AlloCiné
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Votre avis sur The Normal Heart ?
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Encore un film qui mérite la meilleure note, non pas parce qu'il est excellent, non pas parce qu'il est parfait mais parce que le message, ou les messages plutôt sont importants. Et dans ce film, les silences le sont également, ils sont bien plus accrocheurs qu'une centaine de mots, de phrases. Tous les comédiens sont impeccables dans ce drame, Jim Parsons en tête, même Julia Roberts. Je ne suis pas un grand fan d'elle habituellement mais elle donne beaucoup dans ce film, ça se ressent, ça se voit. À voir !!
Un beau télé-film, avec un très bon casting. On découvre ici Jim "Sheldon" Parsons incroyable, nous laissant oublier qu'il représente l'un des geek les plus célèbre du monde.
Un sujet assez inédit, complexe à traité mais très bien mis en scène
Un sujet assez inédit, complexe à traité mais très bien mis en scène
SebLefr3nch
Depuis Harvey Milk et Dallas Buyers Club, il y avait pas eu de film aussi engageant pour la cause des homosexuels. Ici, nous sommes plongés dans les premières années de l'épidémie du SIDA et suivons le premier groupe qui s'est battu pour faire connaître et reconnaître auprès du gouvernement américain la maladie. L'histoire est prenante, dure, palpitante, avec ses moments de bonheur et de tristesse. On ne décroche pas une seule seconde. La réalisation est parfaite. Les plans sont toujours très bien choisis, qu'ils sont esthétiques, crus ou durs. Et avec l'aide du montage, on est emporté jusqu'au bout. Le casting cinq étoiles est parfait. Mark Ruffalo fait sa plus belle performance. Julia Roberts, plus en second plan, est parfaite. Le reste du casting ne déçoit pas. Il est dommage que ce film soit en réalité un téléfilm et qu'il y ait de grandes chances qu'il ne sorte pas sur les grands écrans. Peut-être aura-t-il la chance, comme Liberace, d'avoir une sortie en salles en France. En tout cas, merci HBO pour ce fabuleux cadeau.
L'on ressort de ce film frustré.
Frustré car sur le fond, e film donne une vue ambivalente de la communauté gay au début de l'épidémie du SIDA.
D'un côté la communauté gay est isolée, abandonnée face à ce fléau par les instances gouvernementales et d'un autre côté, ce film la présente comme une communauté ou règne la débauche.
Cela est frustrant car un film qui se voulait fin se révèle finalement, sur le fond, un ingrédient de plus pour la caricature.
Sur la forme, ce film est beau. On ne peut qu'approuver et surtout, éprouver la beauté artistique de ce mélodrame.
Frustré car sur le fond, e film donne une vue ambivalente de la communauté gay au début de l'épidémie du SIDA.
D'un côté la communauté gay est isolée, abandonnée face à ce fléau par les instances gouvernementales et d'un autre côté, ce film la présente comme une communauté ou règne la débauche.
Cela est frustrant car un film qui se voulait fin se révèle finalement, sur le fond, un ingrédient de plus pour la caricature.
Sur la forme, ce film est beau. On ne peut qu'approuver et surtout, éprouver la beauté artistique de ce mélodrame.
Film très intéressant et traitant d'un sujet assez original malgré la gravité de la maladie ce qui en dit long sur le fait que les gays et le sida ne doivent pas être bankable...
J'ai aimé l'interprétation de Matt boomer très touchant et vraiment à fleur de peaux dans ce film. J'ai bien aimé la plupart des acteurs Taylor kitch en tête j'ai trouvé ruffalo un peu en dedans sur jouant parfois..
Ma réal est pas mauvaise mais fait parfois trop dans le cliché et c'est mon gros point noir du film.
Sinon cela reste très poignant surtout dans la dernière heure où le film prend alors son envol pour nous faire vivre d'intense moments de tristesse .
J'ai aimé l'interprétation de Matt boomer très touchant et vraiment à fleur de peaux dans ce film. J'ai bien aimé la plupart des acteurs Taylor kitch en tête j'ai trouvé ruffalo un peu en dedans sur jouant parfois..
Ma réal est pas mauvaise mais fait parfois trop dans le cliché et c'est mon gros point noir du film.
