Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Critikat.com
par Olivia Cooper Hadjian
Un premier long qui semble frappé d'indécision – certes pas dans la forme, très tenue, mais dans un propos qui reste lui particulièrement fuyant. Reste la possibilité de déambuler dans ce film doux-amer, inventif et courageux.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Il n'empêche que si L'Epée et la Rose ne convainc pas d'une nécessité interne dans son mouvement global, il est riche en éblouissants fragments, d'une inspiration et d'une tonalité rare dans le cinéma contemporain.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Malgré l'indéniable beauté qu'il dissémine ici et là, ce croisement entre bouderie vis à vis du monde (...) et cachotteries rivettiennes donne l'impression d'un film qui ne veut pas sortir de sa chambre.
Première
par Isabelle Danel
En devenant film de pirates "L'Epée et la rose" devient n'importe quoi. Tournée aux fils des envies, cette partition évolutive aurait gagné à être resserré.
La critique complète est disponible sur le site Première
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Un (très) long métrage de pirates expérimental, terriblement filandreux et ennuyeux.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Thomas Sotinel
On sent passer de grandes ombres, Jacques Rivette pour l'esprit de sérieux avec lequel des figures de la littérature populaire sont invoquées, Joao Monteiro dont le reflet passe dans les efforts pour conférer un érotisme fantasque à ces tribulations. Cet étalage de culture donne l'impression que les potaches qui viennent de faire cette mauvaise farce espèrent en plus qu'on va leur donner une bonne note.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Positif
par Nicolas Bauche
Le film, taiseux pour garder intacte toute son étrangeté, se déroule alors devant nos yeux avec la suffisance crâne des coquilles vides. Un film qui se cherche et ne se trouve jamais.
La critique complète est disponible sur le site Positif
TéléCinéObs
par Bernard Achour
Les vingt premières minutes, loufoques et intrigantes, nous mettent dans leur poche. C'est alors que débutent sans prévenir deux heures atterrantes [qui] pulvérise[nt] les limites de l'indulgence et de l'ennui.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Juliette Bénabent
Le générique ne dit pas ce qu'a consommé le réalisateur. Ça devait être costaud, au vu des aventures de ces jeunes Portugais idéalistes qui fuient la société en devenant pirates à bord d'une caravelle. Et vénèrent le " plutex ", mystérieuse substance permettant de disparaître à son gré. Dans la salle, on rêve d'en consommer.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
Un premier long qui semble frappé d'indécision – certes pas dans la forme, très tenue, mais dans un propos qui reste lui particulièrement fuyant. Reste la possibilité de déambuler dans ce film doux-amer, inventif et courageux.
Les Inrockuptibles
Il n'empêche que si L'Epée et la Rose ne convainc pas d'une nécessité interne dans son mouvement global, il est riche en éblouissants fragments, d'une inspiration et d'une tonalité rare dans le cinéma contemporain.
Cahiers du Cinéma
Malgré l'indéniable beauté qu'il dissémine ici et là, ce croisement entre bouderie vis à vis du monde (...) et cachotteries rivettiennes donne l'impression d'un film qui ne veut pas sortir de sa chambre.
Première
En devenant film de pirates "L'Epée et la rose" devient n'importe quoi. Tournée aux fils des envies, cette partition évolutive aurait gagné à être resserré.
La Croix
Un (très) long métrage de pirates expérimental, terriblement filandreux et ennuyeux.
Le Monde
On sent passer de grandes ombres, Jacques Rivette pour l'esprit de sérieux avec lequel des figures de la littérature populaire sont invoquées, Joao Monteiro dont le reflet passe dans les efforts pour conférer un érotisme fantasque à ces tribulations. Cet étalage de culture donne l'impression que les potaches qui viennent de faire cette mauvaise farce espèrent en plus qu'on va leur donner une bonne note.
Positif
Le film, taiseux pour garder intacte toute son étrangeté, se déroule alors devant nos yeux avec la suffisance crâne des coquilles vides. Un film qui se cherche et ne se trouve jamais.
TéléCinéObs
Les vingt premières minutes, loufoques et intrigantes, nous mettent dans leur poche. C'est alors que débutent sans prévenir deux heures atterrantes [qui] pulvérise[nt] les limites de l'indulgence et de l'ennui.
Télérama
Le générique ne dit pas ce qu'a consommé le réalisateur. Ça devait être costaud, au vu des aventures de ces jeunes Portugais idéalistes qui fuient la société en devenant pirates à bord d'une caravelle. Et vénèrent le " plutex ", mystérieuse substance permettant de disparaître à son gré. Dans la salle, on rêve d'en consommer.