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17 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Colin Firth incarne l’auteur Thomas Wolfe et Jude Law se glisse dans la peau de son éditeur Maxwell Perkins dans "Genius", une histoire d’amitié hors du commun. Michael Grandage les a entourés de partenaires de choix (...) pour une suite de morceaux de bravoure brillamment interprétés.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Colin Firth et Jude Law forment le duo gagnant de ce long métrage qui nous plonge avec bonheur dans l'effervescence littéraire new-yorkaise des années 1930.
La Voix du Nord
par La Rédaction
Au-delà de la mise en scène ampoulée, des cadrages serrés, de la boulimie de dialogues, le récit séduit par l’ambition qui guide ses pas. L’art, la vie, la famille, des notions souvent incompatibles. Une certitude, Genius donne furieusement envie de redécouvrir l’œuvre de ce contemporain de James Joyce.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Une biographie d’écrivain consciencieuse, qui vaut surtout par la qualité de l’interprétation et par le choix de ce point de vue original qui est celui de l’éditeur.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
"Genius" mérite la mention bien.
Télé 2 semaines
par La Rédaction
Le récit touchant de l'amitié qui a lié l'écrivain Thomas Wolfe à son éditeur Maxwell Perkins.
Critikat.com
par Nicolas Journet
"Genius" parvient à dresser le portrait subtil d’hommes tourmentés qui dédient leurs vies à l’écriture d’histoires qu’ils portent viscéralement en eux.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Arnaud Schwartz
Quoique de facture assez classique, le film, qui doit beaucoup à ses interprètes, parvient à faire ressentir les tourments de la création, l’importance capitale du rythme en écriture, le rôle essentiel du couple écrivain-éditeur…
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Dans le rôle principal, Colin Firth, tout en sobriété, donne vie à cet antihéros qui a su encourager ses illustres protégés, et leur tenir tête.
Le Parisien
par Alain Grasset
Jude Law et Colin Firth ont de nombreuses et longues séquences ensemble [et] si le film est réussi, il le doit à leur formidable interprétation.
Positif
par Christian Viviani
Le problème de "Genius" reste la mise en scène, fonctionnelle, carrée, mais fade, sans inventivité. Si bien que "Genius" reste un bon film d'acteurs auquel il manque un vrai réalisateur.
Télérama
par Pierre Murat
Michael Grandage n'a pas pu ou su résister à la tyrannie hollywoodienne des beaux décors et costumes, des belles images, et c'est dommage. Car lorsqu'il filme plusieurs fois Fitzgerald le déchu (Guy Pearce), il échappe à l'académisme et l'émotion passe, soudain...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Un biopic classique.
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
Un sujet passionnant auquel, hélas, la réalisation appuyée ôte toute saveur.
L'Express
par Thierry Cheze
Le scénario est poussif, la mise en scène pataude.
L'Obs
par François Forestier
Wolfe apportait des livres de plusieurs milliers de pages, que Perkins réduisait, industrieusement, à des proportions acceptables. Mais, grands dieux, faire un film de cette histoire ? C'est à périr d'ennui.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Thomas Sotinel
La question que voudrait poser le film est celle de la contribution d’un homme quasi anonyme, l’éditeur Maxwell Perkins, à la constitution de l’oeuvre de ce génie. Mais il faudrait autre chose pour y répondre que des acteurs britanniques en quête d’Oscar et des costumes empesés qui cachent la pauvreté des décors.
20 Minutes
Colin Firth incarne l’auteur Thomas Wolfe et Jude Law se glisse dans la peau de son éditeur Maxwell Perkins dans "Genius", une histoire d’amitié hors du commun. Michael Grandage les a entourés de partenaires de choix (...) pour une suite de morceaux de bravoure brillamment interprétés.
Femme Actuelle
Colin Firth et Jude Law forment le duo gagnant de ce long métrage qui nous plonge avec bonheur dans l'effervescence littéraire new-yorkaise des années 1930.
La Voix du Nord
Au-delà de la mise en scène ampoulée, des cadrages serrés, de la boulimie de dialogues, le récit séduit par l’ambition qui guide ses pas. L’art, la vie, la famille, des notions souvent incompatibles. Une certitude, Genius donne furieusement envie de redécouvrir l’œuvre de ce contemporain de James Joyce.
Le Dauphiné Libéré
Une biographie d’écrivain consciencieuse, qui vaut surtout par la qualité de l’interprétation et par le choix de ce point de vue original qui est celui de l’éditeur.
Le Figaro
"Genius" mérite la mention bien.
Télé 2 semaines
Le récit touchant de l'amitié qui a lié l'écrivain Thomas Wolfe à son éditeur Maxwell Perkins.
Critikat.com
"Genius" parvient à dresser le portrait subtil d’hommes tourmentés qui dédient leurs vies à l’écriture d’histoires qu’ils portent viscéralement en eux.
La Croix
Quoique de facture assez classique, le film, qui doit beaucoup à ses interprètes, parvient à faire ressentir les tourments de la création, l’importance capitale du rythme en écriture, le rôle essentiel du couple écrivain-éditeur…
Le Journal du Dimanche
Dans le rôle principal, Colin Firth, tout en sobriété, donne vie à cet antihéros qui a su encourager ses illustres protégés, et leur tenir tête.
Le Parisien
Jude Law et Colin Firth ont de nombreuses et longues séquences ensemble [et] si le film est réussi, il le doit à leur formidable interprétation.
Positif
Le problème de "Genius" reste la mise en scène, fonctionnelle, carrée, mais fade, sans inventivité. Si bien que "Genius" reste un bon film d'acteurs auquel il manque un vrai réalisateur.
Télérama
Michael Grandage n'a pas pu ou su résister à la tyrannie hollywoodienne des beaux décors et costumes, des belles images, et c'est dommage. Car lorsqu'il filme plusieurs fois Fitzgerald le déchu (Guy Pearce), il échappe à l'académisme et l'émotion passe, soudain...
Voici
Un biopic classique.
Studio Ciné Live
Un sujet passionnant auquel, hélas, la réalisation appuyée ôte toute saveur.
L'Express
Le scénario est poussif, la mise en scène pataude.
L'Obs
Wolfe apportait des livres de plusieurs milliers de pages, que Perkins réduisait, industrieusement, à des proportions acceptables. Mais, grands dieux, faire un film de cette histoire ? C'est à périr d'ennui.
Le Monde
La question que voudrait poser le film est celle de la contribution d’un homme quasi anonyme, l’éditeur Maxwell Perkins, à la constitution de l’oeuvre de ce génie. Mais il faudrait autre chose pour y répondre que des acteurs britanniques en quête d’Oscar et des costumes empesés qui cachent la pauvreté des décors.