Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Le Monde
par Isabelle Regnier
La simplicité limpide de sa mise en scène, la distance très juste qu'elle a trouvée pour les filmer, permettent à Isild Le Besco toutes les outrances fictionnelles. C'est par ces excès qu'elle touche une vérité, révélant (...), sous la monstruosité apparente des personnages, toute la violence qui leur a été faite, et, finalement, toute leur vibrante humanité.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Critikat.com
par Ferhat Abbas
Cultivant son statut fictionnel, le film confirme qu'il est une réelle proposition de cinéma, préservant la part de mystère et d'insaisissable qui participe à l'humidité singulière, sexuelle et étouffante de ces Bas-fonds.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Elle
par Anne Diatkine
Isild Le Besco filme avec empathie les moments de bascule. Alternant les scènes du procès et celles de la vie avec le désastre, "Bas-Fonds" est un film bressonnien (...).
La critique complète est disponible sur le site Elle
Le Point
par Florence Colombani
Voir la critique sur Le Point.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Jean-Marc Lalanne
Même si la forme est très concertée, il y a quelque chose de viscéral dans la fascination de la réalisatrice pour son sujet, un goût de la contiguïté, une façon d'écraser le film au niveau des personnages véritablement fascinants.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Gérard Lefort
Isild le Besco dresse le portait impressionnant d'un trio d'âmes perdues entre désespérance et misère sociale.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Voir le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Repoussant la limite de nos émotions dans leurs zones les plus troubles et nous invitant à vivre l'une des expériences de cinéma les plus pures, les plus brutes mais surtout les plus bouleversantes – au sens le moins confortable et le plus radical – de cette année.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Mathilde Blottière
En troquant l'esthétique de l'urgence de ses premiers films (caméra mobile, vidéo) contre un dispositif d'une grande rigueur formelle (35 mm, plans larges), Isild le Besco enregistre le chaos avec une sobriété qui glace.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Brazil
par Eric Coubard
Depuis "Demi-Tarif", son premier long métrage en 2003, Isild filme la société dans son quotidien le plus cruel et le plus animal. "Bas-Fonds" ne déroge pas à la règle. (...) Le film est court et sans concession.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Excessif
par Romain Le Vern
Mais ne les délivrez pas du mal...
La critique complète est disponible sur le site Excessif
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Isild le Besco (...) continue de tailler une route qui ne connaît pas la ligne blanche.
Positif
par Philippe Rouyer
Ceux qui pourront supporter les excès de ses "Bas-Fonds" y trouveront la confirmation de son grand talent de directrice d'actrices.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Cahiers du Cinéma
par Stéphane Delorme
Isild Le Besco tient quelque chose, c'est évident. Pourquoi cette hystérie ne convainc-t-elle pas totalement ? Certainement par un manque d'organisation de la relation entre ces trois personnages.
Le Monde
La simplicité limpide de sa mise en scène, la distance très juste qu'elle a trouvée pour les filmer, permettent à Isild Le Besco toutes les outrances fictionnelles. C'est par ces excès qu'elle touche une vérité, révélant (...), sous la monstruosité apparente des personnages, toute la violence qui leur a été faite, et, finalement, toute leur vibrante humanité.
Critikat.com
Cultivant son statut fictionnel, le film confirme qu'il est une réelle proposition de cinéma, préservant la part de mystère et d'insaisissable qui participe à l'humidité singulière, sexuelle et étouffante de ces Bas-fonds.
Elle
Isild Le Besco filme avec empathie les moments de bascule. Alternant les scènes du procès et celles de la vie avec le désastre, "Bas-Fonds" est un film bressonnien (...).
Le Point
Voir la critique sur Le Point.fr
Les Inrockuptibles
Même si la forme est très concertée, il y a quelque chose de viscéral dans la fascination de la réalisatrice pour son sujet, un goût de la contiguïté, une façon d'écraser le film au niveau des personnages véritablement fascinants.
Libération
Isild le Besco dresse le portait impressionnant d'un trio d'âmes perdues entre désespérance et misère sociale.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
Repoussant la limite de nos émotions dans leurs zones les plus troubles et nous invitant à vivre l'une des expériences de cinéma les plus pures, les plus brutes mais surtout les plus bouleversantes – au sens le moins confortable et le plus radical – de cette année.
Télérama
En troquant l'esthétique de l'urgence de ses premiers films (caméra mobile, vidéo) contre un dispositif d'une grande rigueur formelle (35 mm, plans larges), Isild le Besco enregistre le chaos avec une sobriété qui glace.
Brazil
Depuis "Demi-Tarif", son premier long métrage en 2003, Isild filme la société dans son quotidien le plus cruel et le plus animal. "Bas-Fonds" ne déroge pas à la règle. (...) Le film est court et sans concession.
Excessif
Mais ne les délivrez pas du mal...
L'Obs
Isild le Besco (...) continue de tailler une route qui ne connaît pas la ligne blanche.
Positif
Ceux qui pourront supporter les excès de ses "Bas-Fonds" y trouveront la confirmation de son grand talent de directrice d'actrices.
Cahiers du Cinéma
Isild Le Besco tient quelque chose, c'est évident. Pourquoi cette hystérie ne convainc-t-elle pas totalement ? Certainement par un manque d'organisation de la relation entre ces trois personnages.