trier par :
Filtrer par :
Toutes les notes
Je suis allé voir ce dessin animé avec mon neveu de 11 ans.
La vieillesse est un naufrage, disait Chateaubriand, merci à M. Miyazaki de nous en donner un exemple.
D'abord, ce film n'est pas fait pour les enfants ; il y a des scènes de violence, qui ont vraiment peur à mon neveu, et on a failli sortir de la salle.
Mais surtout, je déplore la nullité du scenario : des rebondissements sans intérêt, il n'y a pas de progression claire, on passe d'un "monde" à l'autre, sans aucune logique, pour trouver de nouvelles créatures encore plus bizarres que les anciennes.
Il n'y a pas en outre de construction psychologique du personnage principal.
Les dessins ne sont pas non plus très travaillés, passé les premières minutes du début.
Du coup, je me suis surpris à regarder plusieurs fois ma montre en me demandant quand ce désastre allait se finir ; hélas, plus de deux heures de film !
Je déconseille.
La vieillesse est un naufrage, disait Chateaubriand, merci à M. Miyazaki de nous en donner un exemple.
D'abord, ce film n'est pas fait pour les enfants ; il y a des scènes de violence, qui ont vraiment peur à mon neveu, et on a failli sortir de la salle.
Mais surtout, je déplore la nullité du scenario : des rebondissements sans intérêt, il n'y a pas de progression claire, on passe d'un "monde" à l'autre, sans aucune logique, pour trouver de nouvelles créatures encore plus bizarres que les anciennes.
Il n'y a pas en outre de construction psychologique du personnage principal.
Les dessins ne sont pas non plus très travaillés, passé les premières minutes du début.
Du coup, je me suis surpris à regarder plusieurs fois ma montre en me demandant quand ce désastre allait se finir ; hélas, plus de deux heures de film !
Je déconseille.
weihnachtsmann
L’introduction du fantastique est totalement une antithèse de son univers poétique.
Je n’ai vraiment pas du tout aimé ce récit qui part dans tous les sens.
On a toujours le dessin qui est superbe mais cette fois les personnages sont moyens. Moins cependant que la musique qui est sirupeuse et franchement laide.
Dernier point aussi. Pourquoi le jeune qui semble avoir 11-12 a la voix d’un jeune homme de 18 ans…….
Je n’ai vraiment pas du tout aimé ce récit qui part dans tous les sens.
On a toujours le dessin qui est superbe mais cette fois les personnages sont moyens. Moins cependant que la musique qui est sirupeuse et franchement laide.
Dernier point aussi. Pourquoi le jeune qui semble avoir 11-12 a la voix d’un jeune homme de 18 ans…….
Première expérience d’un film Miyazaki au cinéma pour moi et un ressenti mitigé à l’arrivée. Je reconnais le travail titanesque que le film a dû nécessiter pour offrir de si belles images. C’est tellement magnifique qu’on hésite à cligner des yeux pour ne pas en rater une miette. Mais à côté de ça, l’histoire ne m’a pas transportée. J’aime les films d’animations mais je n’ai jamais été vraiment sensible à ceux du Studio Ghibli.
D'autres critiques sur le compte IG : lecinema.clement
D'autres critiques sur le compte IG : lecinema.clement
Frédéric M.
Merci à Allociné pour l'avant première ! Une pièce maitresse signé du grand Hayo. Histoire touchante, personnages attachants, animation magnifique (chaque plan est une beauté !). Belle bande son. Tous les ingrédients sont la. Je pense qu'il faut plusieurs visionnages pour bien comprendre le film. Et par contre, cela surpasse les chefs d’œuvre Mononoké et Chihiro
traversay1
Au cinéma, cet automne, il se passe un phénomène étonnant avec la prolifération d’œuvres réalisées par des octogénaires, et pas des moindres : Bellocchio, Scorsese, Loach, Allen, Arcand, Schroeder, R. Scott, Miyazaki, ... Avec une question qui revient inévitablement : sont-ce des films testamentaires ? En ce qui concerne le maître japonais de l'animation, Le garçon et le héron, tous les exégètes vous le diront, ressemble à un film-somme de sa carrière, avec un fort symbolisme de ses personnages et des événements marquants de son existence. Mais ce que l'on espère d'un long-métrage de Miyazaki tient toujours en quelques mots : de la magie, de l'enchantement et de l'émotion. Le contrat sera sans doute rempli pour certains mais pas pour tous, y compris parmi les admirateurs les plus fervents du cinéaste. Après un début réaliste très prenant, le film dérive ensuite vers un monde fantastique et merveilleux, comme une version particulière d'Alice au pays des merveilles, qui semble quelque peu opaque et aux péripéties imprévisibles. Visuellement, c'est somptueux mais narrativement moins convaincant, même si apparaissent très lisiblement des thématiques familières : l'enfance, l'apprentissage, la maternité, la mort, la transmission, etc. L'on navigue en permanence au sein d'un bestiaire envahissant dans lequel les oiseaux de malheur abondent. Le regret est de ne pas être touché profondément et durablement par cette fantaisie sérieuse qui oscille entre l'optimisme et le pessimisme. Le garçon et le héron est digne d'admiration mais l'exaltation n'est pas à la hauteur des attentes.