Sinon cela reste très poignant surtout dans la dernière heure où le film prend alors son envol pour nous faire vivre d'intense moments de tristesse .
Décidément la chaîne HBO collectionne les films autours du sida et des homosexuels, après Ma vie avec Liberace voici The Normal Heart, qui est un bon film mais qui n'a rien d'incroyable, il est surtout intéressant pour son casting qui est vraiment remarquable, Mark Ruffalo en tête, il nous offre une prestation qui nous fait complètement oublier son personnage de Hulk, il prouve qu'il peut incarner des personnages complexes et vrais, il est accompagné de nombreux acteurs tous en très grande forme, Julia Roberts, Jim Parsons, Taylor Kitsch ou encore Alfred Molina.
Cette année nous avons déjà eu un film porté sur le sida et qui est vraiment grandiose, Dallas Buyers Club, captivant et très bien écrit, The Normal Heart lui est un peu trop longué et pas forcement tout le temps intéressant, depuis que le mariage gay est autorisé on nous sert des tas de films sur les temps durs des homo, ça va deux secondes mais faut pas nous en sortir tous les ans non plus, la réalisation est cependant très bonne et la mise en scène également, un peu trop d'engueulade par ci par là mais dans l'ensemble ça reste un bon film, pas un grand mais un bon, malgré le faite que je ne le reverrait surement pas de si tôt.
Cette année nous avons déjà eu un film porté sur le sida et qui est vraiment grandiose, Dallas Buyers Club, captivant et très bien écrit, The Normal Heart lui est un peu trop longué et pas forcement tout le temps intéressant, depuis que le mariage gay est autorisé on nous sert des tas de films sur les temps durs des homo, ça va deux secondes mais faut pas nous en sortir tous les ans non plus, la réalisation est cependant très bonne et la mise en scène également, un peu trop d'engueulade par ci par là mais dans l'ensemble ça reste un bon film, pas un grand mais un bon, malgré le faite que je ne le reverrait surement pas de si tôt.
Un film bouleversant, édifiant. Une petite flopée d'acteur incroyables, rien n'est laissé au hasard, pas même la psychologie des secondaires. Ryan murphy est au sommet de son art, Il faut croire que la télé fait parfois mieux que le ciné !
Un excellent téléfilm de Ryan Murphy . Un beau drame sur deux homosexuels qui combattent le sida. Mark Ruffalo a une sublime interprétation. Jim Parsons a une bonne incarnation dans son rôle. Taylor Kitsch a un très beau rôle de gay ayant perdu son compagnon. Julia Roberts a un bon rôle de médecin.
Pour un téléfilm, je ne m'attendais pas à une telle qualité. Les deux heures sont passées toutes seules et je n'ai pas eu le temps de m'ennuyer. C'est notamment dû au ton du film, jamais lourd ou déprimant. Bien au contraire, c'est un film à l'esprit combatif qui m'a gagné.
Les performances des acteurs sont justes parfaites, de Mark Ruffalo (émouvant dans sa frustration) à Jim Parsons (il m'a bien fallu 20 minutes pour ne plus voir en lui Sheldon Cooper de The Big Bang Theory !) en passant par Julia Roberts et Taylor Kitsch (qui vaut décidément bien mieux que les daubes John Carter et Battleship).
Mais la véritable force du film réside dans son message, ce combat contre le SIDA qui n'est pas fini et qu'il ne faut pas oublier. Le film montre assez bien la peur de l'inconnu et la peur de se battre contre l'inconnu auxquelles font face les protagonistes du film dans les 1980s. Finalement, le message passe et on en vient à comprendre l'engagement parfois extrême du personnage de Mark Ruffalo (inspiré de la vie de l'auteur de la pièce de théâtre originelle). Il nous rappelle que l'important est de s'assumer et de se battre pour ses convictions.
Le seul bémol qui m'empêche de mettre 5 étoiles vient de la relative hésitation entre le pur biopic et la fiction politique, le scénario et le réalisateur naviguant régulièrement entre les deux.
Un film à voir donc, autant pour son aspect divertissant que pour son message fort !
