AlloCiné
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Votre avis sur Switch ?
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Un film complètement aberrant, on y croit pas un seconde. Ras le bol des réalisateurs qui s'enlisent dans des scénarios abracadabrants.... La tueuse joue très mal !!! lol
Karine Vanasse inconnue et révélation de ce film très interessant avec un bon ryhtme et une intrigue qui tient la route .Cantona n' est pas mauvais du tout mais ce que l'on lui fait dire vole hélas très bas dans des poncifs de flics improbables .
un polar plutot captivant, avec des scenes qui tiennent la route et d'autres un peu moins, des courses poursuites bien faites, d'autres un peu exagérées, l'héroine a des sacrées ressources pour faire face à sa défense... mais bon c'est un film... un petit millénium à la francaise.
ce film manque de profondeur, dans le scénario la recherche de la vérité est complètement baclé alors que c'est le point le plus important de l'histoire !! Et puis les personnages sont joués avec le minimum syndical je trouve. Je suis déçu car j'attendais beaucoup mieux de ce film qui avait l'air prometteur sur la bande annonce.
Plutôt intéressant au niveau scénario, cette affaire policière menée par Eric Cantona possède un bon rythme et une intrigue qui de Montréal à Paris (et presque en parallèle dans les deux villes) combine noirceur et suspens...Quelques courses à pied ont du faire perdre des calories au King....C'est bien mis en scène, de façon cohérente et convaincante...Pourquoi lors d'un échange (switch) y a t-il un crime et usurpation d'identité entre deux jeunes filles....La réponse va bien plus loin que ce à quoi on peut s'attendre et réserve un petite surprise...J'ai aimé.
L'idee de depart est bonne mais en grande partie ternie par une mise en scene et par le jeu de quasi tous les acteurs assez mediocre.L'on dirait un telefilm.
Pour vous situer un peu ma connaissance du duo Grangé / Schoendoerffer, il faut que vous sachiez qu’après « Scènes de Crimes » et « Agents Secrets », c’est le troisième film que je vois du réalisateur Frédéric Schoendoerffer. De même, après « Les Rivières Pourpres » et « L’Empire des loups », c’est le troisième film que je vois du scénariste Jean-Christophe Grangé et, une fois de plus, l’intrigue va chercher ses fondements autour de la génétique et du passé. Une intrigue d’ailleurs loin d’être crédible par de nombreux aspects.
Alors, même s’il n’est pas doté de dialogues inoubliables, ce film est prenant et efficace et l’on passe un bon moment à suivre cette héroïne prise dans les mailles d’une machination implacable. Ce n’est toutefois pas un film de l’envergure de nombreux films du même thème qui m’avaient laissés un meilleur souvenir : comme « Le Fugitif » (The Fugitive, 1993), « Ne le dis à Personne » (2006) et même, « Sans Identité » (Unknown, 2011), sorti peu avant « Switch »,
L’actrice principale, la canadienne Karine Vanasse, est parfaite dans le rôle et pour la petite histoire, il semblerait que le réalisateur ait « flashé » sur sa poitrine : en effet, on a droit à pas moins de 3 plans sur ses seins en 1h40, ce qui est assez énorme !
Alors, même s’il n’est pas doté de dialogues inoubliables, ce film est prenant et efficace et l’on passe un bon moment à suivre cette héroïne prise dans les mailles d’une machination implacable. Ce n’est toutefois pas un film de l’envergure de nombreux films du même thème qui m’avaient laissés un meilleur souvenir : comme « Le Fugitif » (The Fugitive, 1993), « Ne le dis à Personne » (2006) et même, « Sans Identité » (Unknown, 2011), sorti peu avant « Switch »,
L’actrice principale, la canadienne Karine Vanasse, est parfaite dans le rôle et pour la petite histoire, il semblerait que le réalisateur ait « flashé » sur sa poitrine : en effet, on a droit à pas moins de 3 plans sur ses seins en 1h40, ce qui est assez énorme !
Alors que le film démarrais sous les meilleures hospices d'un polar frénétique mâtiné de "Traque sur internet" avec une mise en scène haletante illustré par de belles scènes de courses poursuites...subitement, patatras ! A mis parcours le script s'enlise dans un festival d'incohérences, et change soudainement de style pour basculer dans le thriller horrifique abracadabrant, et pompeux de seconde zone ! Dommage !!!
