Un film plus que médiocre : Effets spéciaux baclés, jeu d'acteur brouillon et ridicule, un scénario sans aucune surprise pour un résultat plus que raté. Certaines scènes sont totalement inutiles, comme les ralentis d'à peine une seconde où les vampires et Mr le président font des cascades dignes des pires films de Jacky Chan, le tout assaisonné d'une émoglobine très peu convaincante qui ne fait que barbouiller les spectateurs et rajouter du rouge supplémentaire à l'écran. Des personnages très peu crédibles, parfaits dans leur genre pour les gentils, horribles et vilains pour les méchants. De plus, pourquoi s'embêter à aller voir un tel film quand le titre dudit long métrage vous dévoile toute l'histoire ? En toute sincérité : En ces temps de crise, si vous voulez économiser 8.90 euros, ne vous embêtez pas à aller voir ce que je ne peux même pas qualifier de film, vous ferez sûrement des bénéfices.
Il faut sans doute être américain pour comprendre le but du film... Un scénario et des scènes d'action risibles. Les effets spéciaux pour les vampires sont par contre très bien pensés et réussis.
Les effets spéciaux sont pourraves et pour ce genre de film c'est grave! Même l'histoire est pas terrible. j'ai été super déçu je m'attendais à beaucoup mieux.
Non mais vous y croyez à ce titre ? J’en ris encore. Timur Bekmachin nous offre sans aucune contestation le nanar de l’été, tellement nul qu’il est même difficile d’en rire. Certes, avec un titre pareil, il est difficile de prétendre qu’on n’était pas prévenus ; mais de là à imaginer qu’il allait nous servir cette histoire complètement débile (et qui fait preuve d’un sens du patriotisme nanar tout à fait sidérant) dans laquelle les esclavagistes sudistes ne sont pas de méchants américains (ça n’existe pas les méchants américains voyons) mais bien des… vampires. Reprendre un élément historique et le détourner, sans le moindre sens du second degré, en quelque chose de totalement ridicule est un grand classique du nanar. A cette guerre de Sécession revisitée s’ajoute une nébuleuse de scènes qui apportent leur pierre à cet édifice nanar : le traumatisme d’enfance nanar, la tentative de vengeance nanarde, l’entrainement dans les bois nanar, la romance nanarde, les citations de la Bible nanarde, les scènes d’action en bullet time nanarde, l’acteur nanar avec deux expressions de visage… Bref, un bon gros ratage de derrière les fagots que je ne recommande même pas aux nanardeurs les plus expérimentés.
Bon, faut qu'on m'explique la démarche là parce que je ne la comprends pas du tout. Quand on se lance dans un film qui s'appelle "Abraham Lincoln, chasseur de vampires", pour moi, c’est qu'on a décidé de se lâcher un bon coup. Non mais franchement, un concept comme celui-là on ne peut pas le prendre au sérieux ; c'est impossible ! Quand j'ai vu la bande-annonce je m'étais franchement bidonné tellement c'était flagrant que le truc pouvait pas tenir la route et que – forcément – les producteurs avaient décidé de la jouer au second degré. Forcément... Eh bah en fait, faut croire que la logique a ses limites chez ces producteurs-là dont je préférerais, par respect pour l'oeuvre accomplie dans leur précédente vie, taire le nom (Tim Burton). Pourtant les cinq premières minutes j'y ai cru. Le film ouvre sur une citation de la bible des plus grotesques, puis il décide d'enchainer avec un gros flash-back pour montrer quand pour la première fois le petit Aby a voulu saisir la machette pour défendre le noir et l'orphelin. Impossible de faire plus caricatural dans le déroulement de la scène, surtout que les phrases cultes sont dignes de celles d'Expandables 2. Je vous laisse d'ailleurs en juger : le père d'Abraham claque un truc que Chuck Norris aurait pu sortir lui-même : « si je vous donne un sou de plus, ce sera avec mon poing autour ! » Comment peut-on prendre une intrigue au sérieux quand elle commence par cette réplique ? Eh bah Timur Bekmanbetov, lui, il le fait et il décide même de tout traiter au premier degré. Vous allez me dire, qu'il assume ou pas sa nanardise, après tout on s'en fout, ça ne change rien au plaisir. Eh bien si, justement ! A vouloir se raccrocher à tout et n'importe, que ce soit à tous les effets visuels à la mode en ce moment et à tous les traitements possibles et inimaginables de personnages historiques, le film parvient à s'enliser dans un mélange de genre totalement foutraque qui n'arrive au final qu'à suinter une forme assez pathétique d'amateurisme et un manque incroyable d'imagination et de goût des auteurs. J'en veux pour exemple d'un côté la relation amoureuse d'Abraham avec Mary Todd faites de mièvreries et de « Je fais aboyer le panier parce que ça donne un aspect super tendre à notre amourette », et de l'autre une minable course poursuite où le président des Etats-Unis pourchasse un vampire en sautant d'un cheval à un autre au milieu d'une horde de canassons sauvages (et numériques) absolument hideux. Et le pire dans tout ça c’est : « Pourquoi Abraham Lincoln ? » On ne parle que de son action avant qu'il ne devienne président, quand il n'est qu'un inconnu ! Le personnage n'est même pas exploité ! Cela aurait été « Tartampion, chasseur de vampires », c'était pareil ! D'où toujours cette question : mais pourquoi un tel traitement ? Le pire, c'est que je suis persuadé qu'au départ ça partait d'un trip et puis, passé dans la machine à frique de la production, le trip est devenu une soupe indigeste pour que « tout le public s'y retrouve ». Quand je pense que pour cet immondice on retrouve encore le nom de Tim Burton, je me demande franchement jusqu'où ce mec réussira à flinguer l'image d’artiste talentueux qu'il avait su se construire autrefois.
