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Un pur drame canadien très bien interprété où la descente aux enfers relie le passé, le présent et un avenir sans devenir. Un film assez cru mentionnant les problèmes sociaux, financiers, relationnels, en recherche d'identité et de destruction. Des interprétations assez inégales mais crédibles. une mise en scène des plus classiques alors que des feedbacks auraient donné, je pense, une émotion autre. Un rythme très lent (trop ? oui !) accentue le désœuvrement mais ennuie un peu. Dommage que beaucoup de sujets traités ne sont que survolés alors qu'une "explication de texte" entre intervenants auraient (nécessairement) donné de l'épaisseur, de l'intensité. Un drame sombre sous un été caniculaire relativement intéressant. 3.5/5 à découvrir !!!
Je crois que les qualificatifs qui résument le mieux cet authentique navet sont: "glauque", "pathétique", "insipide" et "inutile".
Comment peut-on avoir l'idée d'un film pareil, ça me dépasse !
J'y met une demi étoile car je n'ai pas trouvé le moyen de mettre un 0 pointé.
Comment peut-on avoir l'idée d'un film pareil, ça me dépasse !
J'y met une demi étoile car je n'ai pas trouvé le moyen de mettre un 0 pointé.
Ah la fâcheuse pilule... En dehors du personnage de Simon, assez crédible et finement joué, le reste du film prend les spectateurs pour des crétins...
Quelques exemples, sans même utiliser la pauvreté du personnage de la mère.
Sécheresse vous avez dit? Vous l'avez vue où, la sécheresse, dans ces magnifiques prairies verdoyantes?
Simon serait le responsable de la mort de son petit frère? Un frère? Quel frère? On en n'apprend l'existence que dans les cinq dernières minutes.
L'homosexualité de la grand-mère? Ben voyons... Fallait bien expliquer la fascination de Simon pour les sexes masculins!
Comme quoi les Québequois peuvent produire de vrais navets aussi bien que les autres!
Quelques exemples, sans même utiliser la pauvreté du personnage de la mère.
Sécheresse vous avez dit? Vous l'avez vue où, la sécheresse, dans ces magnifiques prairies verdoyantes?
Simon serait le responsable de la mort de son petit frère? Un frère? Quel frère? On en n'apprend l'existence que dans les cinq dernières minutes.
L'homosexualité de la grand-mère? Ben voyons... Fallait bien expliquer la fascination de Simon pour les sexes masculins!
Comme quoi les Québequois peuvent produire de vrais navets aussi bien que les autres!
Tordu et sombre, pas un film à regarder en famille ou pour se divertir!
J'ai pas trop compris pourquoi Mme Bussières apparaît toute nue dans le champ au début.
J'ai pas trop compris pourquoi Mme Bussières apparaît toute nue dans le champ au début.
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