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    Au Pays du Sang et du Miel
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    3,4
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    117 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 29 mars 2012
    En réponse à pascal37 rassurez vous les serbes connaissent bien leur histoire et savent également que de leur coté des innocents ont également été tué en Bosnie et en Croatie et ensuite au Kosovo ! Les morts ne sont pas l'apanage des musulmans et des croates. De plus, pour votre gouverne les nationalistes croates et musulmans de Bosnie ont également fait du tort à leur peuple. Marre du deux poids deux mesures et renseignez vous sur les nationalistes croates ustachis qui en 1941 sous la houlette de ante Pavelic ont exterminé des milliers de juifs, serbes et tziganes ...! Non le peuple serbe n'est pas à blâmer pour la guerre en Bosnie uniquement les dirigeants qui ont commis ces crimes donc ne mettez pas tout le monde dans le même sac. Et vukovar est en Croatie pas en Bosnie.
    Julien D
    Julien D

    1 212 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 novembre 2012
    Quelle agréable surprise de voir qu’Angelina Jolie, dont je les performances d’actrice sont souvent décevantes, puisse réaliser un film aussi choquant, au meilleur sens du terme. C’est en effet avec une approchante très poignante qu’elle aborde un sujet, jusque là rarement abordé par Hollywood, qui fut la guerre civile en Bosnie-Herzégovine. En s’interrogeant sur le choix que doit faire son héroïne musulmane entre le maintien dans une relation particulièrement ambiguë avec un soldat ennemi et la peur du génocide fait à son peuple, la réalisatrice parvient à souligner la place des femmes dans ce conflit. Le fait de rendre si profond le trouble animant les deux personnages face à cette barbarie donne à cette dénonciation (dont le manichéisme permettra à certains de le qualifier d’antiserbes) un acte engagé et bouleversant.
    PhilippeToile
    PhilippeToile

    46 abonnés 740 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 février 2012
    Qui pouvait attendre de la très glamour Angelina Jolie, pour ses débuts derrière la caméra, un film de guerre aussi âpre, tendu et profond ? Son choix de la guerre en Bosnie nous rappelle opportunément que les atrocités et les exactions barbares ont perdurées en Europe bien après la chute du nazisme. Sa volonté d’attirer l’attention sur les violences faites aux femmes ne l’empêche nullement d’aborder plus largement ce conflit triangulaire religieux, ethnique et nationaliste, où l’aveuglement politique le dispute à la sauvagerie armée. Le scénario inclut une histoire d’amour assez trouble entre une bosniaque musulmane et un officier serbe. Cette romance un peu perverse, à la limite du syndrome de Stockholm, constitue un fil conducteur efficace et un élément de réflexion supplémentaire. Certains reprocheront à la réalisatrice son propos très antiserbe, mais il convient de saluer son courage et son refus des concessions en utilisant d’excellents acteurs locaux qui s’expriment dans leur langue d’origine. Un film coup de poing incontournable.
    willyzacc
    willyzacc

    79 abonnés 1 544 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 février 2012
    Un sujet difficile pour un premier film, un film engagé qui oublie peut-être de montrer l'autre côté de la guerre, celui des Serbes qui sont des bourreaux et rien de plus ici.. Après les scènes sont dures, sans concession et les acteurs sont bons. Sans les scènes de romance plutôt inutile on tenait peut-être un très bon premier film.. Bon début en tant que réalisatrice pour Angelina.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 23 février 2012
    très grand film les acteurs sont très bon et surtout se souvenir d e l horreur de ce qui s'est passé en Bosnie herzégovine et le génocide perpétré
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 23 février 2012
    très beau film dur à regarder surtout pr les personnes qui l'ont vecu
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 23 février 2012
    Angelina Jolie aurait eu du mal à choisir un sujet plus difficile pour ses débuts de réalisatrice. Son film "Au Pays du Sang et du Miel " vise la violence dont les femmes furent victimes dans la récente et sanglante guerre en Bosnie-Herzégovine (1992-1995).

    Ce sujet représente, en plus d’un défi professionnel, une immense responsabilité morale à l’égard des victimes.

    La question qui se posait en tout premier lieu était de savoir si Jolie saurait éviter la partialité ethnique dans la présentation des victimes. Notre recherche a mis en évidence son échec complet sur ce plan.
    Les récentes premières du film «Au pays du sang et du miel» nous ont offert l’occasion attendue depuis longtemps d’en faire une analyse et de vérifier ainsi la partialité antiserbe qui lui est reprochée.

    Procédant par la méthode d’analyse du contenu nous avons compté les personnages apparaissant dans les scènes de violence et les avons catégorisés d’après leur sexe (hommes, femmes), leur rôle dans le conflit (civils, militaires), leur rôle dans l’acte de violence (victime, auteur de violence) et d’après leur appartenance ethnique (Musulman, Serbe, Croate). Puis nous avons comparé les valeurs ainsi obtenues aux statistiques officielles.

    Ces allégations ne sont pas conformes à l’état des faits.

    La guerre en Bosnie-Herzégovine a été une guerre civile qui opposait non deux, mais trois peuple constitutifs de ce pays: Musulmans (ou Bosniaques), Serbes et Croates. Les trois parties au conflit se faisaient mutuellement la guerre et commettaient des atrocités, y compris la violence sexuelle sur les femmes, et les trois ont été victimes de ces crimes.