Les performances des acteurs sont justes parfaites, de Mark Ruffalo (émouvant dans sa frustration) à Jim Parsons (il m'a bien fallu 20 minutes pour ne plus voir en lui Sheldon Cooper de The Big Bang Theory !) en passant par Julia Roberts et Taylor Kitsch (qui vaut décidément bien mieux que les daubes John Carter et Battleship).
Mais la véritable force du film réside dans son message, ce combat contre le SIDA qui n'est pas fini et qu'il ne faut pas oublier. Le film montre assez bien la peur de l'inconnu et la peur de se battre contre l'inconnu auxquelles font face les protagonistes du film dans les 1980s. Finalement, le message passe et on en vient à comprendre l'engagement parfois extrême du personnage de Mark Ruffalo (inspiré de la vie de l'auteur de la pièce de théâtre originelle). Il nous rappelle que l'important est de s'assumer et de se battre pour ses convictions.
Le seul bémol qui m'empêche de mettre 5 étoiles vient de la relative hésitation entre le pur biopic et la fiction politique, le scénario et le réalisateur naviguant régulièrement entre les deux.
Un film à voir donc, autant pour son aspect divertissant que pour son message fort !
The normal heart est un beau film qui raconte une bien triste histoire en la romançant malheureusement de manière un peu clichée. Comme on pouvait le craindre, il tire un peu trop sur les ficelles d'un genre facilement nauséabond : celui du téléfilm. On comprend d'autant plus vite pourquoi le film possède ces défauts lorsque l'on sait que Ryan Murphy, créateur de Glee, est à la réalisation. (Ai-je besoin d'ajouter quelque chose ? nah.
Le film m'a premièrement agacé par sa prise de position dans la mise en scène. Tous les gays y sont vus comme des bellâtres musclés et peroxydés qui paradent en riant dans un univers pastel et disco. A ce titre, le récit de ce film réponds à certains clichés (aussi positifs soient-ils) que les gens peuvent avoir sur l'univers homosexuel et qu'ils me semblerait bon de mettre à bas. J'aimerais rétablir une vérité : la communauté homosexuelle est composée d'autant de cons, de moches et est imprégnée d'autant de mauvais goût que n'importe quelle autre partie de la population. C'est à mon sens un peu fort de vouloir faire croire le contraire. M'enfin, on peut penser que cette beauté symbolise un certain Eden perdu puisque tous les beaux gosses du film meurt du SIDA. Ca ou la laideur, il s'agissait de choisir j'imagine !
Et on en vient donc à l'autre gros cliché auquel le film se soustrait et qui est celui stipulant que la moitié des gays sont morts du sida dans les années 80. Malheureusement, quand on s'adresse aux gens qui ont vécu ces années, le cliché se trouve vérifié. C'est donc précisément là que le film puise sa force. Il montre l'hécatombe méthodique, fulgurante et silencieuse qui s'est opéré dans les rangs de la communauté gay au début des années 80. On ressent assez bien la terreur des différents personnages et on s'identifie à leur détresse, leur incompréhension et leur désarroi.
A ce moment précis, le film se perd malheureusement (mais de manière prévisible) dans une dimension larmoyante encore une fois clichée. Moi qui aime pourtant pleurer devant un bon film et qui suis généralement assez client des procédés censé tirer les larmes, je n'ai pas répondu à l'appel du mouchoir. En tant que public cible de ce film, j'ai en effet un peu trop eu l'impression qu'on tentait de violemment titiller ma corde sensible. Le viol étant manifeste, ca n'a pas pris, raté !
Le film m'a premièrement agacé par sa prise de position dans la mise en scène. Tous les gays y sont vus comme des bellâtres musclés et peroxydés qui paradent en riant dans un univers pastel et disco. A ce titre, le récit de ce film réponds à certains clichés (aussi positifs soient-ils) que les gens peuvent avoir sur l'univers homosexuel et qu'ils me semblerait bon de mettre à bas. J'aimerais rétablir une vérité : la communauté homosexuelle est composée d'autant de cons, de moches et est imprégnée d'autant de mauvais goût que n'importe quelle autre partie de la population. C'est à mon sens un peu fort de vouloir faire croire le contraire. M'enfin, on peut penser que cette beauté symbolise un certain Eden perdu puisque tous les beaux gosses du film meurt du SIDA. Ca ou la laideur, il s'agissait de choisir j'imagine !