Un polar nerveux et rythmé mais l'histoire renferme trop d'invraisemblances pour convaincre. "Switch" est de la même veine que "A bout portant" de Fred Cavayé. Il en possède les mêmes qualités, énergie et action oppressante, et les mêmes défauts aussi, psychologie sommaire accompagnée d'une somme d'incohérences dans le récit. La jeune Karine Vanasse s'en sort bien dans le rôle d'une personne lambda plongée au coeur d'une manipulation infernale. Eric Cantona quant à lui campe un flic au caractère monolithique et semble peu à l'aise dans ce registre. Cependant les scènes d'action sont filmées avec efficacité, ce qui fait d'autant plus regretter la construction maladroite du scénario.
mise en scène assez faible, dialogue parfois abscon, scénario filandreux. ça aurait pu être nettement mieux !
Des poursuites à la Schoendoerffer, des meurtres à la Grangé, une actrice inconnue et un commandant Cantona bourru font de ce film, un polar efficace.
Après "Truands", MR73", "Scènes de crime" ou encore la série "Braquo", Frédéric Schoendoerffer, le "maitre ès polars" (dixit Canto), explore le même registre, celui du film policier. Le principal souci du polar au cinéma, c'est qu'il souffre de la concurrence de la télévision qui a placé la barre très haute avec de substantiels moyens : autant dire que tout dossier mal ficelé aura du mal à résister aux critiques. Malgré l'expérience de son réalisateur, "Switch" fait malheureusement partie du lot de ces polars mal fagotés (un peu à l'image d'Eric Cantona ...) et peu crédibles. Si l'enthousiasme est certain devant l'ambition d'un scénario élaboré et machiavélique qui fleure bon le script hollywoodien (ce qui semblait de bonne augure), il disparaît peu à peu devant des inepties et autres invraisemblances pénibles (casser la clé dans la serrure au moment de sa fuite, il faut y penser non ?) et une recherche de la complication du scénario inutile qui rompt l'intensité du suspens pour finir dans un magnifique capharnaüm général (la piste de l'insémination qui cherche à brouiller les pistes ou les liens familiaux qui unissent les acteurs de l'histoire sont autant d'éléments qui apportent plus de confusion que de rebondissements). Ce manque de ligne claire sur la fin est d'ailleurs le principal reproche car le spectateur pourra apprécier la vigueur de la mise en scène qui fourmille du savoir-faire du spécialiste (le coup de poing, la course-poursuite, etc ...). Pour ce qui est des acteurs, Karine Vanasse joue bien son rôle et sauve un Eric Cantona linéaire du début jusqu'à la fin - lequel s'enorgueillissait d'avoir fait ce film, et c'est tout ce que l'on retiendra de lui d'ailleurs. Agréable mais brouillon, "Switch" est un bon divertissement, sans plus, pour les amateurs du genre pas trop exigeants ...
Aux commandes de Switch, deux grands noms du thriller français, à la réalisation Frédéric Schoendoerffer, au scénario Jean-Christophe Grangé. L'affiche est donc alléchante, mais on sait aussi que le genre est assez casse-gueule et souvent décevant. Pour notre plus grand bonheur, il n'en est rien cette fois, le duo faisant des étincelles.
Pour ses vacances, Sophie Malaterre opte pour l'échange de domicile, et troque pour un mois sa maison à Montréal contre un appartement parisien. Après une première journée magique dans la capitale, elle est réveillée par des flics qui la prennent pour la propriétaire des lieux et l'accusent de meurtre. Une vie quotidienne qui bascule dans l'horreur, une héroïne prête à tout pour s'en tirer, un flic charismatique, une intrigue qui distille petit à petit ses indices pour toujours tenir en haleine. Pas de doute, le scénario de Switch porte la patte Grangé. On pourra juste reprocher à l'auteur de ressasser quelques thèmes déjà bien traités dans Les Rivières pourpres, même si la finalité n'est pas la même.
Mais un très bon scénar, même signé d'un maître du genre ne signifie pas un grand film (voir l'horrible adaptation de L'Empire des loups par Chris Nahon). Heureusement, Schoendoerffer, déjà rompu à l'exercice, fait des merveilles. On ne manquera pas de rapprocher Switch du récent A bout portant, par cette même capacité à ne jamais relâcher le rythme. Mais il a l'avantage sur ce dernier d'avoir une histoire beaucoup plus construite et captivante, ne se résumant pas à de l'action pure. Mais action aussi il y a, notamment lors d'une étonnante séquence de poursuite filmée caméra à l'épaule, au plus près des comédiens. Des comédiens auxquels Schoendoerffer accorde vraiment de l'importance et qui, il faut le dire, participent également grandement à la qualité de ce thriller. Karine Vanasse, comédienne québécoise bien connue dans son pays, fait ses premières armes dans un film français. Étonnante dans la partie physique de son rôle, elle est surtout transcendante dans ce rôle de femme brisée et déboussolée, qui tente tant bien que mal de tenir et de rassembler ses forces pour s'en sortir. Eric Cantona est bien sûr à l'aise dans les séquences d'action, mais se révèle surtout d'un charisme saisissant en flic posé et empreint au doute.