    Le total et la proportion des victimes par leur appartenance ethnique ne sont disponibles que sous forme des estimations approximatives. D’après les estimations faites par le Centre de recherche et de documentation à Sarajevo, la guerre en Bosnie aurait fait un total approximatif de quelque 100000 victimes, dont 66% de Musulmans, 26% de Serbes et 8% de Croates. Ce même Centre a dénoncé le chiffre de 20000 femmes violées comme une “complète exagération” et une manipulation. À titre de comparaison, Jolie prétend dans son film que «jusqu’à 50000 femmes bosniennes ont été violées».

    Ignorer les victimes serbes constituerait en soi un acte de discrimination et de manque de respect. Mais dans le film cet acte s’aggrave par le fait que Jolie ne fait rien pour exempter les victimes serbes de la culpabilité généralisée, pas plus que pour effleurer du moins la responsabilité des auteurs des méfaits musulmans.

    D’après Jolie, le but du film aurait été de rendre hommage aux victimes. Mais le résultat en fut tout le contraire : les victimes sont discriminées, tues, culpabilisées et rendues encore plus vulnérables.

    La réalisatrice et les acteurs ont à plusieurs reprises rejeté l’antiserbisme qui leur était reproché en insistant qu’ils ont été justes et objectifs.

    Les résultats de notre recherche révèlent cependant une partialité antiserbe indubitable, à tel point que dans le film en question aucune victime serbe n’a été représentée et aucun auteur de crime qui ne fût serbe.

    Par rapport à la réalité, une telle représentation ne saurait même être qualifiée de partiale – elle est entièrement unilatérale.

    Le portrait en noir et blanc est une procédure artistique profondément enracinée et cela non seulement à Hollywood. «Ce n’est pas un documentaire» est l’excuse que Jolie et son équipe ont souvent avancée.

    La question qui se pose est celle de savoir ce qu’est que ce film ? Est-ce un monument aux victimes d’une guerre civile, ou à une des parties belligérantes? Devait-il témoigner du respect ou du mépris pour les victimes?

    Comment peut-on comprendre cet écart total entre le contenu du film et la? Pourquoi la réalisatrice n’arrive-t-elle pas à voir l’anti-serbisme même quand elle est confrontée avec lui ?

    Si l’on écarte une préméditation dissimulée, la seule explication serait l’effet déshumanisant du préjugé antiserbe qui rend la souffrance serbe moins angoissante et fait prendre le tort serbe pour acquis.

    Dans la poignante scène finale du film, le personnage du Serbe Daniel répète: « Je suis un criminel de guerre ». Il exprime ainsi un consensus : les Serbes sont des criminels.

    Ce film montre bien combien le préjugé antiserbe est enraciné et dangereux, quand il peut convertir une militante des droits de la femme en complice de la dégradation des victimes du viol.

    La lutte contre ces préjugés est une condition préalable de la réconciliation dans les Balkans car celle-ci ne peut se construire que sur la vérité.
    maddz
    maddz

    3 abonnés 16 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 novembre 2012
    Très beau film: émouvant, touchant prenant et passionnant! Acteurs magnifiques ! La réalisation est une réussite!
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 25 février 2012
    Trés mauvais film , la réalisation est banal , et l'histoire , qui a été faite a moitié et montre une mauvaise image des serbes qui on étaient victimes aussi avant la guerre ..
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 10 mars 2012
    5 étoiles et pourtant pas assez ! Je ne savais pas que la guerre entre les bosniaques avait été aussi dure, surtout au sortir de la seconde guerre mondiale... Un film riche en émotion, âme sensible s'abstenir. Un superbe travail pour l'actrice Angelina Jolie !
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 4 juillet 2012
    Une bande-annonce alléchante, mais un film moyen. En effet , ce film possède des passages très long voire ennuyeux et où les moments les plus palpitants sont déjà présents dans la bande-annonce. Par contre un bon jeux des 2 acteurs principaux qui permet au film d'avoir la moyenne.
    Jahro
    Jahro

    57 abonnés 684 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 novembre 2014
    La moitié de feu les Brangelina voulait peut-être couper court à tous ceux qui doutaient de son engagement dans l’humanitaire, à ceux qui ne voyaient en elle qu’un visage refait, des robes de soirée et des poses affectées, en fait, à ceux qui ne lisent ni Closer ni Grazia. Et puis, après trente années offertes à l’objectif, la belle estimait probablement son bagage suffisant pour tenir les rênes à son tour. Bon. Elle ne s’en sort pas si mal. Le sordide théâtre reconstitué des guerres balkaniques (rien à voir avec le célèbre couple d’escrocs franciliens), le casting correct – dont elle a le bon goût de ne pas faire partie, la photographie d’école, ce premier essai n’a pas à rougir dans le maelstrom cinématographique moderne. Du moins formellement. Car cette énième variante de Roméo & Juliette, avec en guest stars un Montaigu serbe épris d’une Capulet de Bosnie, n’a d’original que son cadre. Et pâtit d’un pathos épatant. En fait non, assommant. Malgré les viols, exécutions, attentats, guet-apens chargés de tenir en éveil l’auditoire perplexe, ce dernier s’ennuie. Et pendant que la caméra s’attarde sur les pleurs, appuie les regards, ausculte les caresses, lui, il consulte sa montre. Le prochain parlerait d’Afghanistan : un GI in-love d’une bergère ?
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