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Votre avis sur Père Noël Origines ?
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L'idée de détourner l'image bienveillante de notre père Noël Coca- cola était très interressante mais l'ensemble du film était quand même bien mou. La fin fait esquisser un sourire sans plus.
Un Père-Noël maléfique qui terrorise un gamin paumé dans la campagne finlandaise. La figure de ce héros de l'enfance transformé en être diabolique n'est pas inédite dans le cinéma d'épouvante. Cette fois, c'est en Finlande qu'on la retrouve. Un retour aux origines donc, et une histoire abracadabrante et pas vraiment effrayante. Certaines scènes sont amusantes, et sont voulues ainsi, mais difficile de prendre véritablement tout cela au sérieux. L'influence est à chercher du côté des "Bad Taste" et "Braindead" de Peter Jackson. Mais celui-ci se permettait un jusqu'au boutisme un peu plus anarchique. Peut-être aurait-il fallu pour cette histoire une dose supplémentaire d'audace et de chaos pour être franchement réussie.
Fortement inspiré de l'univers de Steven Spielberg, Rare Exports a le pouvoir de rapidement séduire et convaincre, grâce notamment à sa mise en scène dynamique dépourvue de fausses notes. A l'origine de nombreux enchantements, le mythe du père Noël a inspiré à de nombreuses reprises des cinéastes, trop souvent en manque de conviction pour se montrer originaux. Jalmari Helander a réussi un coup de maître en mélangeant humour noire et fantastique, ce que peut ont été capable de faire jusque là. On retiendra donc de cette aventure humaine un excellent moment cinématographique.
🎬 RENGER 📼
Oubliez tout ce que vous avez toujours cru savoir sur le Père Noël, car ici vous allez découvrir une toute autre facette du vieillard bedonnant, très loin de l’image que nous a abreuvé Coca Cola avec son Père Noël barbu et tout de rouge vêtu.
Jalmari Helander, le réalisateur finlandais ne s’est pas contenté de réaliser un long-métrage original, il s’est reposé sur ses deux précédents courts-métrages (Rare Exports Inc. - 2003 & The Official Rare Exports Inc. Safety Instructions - 2005) et en a restitué une œuvre qui ne cesse d’osciller entre le fantastique, le comique et l’horreur. Vendu comme un film d’épouvante, on sera déçu sur ce point précis car en aucun cas ce film est effrayant, ce qui est sûr, c’est qu’il est ennuyant (étirer une histoire aussi simpliste sur une durée de 80minutes, il y a bien évidemment des passages qui tournent à vide). Cette relecture du mythe du Père Noël dépeignant le célèbre personnage comme étant un croquemitaine mangeur d'enfants s’avère tout bonnement ridicule, mais il faudra attendre le final (avec cette folle course dans les montagnes enneigées avec une trentaine de vieillards à poil) pour que le film nous achève définitivement. Alors que le cinéma nordique nous avait déjà déçu avec Troll Hunter (2010), on ne sera donc pas surpris de le voir débarquer dans l’hexagone avec un an de retard et exploité sur seulement 10 écrans.
Jalmari Helander, le réalisateur finlandais ne s’est pas contenté de réaliser un long-métrage original, il s’est reposé sur ses deux précédents courts-métrages (Rare Exports Inc. - 2003 & The Official Rare Exports Inc. Safety Instructions - 2005) et en a restitué une œuvre qui ne cesse d’osciller entre le fantastique, le comique et l’horreur. Vendu comme un film d’épouvante, on sera déçu sur ce point précis car en aucun cas ce film est effrayant, ce qui est sûr, c’est qu’il est ennuyant (étirer une histoire aussi simpliste sur une durée de 80minutes, il y a bien évidemment des passages qui tournent à vide). Cette relecture du mythe du Père Noël dépeignant le célèbre personnage comme étant un croquemitaine mangeur d'enfants s’avère tout bonnement ridicule, mais il faudra attendre le final (avec cette folle course dans les montagnes enneigées avec une trentaine de vieillards à poil) pour que le film nous achève définitivement. Alors que le cinéma nordique nous avait déjà déçu avec Troll Hunter (2010), on ne sera donc pas surpris de le voir débarquer dans l’hexagone avec un an de retard et exploité sur seulement 10 écrans.