Même s'il ne révolutionne pas le genre, Switch n'en reste pas moins un thriller ultra-efficace par la qualité de sa mise en scène, de son intrigue, de ses personnages et des comédiens qui les interprètent. Un bon divertissement pour l'été.
Pour ses vacances, Sophie Malaterre opte pour l'échange de domicile, et troque pour un mois sa maison à Montréal contre un appartement parisien. Après une première journée magique dans la capitale, elle est réveillée par des flics qui la prennent pour la propriétaire des lieux et l'accusent de meurtre. Une vie quotidienne qui bascule dans l'horreur, une héroïne prête à tout pour s'en tirer, un flic charismatique, une intrigue qui distille petit à petit ses indices pour toujours tenir en haleine. Pas de doute, le scénario de Switch porte la patte Grangé. On pourra juste reprocher à l'auteur de ressasser quelques thèmes déjà bien traités dans Les Rivières pourpres, même si la finalité n'est pas la même.
Mais un très bon scénar, même signé d'un maître du genre ne signifie pas un grand film (voir l'horrible adaptation de L'Empire des loups par Chris Nahon). Heureusement, Schoendoerffer, déjà rompu à l'exercice, fait des merveilles. On ne manquera pas de rapprocher Switch du récent A bout portant, par cette même capacité à ne jamais relâcher le rythme. Mais il a l'avantage sur ce dernier d'avoir une histoire beaucoup plus construite et captivante, ne se résumant pas à de l'action pure. Mais action aussi il y a, notamment lors d'une étonnante séquence de poursuite filmée caméra à l'épaule, au plus près des comédiens. Des comédiens auxquels Schoendoerffer accorde vraiment de l'importance et qui, il faut le dire, participent également grandement à la qualité de ce thriller. Karine Vanasse, comédienne québécoise bien connue dans son pays, fait ses premières armes dans un film français. Étonnante dans la partie physique de son rôle, elle est surtout transcendante dans ce rôle de femme brisée et déboussolée, qui tente tant bien que mal de tenir et de rassembler ses forces pour s'en sortir. Eric Cantona est bien sûr à l'aise dans les séquences d'action, mais se révèle surtout d'un charisme saisissant en flic posé et empreint au doute.
Même s'il ne révolutionne pas le genre, Switch n'en reste pas moins un thriller ultra-efficace par la qualité de sa mise en scène, de son intrigue, de ses personnages et des comédiens qui les interprètent. Un bon divertissement pour l'été.
Avec de bons acteurs, une réalisation efficace, percutante, agressive et rythmée, et une BO tendue, Switch permet de tenir en haleine le spectateur tout au long du film. Mais l'invraisemblance du scénario, trop peu crédible, ne permet pas à ce thriller de laisser une trace indélébile... On se laisse tout de même porter, à voir.
À Montréal la créatrice de mode au chômage Sophie Malaterre est convoquée par Claire Maras pour montrer son travail à son patron. Lorsque Sophie arrive dans l'entreprise Claire s'excuse et lui dit que sa patronne est en vacances et ne reviendra que deux mois plus tard. Clare invite Sophie à déjeuner avec elle et lui parle du site internet switch.com où il est possible d'échanger sa maison avec un inconnu pour les vacances. Sophie cherche un appartement à Paris près de la Tour Eiffel qui appartient à Bénédicte Serteaux (Karina Testa) et elles changent d'appartement. Sophie arrive à Paris le samedi matin et passe une journée de rêve à faire du vélo dans le quartier touristique. Mais le lendemain matin des policiers font irruption dans l'appartement et arrêtent Sophie pendant qu'elle prend son bain. L'inspecteur Damien Forgeat Eric Cantona encore plus mauvais acteur que d'habitude interroge alors Sophie en croyant qu'elle est Bénédicte et elle apprend qu'un corps décapité a été retrouvé dans sa chambre. Je ne connais pas les lois françaises mais où est l'avocat pour défendre Sophie. La réaction de Sophie s'échappant est absurde pour une femme innocente dans un pays étranger. Pourquoi n'a-t-elle pas appelé sa mère depuis le poste de police lorsqu'elle a été arrêtée. Pourquoi avoir envoyé sa mère à sa maison à Montréal sans lui dire qui est Bénédicte. Et le fait que sa mère ait sorti un fusil de chasse du coffre de sa voiture à la manière de Rambo est ridicule. Comment l'Iranien ou le Pakistanais pouvait-il prévoir que Sophie s'assiérait sur ce banc dans le parc tous ca n'a aucun sens tous comme tous ce qui se passe dans ce film...
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