Un tres bon film de vampire d'un nouveaux genre même si un peux rigolos de voir Abraham Lincoln ds le rôle de chasseur de vampire . Effets spéciaux bien acteur bien . Juste une critique "messieurs les pontes du cinéma arrêter de saturer ou enlever des scènes cars le film aurait été mieux avec ces 17scenes coupées". En espérant les voir ds la versions DVD
Qu'allais je donc faire dans cette galère ? Je le sais pourtant qu'il ne faut pas croire les critiques de films sinon les mecs seraient payés et ce serait considéré comme un vrai métier mais bon … Je me rends donc au cinéma, un soir sans la 3D parce que quand même faut pas déconner, et la heureusement que j'avais pris du pop corn, celui au caramel, trop bon, parce que ce dernier s'est révélé bien plus savoureux que ce que je voyais sur l'écran. Bon n'y allons pas par quatre chemin, grosse daube fantastique de l'été. Bin oui c'est l'été, la saison des robes légères, des rires qui fusent dans l'air tiède du soir, des rhums à la terrasse des bars et des daubes hollywoodiennes. Je passe sur les détails, rien dans ce film, mais vraiment rien, intrigue, action, acteurs, musique, humour, que sais-je, ne vaut le coup (juste un petit coup de cœur pour les vampires qui ressemblent aux créations de Ben Tempellsmith [auteur de 30 jours de nuits, les BD pas le film] mais c'est un détail). Le film joue à partir du même matériau sur deux plans : un premier aspect fantastique, qui constitue donc la trame du film et sur lequel donc il n'y a rien à dire tellement le film est mauvais, et un second, métaphorique cette fois, totalement loupé lui aussi et qui contribue à enfoncer encore plus profondément le film. Le mythe du vampire à de nombreuses origines qui varient d'un continent à l'autre voire d'un pays ou d'une région à l'autre. En Roumanie, l'une d'elle place l'origine des vampires d'un point de vue social : le mythe du vampire serait la métaphore de l'exploitation des paysans et des ouvriers par les grands propriétaires qui sucent la force vitales des travailleurs pour vivre et s'enrichir. Et c'est aspect la qui aurait pu sauver le film qui pèche tout particulièrement : le vampire se fait la métaphore des Etats-Unis d'Amérique nation si il en est qui s'est bâtie sur le sang des indigènes, sur celui des esclaves, ici nourriture pour les vampires des états du sud qui représentent ce qu'il y a de pire aux USA, puis celui à venir des travailleurs avec le capitalisme érigé en modèle. Abraham Lincoln le tueur de vampire représente quant à lui la partie éclairée de l'Amérique, celle qui lutte contre son coté obscure, le combat de l'homme contre la bête, pas la bête mystique et fantastique, la vraie, celle qui sommeille en chacun de nous. Mais le film échoue la où aurait pu éclater la réussite, la thématique bien que sous jacente est à peine effleurée et jamais exploitée. L'échec est proche de celui de Thor : là où Kenneth Brannagh aurait pu réaliser un film shakespearien sur le modèle du roi lear, Abbraham Lincoln chasseur de vampire se révèle comme la daube fantastique de l'été.
Une belle daube avec un scenario écrit sur un coin de table au Mc do en attendant ses frites ... S'il s'agit d'un copier coller du bouquin (que je n'ai pas lu), je préconise a son possesseur de l'utiliser pour caler un meuble.
J'ai aimé ce film, de l'action et du suspens, bref tout ce qu'on aime quand on aime les films de vampires, avec un fond d'histoire sur la vie d'Abraham Lincoln. La 3D est intéressante pour les scènes d'action.