Requiemovies
Dans la catégorie « on réinvente le film de Noël chaque année » Pères Noël Origines dynamite le genre par son originalité, scénario tordu et caustique au possible où l’on verrait flirter un épisode des Contes de la Crypte au pays de Joe Dante. Le manque de moyens du film est largement compensé par une inventivité de tous les instants. La photo soignée apporte une tonalité très personnelle au film et lui donne un relief le sortant bien au-delà de la série B. Un délice du Père Fouettard ou le petit Santa perd définitivement un symbole bien différent de certains métrages pompeux et mielleux. Comme quoi, parfois, ne pas être gentil toute l’année offre de jolis petits délices.
http://requiemovies.over-blog.com/
http://requiemovies.over-blog.com/
Ceux qui ne supportent pas le débonnaire père noël des pubs "Coca-cola" et tout le merchandising lié à cette fête familiale apprécieront le concept de ce conte pour enfants pas sages, qui fait un peu songer à du Joe Dante scandinave. Le problème majeur est que le film n'apporte pas grand chose par rapport aux courts métrages d'origine ("Rare Exports Inc.") et qu'il s'essouffle sur la durée (pourtant courte, 1 heure 20). La description de cette communauté machiste perdue sous la neige et confrontée au "véritable" visage de Noël ne manque pas de charme mais se révèle frustrante, et le mélange de genres ne fonctionne pas vraiment. J'attendais plus de ce long métrage.
Jalmari Helander nous avait bien fait poiler avec sa série de courts-métrages "Rare Exports" et ses chasseurs de Père Noël. C'est plus ou moins la transposition de ses courts en long qu'il nous propose ici avec "Père Noël Origines" (dont le titre original est bien "Rare Exports", j'aimerais vraiment un jour rencontrer les gens qui choisissent les titres de films en français, ça devrait être très instructif...). Le point de départ du film est génial (en gros, le Père Noël, en réalité, c'est le Père Fouettard !) et le réalisateur tourne autour en jonglant avec différents genres, du thriller fantastique à la comédie noire. Mais ce qui rend surtout ce film attachant, c'est qu'il nous montre la perte de l'innocence d'un jeune garçon qui, quelque part, se trouve déjà à la croisée des chemins de l'enfance et de l'âge adulte (il trimbale à la fois son doudou et un fusil de chasse chargé pendant quasiment tout le film !) et finira par s'affirmer dans un monde d'hommes (bizarrement, il n'y a absolument aucune présence féminine dans le film). A part ça, il faut bien reconnaître que le scénario a du mal à tenir la distance sur 1h30...
Par contre, Helander possède un réel sens de l'image et si, effectivement, "Père Noël Origines" fait souvent bien songer aux premiers Spielberg ou aux films de l'excellent Joe Dante, on y retrouve dans le ton cet humour à froid (c'est le cas de le dire) caractéristique du cinéma scandinave et qui donne au film son originalité. On regrettera juste de ne pas voir la créature Père Noël, absence probablement due plus au manque de pognon qu'au manque de volonté.
Fauché et sincère, voilà un film qui mériterait d'être découvert en famille (à vos risques et périls, quand même). Un conte de Noël qui ne nous prend pas pour des cons, c'est rare ! C'est pas Groland, c'est Finlande, mais on n'en est quand même pas très loin...
Par contre, Helander possède un réel sens de l'image et si, effectivement, "Père Noël Origines" fait souvent bien songer aux premiers Spielberg ou aux films de l'excellent Joe Dante, on y retrouve dans le ton cet humour à froid (c'est le cas de le dire) caractéristique du cinéma scandinave et qui donne au film son originalité. On regrettera juste de ne pas voir la créature Père Noël, absence probablement due plus au manque de pognon qu'au manque de volonté.
Fauché et sincère, voilà un film qui mériterait d'être découvert en famille (à vos risques et périls, quand même). Un conte de Noël qui ne nous prend pas pour des cons, c'est rare ! C'est pas Groland, c'est Finlande, mais on n'en est quand même pas très loin...
Le film qui va à jamais changer notre vision du Père Noël, non seulement l'idée est géniale mais en plus le réalisateur ne s'en contente pas simplement et fait de son scénario l'atout principal du film avec des personnages soignés qui ont une vraie psychologie. La mise en scène est efficace et fluide et même si l'on regrette de ne pas en avoir assez dans le registre "il y a des vieux papys tout nus qui essayent de tuer un gamin", l'ensemble est vraiment réussi et démystifie avec jubilation et dérision le mythe de Noël.