Et on en vient donc à l'autre gros cliché auquel le film se soustrait et qui est celui stipulant que la moitié des gays sont morts du sida dans les années 80. Malheureusement, quand on s'adresse aux gens qui ont vécu ces années, le cliché se trouve vérifié. C'est donc précisément là que le film puise sa force. Il montre l'hécatombe méthodique, fulgurante et silencieuse qui s'est opéré dans les rangs de la communauté gay au début des années 80. On ressent assez bien la terreur des différents personnages et on s'identifie à leur détresse, leur incompréhension et leur désarroi.
A ce moment précis, le film se perd malheureusement (mais de manière prévisible) dans une dimension larmoyante encore une fois clichée. Moi qui aime pourtant pleurer devant un bon film et qui suis généralement assez client des procédés censé tirer les larmes, je n'ai pas répondu à l'appel du mouchoir. En tant que public cible de ce film, j'ai en effet un peu trop eu l'impression qu'on tentait de violemment titiller ma corde sensible. Le viol étant manifeste, ca n'a pas pris, raté !
Un téléfilm signé Ryan Murphy (créateurs de Glee, American Horor Story), qui doit surtout aux performances bouleversantes de Matt Bomer épatant de sincérité et Julia Roberts puissante dans son rôle de professeure poli-handicapé. Belle reconstitution, montage fluide, belle photographie. Mais trop larmoyant et politiquement correcte à mon goût. Toutefois, j'admets que rarement un téléfilm n'as était aussi bien réalisé et marquant que celui-là.
Dans la même ligne que Philadelphia. Un film crève coeur, des acteurs au sommet de leur performance, une histoire poignante. Un film parfait. À voir avec des mouchoirs. Magnifique.
s'il n'atteint pas la puissance dramatique des œuvres les plus fortes sur le sujet, ce film est tout de même plus qu'honnête par sa réalisation et son jeu d'acteurs. une bonne approche de la montée du Sida au début des années 80.
Si je pouvais mettre plus que 5 étoiles je le ferais sans hésiter et ça pourrait monter très haut ! Ce film est une référence et le meilleur qu'on puisse trouver sur le thème du SIDA ! Il est tout simplement remarquable et émouvant au possible ! Les acteurs sont époustouflants, absolument tous !!! Habités par une colère, une sincérité et une justesse incroyables ! Les dialogues sont intelligents et pertinents et que dire du thème de fond, l'hypocrisie du gouvernement, le désarroi de toute une communauté qui ne savait plus comment stopper le flots de décès des leurs... Moi ce film m'a donné des frissons, m'a écoeuré, ému aux larmes.... Je l'ai regardé le jour du 26 ème anniversaire du décès de Ryan White, le jeune garçon hémophile qui a contracté le sida à la suite d'une transfusion et qui s'est fait renvoyé de nombreux lycées aux USA car le gouvernement ne voulait rien faire pour qui que ce soit ayant cette abomination et qui est devenu le symbole de la lutte contre cette maladie et j'ai ressenti tellement d'émotions ! C'est un film que tout le monde devrait voir pour se souvenir à jamais ! Et quelle histoire d'amour ! Quelle scène finale ! Inoubliable !
On suppose que l'intrigue de ce téléfilm est une tentative d'activiste gay de sensibiliser au VIH / sida au début des années 1980. Ce qui pour ceux qui connaissent l'histoire et les contributions de Larry Kramer (auteur) laisserait croire au public que c'est l'histoire de l'origine de l'organisation à succès ACT-UP. Un groupe de militants qui plus tard attireront l'attention sur le sida dès l'élection présidentielle de 1992 et feront plus pour apporter des médicaments efficaces pour lutter contre le virus comme on n'avait jamais essayé auparavant. C'est ainsi que cela a été annoncé mais le public a obtenu un drame romantique paresseux. La lumière brillante dans ce drame est les performances stellaires de Julia Roberts et Jim Parsons. Il convient également de noter la division au sein de la communauté gay et la façon de la présenter au public. Les morts et les survivants comptent. Les contributions de Larry Kramers sont importantes et le fait de lui donner un pseudonyme fait échouer le travail que ces premiers groupes ont fait pour faire du SIDA.une conversation normale. Un téléfilm qui est au plus décent..
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