L'Homme qui murmurait à l'oreille des chevaux : Critique presse
L'Homme qui murmurait à l'oreille des chevaux
Note moyenne
3,2
5 titres de presse
Positif
Le Monde
Cahiers du Cinéma
Télérama
Les Inrockuptibles
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
5 critiques presse
Positif
par Pierre Berthomieu
Le cinéaste touche là une des clés de l’imaginaire américain, la confrontation originelle de l’homme avec le sol, avec la bête, pour faire surgir le jardin pastoral et la paix. Positif 452, octobre 98
Le Monde
par La rédaction
« L’homme qui murmurait… » baigne dans une ambiance Fordienne très touchante, volontairement désuète. Le Monde, 3 septembre 98
Cahiers du Cinéma
par Clélia Cohen
Redford a tendance à s’attarder sur un coucher de soleil, à faire durer une balade romantique à cheval, (…) à en rajouter sur le côté publicitaire de ses costumes [mais] « L’homme qui murmurait… » comporte aussi des scènes qui lui appartiennent de manière
Télérama
par Pierre Murat
Redford a réalisé un film lyrique et sentimental. Télérama, 2 septembre 98
Les Inrockuptibles
par Olivier Père
Redford est persuadé de transcender le mélodrame en refusant certaines conventions qu’il remplace par des compromis et des fautes de goût bien plus grave. (…) Le savoir-faire hollywoodien s’est perverti, désormais incapable de traiter de la vraie vie sans
Positif
Le cinéaste touche là une des clés de l’imaginaire américain, la confrontation originelle de l’homme avec le sol, avec la bête, pour faire surgir le jardin pastoral et la paix. Positif 452, octobre 98
Le Monde
« L’homme qui murmurait… » baigne dans une ambiance Fordienne très touchante, volontairement désuète. Le Monde, 3 septembre 98
Cahiers du Cinéma
Redford a tendance à s’attarder sur un coucher de soleil, à faire durer une balade romantique à cheval, (…) à en rajouter sur le côté publicitaire de ses costumes [mais] « L’homme qui murmurait… » comporte aussi des scènes qui lui appartiennent de manière
Télérama
Redford a réalisé un film lyrique et sentimental. Télérama, 2 septembre 98
Les Inrockuptibles
Redford est persuadé de transcender le mélodrame en refusant certaines conventions qu’il remplace par des compromis et des fautes de goût bien plus grave. (…) Le savoir-faire hollywoodien s’est perverti, désormais incapable de traiter de la vraie vie sans