Ce film était attendu, depuis déjà quelques années.
Pour ma part également, étant un discret amateur des films des studio Ghibli, dont ceux du grand Hayao Miyazaki, je l'attendais de pied ferme mais avec une légère appréhension. Miyazaki ayant toujours créé des films complexes et un poil chaotiques, surtout dans ses derniers travaux (moins pour le vent se lève mais le Voyage de Chihiro et le château ambulant en sont d'excellents exemples) qui malgré cela demeurent des films excellents.
Malheureusement, cette apprehension s'est avéré justifiée.
Le film se perd dans son besoin de vouloir trop en montrer, l'histoire est confuse, on nous balance de nouvelles idées, de nouvelles intrigues qui sont peu approfondies voire rapidement abandonnée. Les relations entre les personnages ne sont pas développées et pourtant soudainement tout le monde aime tout le monde.
La plupart des gens trouvent le film long, étonnement j'ai moins eu ce ressenti.
Je reste néanmoins déçu, je n'ai même pas eu l'impression de voir un Miyazaki père, le film m'a bien plus fait penser aux contes de Terremer de Miyazaki fils, décevant.
Pour ma part également, étant un discret amateur des films des studio Ghibli, dont ceux du grand Hayao Miyazaki, je l'attendais de pied ferme mais avec une légère appréhension. Miyazaki ayant toujours créé des films complexes et un poil chaotiques, surtout dans ses derniers travaux (moins pour le vent se lève mais le Voyage de Chihiro et le château ambulant en sont d'excellents exemples) qui malgré cela demeurent des films excellents.
Malheureusement, cette apprehension s'est avéré justifiée.
Le film se perd dans son besoin de vouloir trop en montrer, l'histoire est confuse, on nous balance de nouvelles idées, de nouvelles intrigues qui sont peu approfondies voire rapidement abandonnée. Les relations entre les personnages ne sont pas développées et pourtant soudainement tout le monde aime tout le monde.
La plupart des gens trouvent le film long, étonnement j'ai moins eu ce ressenti.
Je reste néanmoins déçu, je n'ai même pas eu l'impression de voir un Miyazaki père, le film m'a bien plus fait penser aux contes de Terremer de Miyazaki fils, décevant.
"Le Garçon et le Héron", réalisé par Hayao Miyazaki, est une exploration émotive et onirique des thèmes du deuil, de la résilience et de la quête de sens. Dans cette œuvre empreinte de poésie, Miyazaki nous invite à suivre Mahito, un garçon de 11 ans marqué par un événement tragique : la mort de sa mère dans un incendie. Suite à cette perte dévastatrice, Mahito est contraint de quitter Tokyo pour s'installer avec son père dans un village isolé de la campagne, là où sa mère avait grandi. Ce déménagement n'est pas seulement un changement de lieu mais un exil émotionnel pour Mahito, qui se retrouve dans un vieux manoir solitaire, chargé de souvenirs et d'inconnues, au cœur d’un vaste domaine empreint de mystère.
Alors qu’il tente de se familiariser avec cette nouvelle vie, Mahito rencontre un héron cendré, un oiseau au regard perçant et au comportement curieux, qui se révèle être bien plus qu’un simple habitant du domaine. Ce héron, énigmatique et presque irréel, devient son guide spirituel et l’accompagne dans une série de rencontres et de découvertes bouleversantes. Au fil des jours, le héron encourage Mahito à explorer les recoins cachés de ce monde rural, mais aussi à plonger au plus profond de ses propres émotions. À travers des échanges à la fois déroutants et fascinants, le héron pousse Mahito à réfléchir sur les grandes questions de la vie, l’invitant à percer les secrets de l'existence, du deuil et de l'après-vie.
Guidé par le héron, Mahito se retrouve à la croisée des chemins entre la réalité tangible de la campagne et un univers parallèle empli de magie et de symboles. Cet autre monde, à la fois enchanteur et inquiétant, est peuplé de créatures étranges et de paysages irréels qui semblent exister pour lui seul. Miyazaki tisse ici un monde d’une beauté visuelle époustouflante, imprégné de symbolisme où la nature est à la fois un miroir et une porte vers l’invisible. À travers cette exploration, Mahito commence à comprendre que le deuil n’est pas seulement une douleur à surmonter mais aussi un voyage initiatique qui lui permet de se redécouvrir lui-même et de faire la paix avec la mémoire de sa mère.
