La sirène retentit plusieurs fois sur scène, déconnectant une réalité extirpée, créant parfaitement l’illusion en direction vers cette île au levant ensoleillée mais ombrageuse au crépuscule, le vent souffle un froid canard dans le dos, ça commence à démarrer tonitruant.
Le célèbre jeux vidéo survival horror avec Silent Hill, a droit à son adaptation cinématographique en 2006, c’est à la mode, petit film sans prétention au moyen du plan B utilisé, voyons voir ce nettoyage de la mise en scène japonaise, c’est nickel, impeccable travailleuse hors paire, une méthode légendaire folklorique, toute à l’image de cette histoire étrange.
Les habitants îlotiers le sont, il n’y a pas de doute, des regards fixes vraiment pas nets, quelque chose qui cloche dans l’intrigue, un rituel d’une nouvelle religion inconnue obscurantiste, qu’est que ça peut être mal fichue ce scénario d’épouvante à dormir debout,
Les choses sérieuses débuteront que sont ces créatures sorties du folklore culturel, quand des visions infrarouges faits pour effrayés sans beaucoup d’effets de surprise, même pas peur papa et sa pelle, Siren au hurlement strident infernal et agaçant, bouchons les oreilles...
Les shibito japonais attaquent enfin, ah et il était temps, ce fut le plus plausible des cas spéciaux à reporter de l’île non paradisiaque, infernale...!!.. du cinéma bis nippon ni mauvais à s’en prendre plein la vue, ce n’était que l’imagination d’un esprit malade dans sa tête à penser des idées peu inspirées, l'isolement pièce manquée.
Inexpliquées concordances sans noms signés, à qui est-ce donc ces rôles appartiennent réellement.!?. La réalisation existe t’elle et n’est-ce qu’un mirage cinéma, une fiction pour la nettoyeuse délirante ?