Le long métrage de Jalmari Helander fleure bon le cinéma popcorn des labos Amblin sans les moyens et le génie .......
On pense avoir droit à un film d’horreur et puis non : comédie ? fantastique ? .......
Le réalisateur ne c'est pas sur quel pied dansé et perd le spectateur en route ....
la fin du film est baclé et d un humour tellement patoche ,qu il en perd toute crédibilité ,
et la cerise sur le gateau , cest que l on verra jamais ce fameux pere noel , un comble pour un film qui traite de ce sujet bref hormis 1 ou 2 passages ironique , le film est un ratage complet .
On pense avoir droit à un film d’horreur et puis non : comédie ? fantastique ? .......
Le réalisateur ne c'est pas sur quel pied dansé et perd le spectateur en route ....
la fin du film est baclé et d un humour tellement patoche ,qu il en perd toute crédibilité ,
et la cerise sur le gateau , cest que l on verra jamais ce fameux pere noel , un comble pour un film qui traite de ce sujet bref hormis 1 ou 2 passages ironique , le film est un ratage complet .
Christoblog
Mais qui peut avoir une idée aussi bizarroïde que celle qui est à l'origine de ce film ? Et surtout comment les concepteurs ont pu trouver l'argent pour en faire un long-métrage ? Voilà les questions que vous vous poserez certainement en allant voir Père Noël Origines.
La réponse tient dans la hype qui entoure le réalisateur, Jalmari Helander, qui réalisa en 2003 un court-métrage avec 3500 € (Rare Exports Inc), qui connut à l'époque son heure de gloire sur Internet, et fut remarqué, dit-on, par Luc Besson.
On a beau aller beaucoup au cinéma, il arrive qu'on soit encore surpris pour le meilleur, pour le pire, ou comme ici, pour rien du tout.
Père Noël Origines commence comme du Spielberg. On a l'impression d'assister à un grand spectacle (montagne enneigée en décors naturel, travelling aérien, image soignée), et on se dit : "Voilà un thriller nordique intéressant". Et puis, on suit un petit garçon, et là on commence à penser à un Stephen King nordique. Le film change alors d'optique pour aller vers du fanstastique d'ambiance, avant de bifurquer vers une sorte de film d'action avec gros calibres. Tout ça avant un passage digne du Seigneurs des Anneaux en terme de moyens (mais d'où vient tout ce pognon, c'est hallucinant). Dans les derniers plans, il semblerait que le film soit finalement une comédie. Ca sent le délayage de court-métrage.
Un point à noter : l'absence totale de femmes dans le film. On ne sait pas trop si c'est volontaire, mais cela contribue à donner au film sa patine de film potache tape à l'oeil.
Basta, vous l'avez compris, je n'ai pas du tout adhéré à cette co-production franco-norvégo-suédo-finlandaise, et je suis prêt à parier que le bide va être retentissant. En effet, le film n'est fait pour aucun public : les enfants auront peur, les ados ne le trouveront pas assez gore, les adultes amateurs de sensations fortes l'estimeront trop sage et les autres trop osé.
D'autres critiques sur Christoblog : http://chris666blogsallocinefr.over-blog.com/
La réponse tient dans la hype qui entoure le réalisateur, Jalmari Helander, qui réalisa en 2003 un court-métrage avec 3500 € (Rare Exports Inc), qui connut à l'époque son heure de gloire sur Internet, et fut remarqué, dit-on, par Luc Besson.
On a beau aller beaucoup au cinéma, il arrive qu'on soit encore surpris pour le meilleur, pour le pire, ou comme ici, pour rien du tout.
Père Noël Origines commence comme du Spielberg. On a l'impression d'assister à un grand spectacle (montagne enneigée en décors naturel, travelling aérien, image soignée), et on se dit : "Voilà un thriller nordique intéressant". Et puis, on suit un petit garçon, et là on commence à penser à un Stephen King nordique. Le film change alors d'optique pour aller vers du fanstastique d'ambiance, avant de bifurquer vers une sorte de film d'action avec gros calibres. Tout ça avant un passage digne du Seigneurs des Anneaux en terme de moyens (mais d'où vient tout ce pognon, c'est hallucinant). Dans les derniers plans, il semblerait que le film soit finalement une comédie. Ca sent le délayage de court-métrage.