Dans cette histoire, Miyazaki met en scène la cohabitation du visible et de l'invisible, un thème cher à son œuvre. Mahito est progressivement initié aux cycles de la nature et à la sagesse intemporelle des lieux, des esprits et des animaux qui peuplent cet univers. À travers des rencontres avec des personnages mystérieux, des paysages oniriques, et la présence constante du héron, il commence à entrevoir les liens invisibles qui relient les êtres humains, les générations et les mondes parallèles. Le héron cendré devient ainsi pour Mahito un compagnon d’âme, une passerelle entre l’ici et l’ailleurs, entre la vie et la mort, lui offrant l'occasion de transcender sa douleur et de grandir.
"Le Garçon et le Héron" est bien plus qu'une simple aventure ou un conte initiatique ; c'est un récit où la résilience, la magie, et la quête de compréhension de soi sont intimement liés. Miyazaki utilise chaque scène pour nous rappeler la beauté et la fragilité de l’existence, transformant le parcours de Mahito en une véritable méditation visuelle et spirituelle. Les décors somptueux, la richesse des détails, et les paysages empreints de nostalgie invitent le spectateur à ralentir, à observer et à ressentir, tout en abordant des thèmes aussi universels que l’amour, la perte, et le passage de l'enfance à l'âge adulte.
Avec "Le Garçon et le Héron", Miyazaki signe une œuvre pleine de profondeur et de sagesse, un hommage à la nature et aux mondes cachés qui coexistent avec notre quotidien, et un rappel que même au sein de la douleur, il est possible de trouver des réponses et une lumière nouvelle. Ce film est une célébration de la puissance de l’imaginaire et de la spiritualité dans le processus de guérison, un appel à découvrir la beauté cachée derrière chaque ombre, et un témoignage de l’influence durable de Miyazaki sur le cinéma et l'animation.
Alors qu’il tente de se familiariser avec cette nouvelle vie, Mahito rencontre un héron cendré, un oiseau au regard perçant et au comportement curieux, qui se révèle être bien plus qu’un simple habitant du domaine. Ce héron, énigmatique et presque irréel, devient son guide spirituel et l’accompagne dans une série de rencontres et de découvertes bouleversantes. Au fil des jours, le héron encourage Mahito à explorer les recoins cachés de ce monde rural, mais aussi à plonger au plus profond de ses propres émotions. À travers des échanges à la fois déroutants et fascinants, le héron pousse Mahito à réfléchir sur les grandes questions de la vie, l’invitant à percer les secrets de l'existence, du deuil et de l'après-vie.
Guidé par le héron, Mahito se retrouve à la croisée des chemins entre la réalité tangible de la campagne et un univers parallèle empli de magie et de symboles. Cet autre monde, à la fois enchanteur et inquiétant, est peuplé de créatures étranges et de paysages irréels qui semblent exister pour lui seul. Miyazaki tisse ici un monde d’une beauté visuelle époustouflante, imprégné de symbolisme où la nature est à la fois un miroir et une porte vers l’invisible. À travers cette exploration, Mahito commence à comprendre que le deuil n’est pas seulement une douleur à surmonter mais aussi un voyage initiatique qui lui permet de se redécouvrir lui-même et de faire la paix avec la mémoire de sa mère.
Dans cette histoire, Miyazaki met en scène la cohabitation du visible et de l'invisible, un thème cher à son œuvre. Mahito est progressivement initié aux cycles de la nature et à la sagesse intemporelle des lieux, des esprits et des animaux qui peuplent cet univers. À travers des rencontres avec des personnages mystérieux, des paysages oniriques, et la présence constante du héron, il commence à entrevoir les liens invisibles qui relient les êtres humains, les générations et les mondes parallèles. Le héron cendré devient ainsi pour Mahito un compagnon d’âme, une passerelle entre l’ici et l’ailleurs, entre la vie et la mort, lui offrant l'occasion de transcender sa douleur et de grandir.
"Le Garçon et le Héron" est bien plus qu'une simple aventure ou un conte initiatique ; c'est un récit où la résilience, la magie, et la quête de compréhension de soi sont intimement liés. Miyazaki utilise chaque scène pour nous rappeler la beauté et la fragilité de l’existence, transformant le parcours de Mahito en une véritable méditation visuelle et spirituelle. Les décors somptueux, la richesse des détails, et les paysages empreints de nostalgie invitent le spectateur à ralentir, à observer et à ressentir, tout en abordant des thèmes aussi universels que l’amour, la perte, et le passage de l'enfance à l'âge adulte.
