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Un visiteur
2,0
Publiée le 20 juin 2012
Un jeu inégal des acteurs, des musiques très mal choisies, une heroine irritante, un manque cruel de plans plus large, bref difficile de trouver des points positifs pourtant l'idée de départ était vraiment intéressant. Heureusement que les chevaux sont là pour la beauté du geste et la fluidité qu'ils apportent au film qui lui en manque. En revanche j'ai été consternée de constater quelques scènes (heureusement peu nombreuses mais tout de même) où les chevaux sont en rollkur --'
un film nul !!!! le scénario, les acteurs (même Bruno Ganz il faut le faire !!) la musique !!! même quand on aime les chevaux, l'équitation, le dressage, il n'y a rien !! c'est creux, c'est long, c'est inintéressant en un mot complètement raté !! ce qu'on appelle un navet !!!! à ne pas voir pour éviter de perdre son temps !!!!
Une belle histoire sur le papier qui souffre sur écran d'un rythme monotone ne tardant pas à devenir soporifique. Restera de belles séquences de dressage pour nous faire ouvrir un œil une poignée de secondes.
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2,5
Publiée le 5 novembre 2019
Ah, le dressage hippique, avec ses codes et ses hièrarchies! Mise en scène bien maîtrisèe (sur les chevaux en mouvement surtout) mais des seconds rôles (hormis l'immense Bruno Ganz) à l'emporte-pièce! Que vient faire Josiane Balasko dans cette histoire de rivalitès ? Reste heureusement Marina Hands en idèaliste insoumise dont le bandeau très viscontien rappelle celui de Delon dans "il Gattopardo". Cette histoire d'une cavalière en quête d'un bourrin est tout juste honorable même si l'intèrêt est ici limitè! A noter la belle chanson "Il cielo" de Lucio Dalla et Gianni Morandi...
Un film inégal, parfois maladroit, mais finalement très touchant, grâce à quelques scènes d'anthologie, notamment celle où Marina Hands montre à l'entraîneur allemand comment elle a "dompté" son cheval. Rien que pour ce moment là, tous les amoureux des chevaux devraient avoir envie de voir ce film...
Bruno Ganz sauve la mise, Marina Hands est pénible dans son rôle d'emmerdeuse et d'ambitieuse., elle n'aime pas les chevaux elle aime sa carrière, c'est gênant. Du reste on a l'impression que dans ce fil il y a un grand absent l'amour de la bête, l'inverse de films actuels comme Le cheval de Guerre ou Bovines. C'est normal du reste, le dressage transforme l'animal intelligent et plein d 'émotion en robot mécanique. Si au moins il avait servi à dénoncer ce sport stupide (pas la monte, je dis bien le dressage en soi).
Contrairement à certains propos, et je parle en mon expérience en tant que groom à haut niveau international, le monde du cheval de concours ( professionnel) ressemble à peu près à ce qui ce passe dans le film. Tu commence par faire la merde car on ne confie pas des chevaux de cette qualité à n'importe qui(argent en jeux,pression des qualifications, confiance et ambitions des propriétaires...) ce monde n'est pas rempli forcément de gentillesse et d'humanité.de plus lors de mes déplacements à l'étranger je n'ais pas toujours eu à présenter les papiers de mes chevaux. Et enfin les gens de ce niveau la ne sont pas riches car les soins, les engagements, le camion , les logements et le personnel coûte très chers, à savoir que trois jours de concours à ce niveau la couté minimum 1500 euros et les retraites olympiques travaillent encore souvent à l'âge de la retraite en coaching et commerce. Alors oui ce film dérange certains car il montre veritablement l'aspect méconnu de ce milieu . Le scénario est lassant et la musique rock n'a à mon goût pas sa place sur certaines scènes. En revanche les gros plans sur les chevaux en mouvement sont magnifiques...
Il est aussi question de passion pour le cheval dans "Sport de filles" de Patricia Masuy, avec la très "classieuse" Marina Hands (César pour "L’amant de Lady Chatterley"). Elle y incarne Gracieuse, une fille revêche, simple palefrenière, qui rêve de monter un pur-sang… Elle essaie pour ce faire de convaincre par tous les moyens Franz (Bruno Ganz), ancienne "star" de l’art équestre, devenu dresseur mercenaire dans un manège tenu par une femme d’affaires (Josiane Balasko).
Tout est à la fois prévisible et mal foutu dans "Sport de filles" : la progression dramatique, les ellipses pour raconter la quête de Gracieuse, la description des seconds rôles, la musique rageuse de John Cale… Seule Marina Hands, cavalière émérite, parvient à tirer son épingle du jeu. Mais ce n’est pas suffisant pour sauver le film du désastre.
Hippique, hippique, hourra... Belle surprise que ce "sport de filles" qui nous présente le monde de l'équitation sous un jour inédit : au coeur du manège, on assiste au déchaînement des tensions des protagonistes. Marina Hans, Bruno Ganz composent des personnages passionnés mais qui ne versent pas dans la caricature. Le scénario est très bien construit et la réalisation tendue. À noter une bande son aux accents rock qui vient souligner la violence des rapports humains mais contraste avec l'ambiance compassée des concours d'equitation.
hum.... et bien je n'ai pas compris le but de ce film ! Pas mauvais pour autant, mais selon moi, l'histoire n'a ni queue ni tête, on ne comprend pas l'enchaînement des séquences, des dialogues, et encore moins la fin. En tant que cavalière, j'ai noté les invraisemblances équestres déjà citées : ça se saurait si l'équitation de dressage de haut niveau s'apprenait en visionnant simplement des vidéos, et ça se saurait si des cavaliers orientés obstacle pouvaient mettre un cheval au piaffer et en pirouette au galop en quelques jours (ou alors ce sont des semaines ? des mois ?). Bon on excuse, c'est un film, un film n'est pas forcément (et forcément pas) réaliste. Il faut une part de rêve. Mais là, quel est le rêve de cette fille ? elle veut un cheval pour ellle, être fière du travail, ou elle veut le regard du vieux champion olympique macho et cruel ? Les jeux des acteurs sont pas mauvais et les chevaux beaux (pour autant qu'on les apprécie). Comme on dit en ce moment : Bref, je suis allée voir ce film, j'ai rien compris et perdu 9 euros.