Un point à noter : l'absence totale de femmes dans le film. On ne sait pas trop si c'est volontaire, mais cela contribue à donner au film sa patine de film potache tape à l'oeil.
Basta, vous l'avez compris, je n'ai pas du tout adhéré à cette co-production franco-norvégo-suédo-finlandaise, et je suis prêt à parier que le bide va être retentissant. En effet, le film n'est fait pour aucun public : les enfants auront peur, les ados ne le trouveront pas assez gore, les adultes amateurs de sensations fortes l'estimeront trop sage et les autres trop osé.
D'autres critiques sur Christoblog : http://chris666blogsallocinefr.over-blog.com/
Ce film est une petite perle !
Le propos est audacieux,c'est drôle et angoissant à la fois avec un 1er degré bien assumé et une vraie dimension de conte pour grands enfants. Exit le Santa Claus joufflu de coca cola,il est temps de rétablir la "vérité" à propos d'un mythe qui tient ses origines de vieilles légendes nordiques. Ce film made in Nørsk en a suffisament dans la hotte pour allier avec malice des ingrédients improbables qui au final constituent un film noir,mais un vrai conte,comme savait les faire Tim Burton à l'époque lointaine où il savait faire des films (N'en déplaise aux fans de T. Burton dont j'ai fait partie jadis,aujourd'hui il patauge).
Ma crainte est que ce film ne connaîsse pas le succès qu'il mérite car mal distribué et face au rouleau compresseur de Tom et son nouveau MI qui sort en même temps,ça ne laisse que peu de chance à mon coup de cœur du festival de Gerardmer 2011. À vous de voir si vous préférez Hollywood à Stimorol,moi je préfère mâcher danois,c'est plus frais et moins convenu que la
chlorophylle...
Ah,l'après-générique est à ne pas rater!
Le propos est audacieux,c'est drôle et angoissant à la fois avec un 1er degré bien assumé et une vraie dimension de conte pour grands enfants. Exit le Santa Claus joufflu de coca cola,il est temps de rétablir la "vérité" à propos d'un mythe qui tient ses origines de vieilles légendes nordiques. Ce film made in Nørsk en a suffisament dans la hotte pour allier avec malice des ingrédients improbables qui au final constituent un film noir,mais un vrai conte,comme savait les faire Tim Burton à l'époque lointaine où il savait faire des films (N'en déplaise aux fans de T. Burton dont j'ai fait partie jadis,aujourd'hui il patauge).
Ma crainte est que ce film ne connaîsse pas le succès qu'il mérite car mal distribué et face au rouleau compresseur de Tom et son nouveau MI qui sort en même temps,ça ne laisse que peu de chance à mon coup de cœur du festival de Gerardmer 2011. À vous de voir si vous préférez Hollywood à Stimorol,moi je préfère mâcher danois,c'est plus frais et moins convenu que la
chlorophylle...
Ah,l'après-générique est à ne pas rater!
Film culte par excellence, ce film fait passer le plus sympa de la mythologie chrétienne en le plus vicieux, genre d'incarnation du diable. En plus, j'adore ce d"cor neigeux qui en rajoute sur l'ambiance, et c'est bien filmé. Ce film est une genre de préquel des deux courts-métrages Rare export.
Un bon rythme et pas d'ennui. On est tenu en haleine par le jeune comédien de bout en bout. De magnifiques paysages du Grand Nord et, comme d'autres l'on dit, une fin très drôle et inattendue. Pour son originalité, il vaut le détour !
Film bien marrant, quoique un peu enfantin. Mais j'adore leur première bande annonce, je vous conseille de la mater pour mieux comprendre leur délire http://www.youtube.com/watch?v=xkyqODDF-LU&noredirect=1
Au fin fond de la finlande, près d'habitations perdues vivant de l'élevage de rennes, des ingénieurs font d'étranges fouilles au sommet d'une montagne. Leur but: détérrer Santa... Mais seul le petit Pietari connaît le danger qu'il représente.
Plus proche du film d'auteur que du thriller, on plonge dans cet ovni avec angoisse.
Contrairement à ce que laisse entendre la com du film, c'est loin d'être un film d'horreur débile.
Plus proche du film d'auteur que du thriller, on plonge dans cet ovni avec angoisse.
Contrairement à ce que laisse entendre la com du film, c'est loin d'être un film d'horreur débile.
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