Avec "Le Garçon et le Héron", Miyazaki signe une œuvre pleine de profondeur et de sagesse, un hommage à la nature et aux mondes cachés qui coexistent avec notre quotidien, et un rappel que même au sein de la douleur, il est possible de trouver des réponses et une lumière nouvelle. Ce film est une célébration de la puissance de l’imaginaire et de la spiritualité dans le processus de guérison, un appel à découvrir la beauté cachée derrière chaque ombre, et un témoignage de l’influence durable de Miyazaki sur le cinéma et l'animation.
J'ai mis 1,5 étoile uniquement pour les dessins toujours magnifiques. Au niveau de l'histoire trop d'incohérences, de délires de l'auteur. Il y a des questions sans réponse (
spoiler:
on ne voit pas l'importance d'avoir trouvé le livre de sa mère, pourquoi le héron veut l'emmener au début du film puis quand le héros veut entrer dans le monde du héron, il fait tout pour le repousser, le passage sur le décollage des petits personnages blancs n'a aucun intérêt et encore moins l'attaque des pélicans
). Bref, vous l'aurez compris je n'ai pas du tout accroché à ce nouveau Ghibli. Mon fils de 10 ans, qui est plutôt fan de ces dessins animés n'a pas aimé non plus le trouvant trop décalé.
). Bref, vous l'aurez compris je n'ai pas du tout accroché à ce nouveau Ghibli. Mon fils de 10 ans, qui est plutôt fan de ces dessins animés n'a pas aimé non plus le trouvant trop décalé.
Une immense déception. Une première partie on ne peut plus convaincante laisse place à une longue, très longue errance dans les mondes parallèles. Personnages multiples, dénués d empathie, intrigue confuse... Difficile de s intéresser un tant soit peu à ce personnage principal d une froideur déconcertante.
velocio
Il fallait bien que je finisse par aller voir un film de ce réalisateur japonais que beaucoup encensent même si les films d'animation n'entrent que très, très rarement dans mes préférences personnelles. Je suis donc allé voir "Le garçon et le héron". Résultat : les films d'animation, ce n'est vraiment pas pour moi ! Là où beaucoup voient de la poésie et de la profondeur dans l'histoire racontée, désolé, mais je n'ai vu que de la niaiserie et je me suis profondément ennuyé. Et puis, qui peut m'expliquer pourquoi, dans ce film japonais, les personnages principaux font penser à des européens ou à des américains et non à des habitants du pays du soleil levant ?
Énorme déception
Les dessins sont toujours aussi magnifiques mais l'histoire part dans tous les sens : très lente à démarrer puis déstructurée avec des personnages moches bref passez votre chemin ou retournez voir Porto Rossi ou kiki mais pas lui !
Les dessins sont toujours aussi magnifiques mais l'histoire part dans tous les sens : très lente à démarrer puis déstructurée avec des personnages moches bref passez votre chemin ou retournez voir Porto Rossi ou kiki mais pas lui !
Cette fable est portée par la renommée et l attente surprise de Myazaki. Autant j' ai aimé ces précédentes œuvres mais avec Mahito et son heron, je ne suis pas rentré dans le film. Certe il y a un gros progrès sur l image, les textures, les couleurs, mais les personnages principaux ne sont pas attachants. le passage espace temps dans différents univers avec le maître du château sent le déjà vu, et rend le déroulement brouillon. En gros on a une Alice aux pays du multivers à la sauce Myazaki. Pour les avoir comparés à la sortie de Suzume comme quoi Makoto Shinkai était le disciple de Myazaki, je pense que le maître a été largement dépassé sur tout les plans d un animé Nippon par son soit disant élève.
Très lent, le film ne démarre jamais vraiment, peut-être des références en Asie mais l'histoire est incompréhensible. Même l'univers manque de magie, quelle déception après le chateau dans le ciel ou le voyage de Chihiro.
Une bonne grosse déception en tant qu’amatrice de l’œuvre de Myasaki… Une première partie lente et contemplative avec des personnages laids et bâclés, l’intégration de l’animation dans le décor est grossière .. un héros de 10 ans avec une voix d’homme de 18 ans, une longue…très longue errance dans les mondes parallèles avec un grand oncle coiffé comme dragon ball Z et des perruches carnivores … Aucune poésie, histoire décousue, protagonistes dénués d empathie, intrigue confuse... je ne comprends malheureusement pas ce film, je n’en vois pas l’interêt et j’en suis bien triste.
Un film d'animation extrêmement décevant malgré la qualité de l'animation : le scénario est abscons et le graphisme simpliste et laid. Miyazaki a réalisé des chefs d'œuvre, je vais vite oublier ce film qui n'est clairement pas au niveau.
La critique complète sur https://le-blog-d-elisabeth-g.blogspot.com/2023/11/le-garcon-et-le-heron-de-hayao-miyazaki.html
La critique complète sur https://le-blog-d-elisabeth-g.blogspot.com/2023/11/le-garcon-et-le-heron-de-hayao-miyazaki.html
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse