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Un visiteur
5,0
Publiée le 15 septembre 2010
De bon effets spéciaux, une bande son de qualité et un godzilla trés méchant... Bon film de la génération millenium que je recommande chaudement. Il n'est dépassé que par son original et illsutre ancêtre de 1954.
« Qu’est-ce qui se passe ? C’est un vrai congrès de monstres ? »
Après avoir vu Godzilla Minus One et ne connaissant rien au kaijū eiga, je me suis fié aux influences du réalisateur pour élargir quelque peu ma culture populaire. Ainsi j’ai regardé Gojira, Mosura, Kingu Gidorâ : Daikaijû sôkôgeki. De prime abord, on ne nage pas du tout dans les mêmes eaux : le film de 2001 est en effet à la fois plus classique dans sa conception (on doit attendre un bout de temps avant de voir les monstres) et plus typé dans sa narration qui reprend les codes des films d’horreur étasuniens de la fin des années ’70 et du début des années ’80, avec des groupes de jeunes en vadrouille et une bande sonore saturée de synthés criards.
Si l’interprétation reste très amateure, la réalisation saccadée rend assez bien le climat de tension crescendo et le scénario fait la part belle au sentiment, assez justifié, de culpabilité collective, sans oublier un humour au second degré plutôt jouissif. On regrettera juste que les effets spéciaux soient eux aussi restés bloqués dans les années ’80, dans le style des séries nippones qui envahissaient le Club Dorothée, Bioman, Bioman, héros de l’univers, dans ce goût-là. Et pourtant, si on se laisse aller, ça prend.
Au final, s’il n’a pas l’élan philosophique de son descendant assez froid, ce film de Godzilla est beaucoup plus attachant, ne se prenant pas nécessairement au sérieux et puisant aux racines d’une culture populaire assez bon enfant, doublé d’une présence féminine concrète (l’héroïne jusqu’au-boutiste, Yuri) et non dénué d’une certaine poésie (le monstre papillon). Ça n’est certes pas du grand cinéma mais ça reste accessible et très attachant voire, volontairement ou non, un rien parodique et ça se regarde avec une bonne dose de plaisir régressif. Godzilla, Mothra and King Ghidorah: Giant Monsters All-Out Attack est le genre de film qui, malgré un budget en comparaison ridicule, peut tout à fait damer le pion à pas mal de superproductions hollywoodiennes stéréotypées.
26ème film pour notre ami Godzilla ! Mothra le papillon géant et Ghidorah le monstres à trois têtes seront aussi de la partie ! Quand je voyait les critiques et avis des gens je me disait qu'il devait être sympas mais sans plus. Quelle erreur ! Que dire de ce film si ce n'est qu'il est juste excellent ! Des personnages approfondies et une intrigue humaine captivante ou l'on suit une jeune journaliste en quête de scoop pour sa chaîne télévision et son père, un amiral de l'armée japonaise. On apprend spoiler: a propos du père qu'il était enfant lors de la première attaque de Godzilla, et devint hélas orphelin à cause du monstres atomique.
Et pour finir sur les humains, une scène m'as particulièrement touchés : spoiler: celle ou notre journaliste apprend que son père va se "sacrifier" pour sauver le monde de Godzilla, c'est une scène pleine de tristesse, et la musique insiste sur ce sentiment de sacrifice qu'as le père.
En parlant de la musique, le théme principal est très bien mais pas aussi inoubliable que celui du premier ! Le compositeur Kow Otani a réaliser une musique génial qui nous plonge dans l'univers sombre du film. Car oui ce film est assez sombre contrairement à la majorité des films de l'ère showa ! Le scénario : ils comportent quelques défaut mais rien de grave car ils sont toutes suite oubliés grâce aux points fort : les monstres et les détails, aussi bien dans les décors que dans le scénario. Maintenant les monstres : Mothra, qui cette fois ci est sans les shobijins (ce que je trouve dommage), est bien modélisée, le cri est le même que dans tous ses autres films. Le dragon Ghidorah est, physiquement, différents et son rugissement est moins réussi. Et Godzilla a exactement le même look que dans l'original de 1954 exepté ses yeux tout blanc qui lui donnent un aspect démoniaque ! Il y aura un autre monstre, spoiler: Baragon, qui sera peu présent mais essentiel dans le bon déroulement de l'histoire.Son look est réussi mais il me fait légèrement pensé à une taupe . Les effets spéciaux, comme tout bon Kaiju Eiga qui se respecte, sont des maquettes détruites par un costume de monstre. Et les incrustation sont très réussis ! Alors pourquoi pas cinq étoiles ? Eh bien le théme du nucléaire aurait du être renforcé. Excepté ses quelques défaults,Godzilla, Mothra and King Ghidorah: Giant Monsters All-Out Attack est un très bon films
Sorti durant l'ére millenium ce film Godzilla que l'on nommera par ses initiales soit GMK(le vrai titre et bien trop long) est réalisé par Shusuke Kaneko réalisateur de la prestigieuse saga Gamera sorti entre 1995 et 1999. Si Inoshiro Honda est le maitre du genre il est évident que Kaneko est son digne successeur. Le film renoue par ailleurs avec l'esprit pessimiste du premier Godzilla sorti en 1954. Chose rare dans le Kaijus eiga les personnages humain sont attachants, et leurs personalités sont rechercher. Kaneko nous plonge a la fois dans l'horreur de la guerre, la notion de sacrifice et la nation d'amour nottament filiale entre un père et sa fille. Les effets spéciaux font partis des meilleurs se la série, les desihn sont repensé pour les kaijus pour les rendre plus sombre effet réussi surtout sur Godzilla véritable zombie avec ses pupilles blanches. La musique de KOW OTANI est magistrale, sans doute avons nous à faire au meilleur film de l'ère millenium, voir le meilleur Godzilla tout cours.