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César D.
37 abonnés
616 critiques
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2,0
Publiée le 9 septembre 2011
une bonne reconstitution des années 70, mais on s'ennui beaucoup. c'est long. c'est très long. et ce truant n'est pas un personnage interessant, ni charismatique. ou alors, c'est très mal rendu à l'image.
Ouaaaaiiiis, pas mal !!, ça se voit sans problème! Bien supérieur à Mesrine et à mon goût mieux et moins intello que le prophète, donc ouais c'est un bon film. Reconstitution, acteurs, etc: qu'ils sont pointus ces italiens quand ils s'y mettent. On constate que toute la problématique du film se centre autour de faut-il ou non faire l'apologie du gangster? Le bien, le mal, la morale... Leur solution :on en sort ébloui par les qualités du film et non fasciné par la violence du personnage, tout en ayant suivi et apprécié durant 2H son côté flamboyant... Hypocrisie de spectateur? On fantasme sur la contestation de l'autorité... Sauf que les beaux gangsters ne sont pas mis dans des reconstitutions du passé pour rien. Les fauves d'aujourd'hui feraient moins passables...et le costard italien leur va moins bien. De plus la nouvelle grande bourgeoisie financière a tout compris et résolu ces thèmes: ils font la loi à leur sens, pillent le peuple, sont le code, la respectabilité, et circulez y' a rien à voir, hormis ce qui brille, et les ombres en travers, poliment, vulgairement, sans aucune flamboyance. Et Vallanzasca pour nous défouler. Merci. Je conseille.
Je n'ai pas adhéré du tout à ce film.... tout du moins dans la 1ere demi heure puisque c'est le temps que j'ai mis a sortir de la salle! L'histoire est narrée de façon ininteressante, le héros n'est pas du tout charismatique et le sujet pas original. Bref pas ma tasse de thé!
Faites entrer l'accusé ! Renato Vallanzasca, ennemi public italien n°1 dans les années 70/80, voleur de grands chemins, mégalomane impénitent, charmeur de dames et ... sous les verrous à perpétuité. L'itinéraire de ce Mesrine transalpin valait-il un biopic ? C'est Michele Placido qui s'y colle, fort du succès de Romanzo criminale. L'ange du mal n'est, au mieux, qu'une pâle copie de ce dernier, efficace et plaisant à suivre, mais sans grande envergure, le nez dans les poncifs du genre, un peu plus convaincant dans la vie intime du voyou que dans ses aventures marquées par la violence et l'insouciance. Que souhaitait faire Placido ? Un thriller trépidant ? Bof ! Une hagiographie ? Bah ! Un témoignage d'une époque révolue où les grands criminels se la jouaient gentleman ? Beh ! Kim Rossi Stuart, assez méconnaissable, s'en tire avec les honneurs quoiqu'il lui arrive de surjouer. Le film aussi a des embardées épileptiques qui agacent les gencives. Un peu inutile, en fin de compte, cet ange du mal. On peut faire sans.
Après "Romanzo criminale", Michele Placido explore à nouveau le biopic des criminels italiens avec "L'ange du mal", film dédié à Renato Vallanzasca, un gangster de la péninsule qui a défrayé la chronique dans les années 70/80 et devenu par là même ennemi public N°1 en Italie. Bâti autour de ce Mesrine transalpin auquel Kim Rossi Stuart prête ses traits et son élégance, le film retranscrit la vie décousue de ce voyou de grand chemin qui aura passé une bonne partie de sa vie derrière les barreaux (il purge actuellement quatre peines de perpétuité et 260 années de prison). La carrière française de ce long-métrage s'annonce nettement moins médiatique qu'en Italie (le film a fait scandale là-bas) d'autant que l'on a du mal à s'identifier au personnage (n'est pas Vincent Cassel qui veut ...) et que la mise en scène assez brouillonne donne l'impression qu'il n'y a pas de ligne directrice. La réalisation, plutôt efficace, retranscrit bien l'époque, mais il y a beaucoup (trop ?) de traits communs avec "Romanzo criminale" (qui était plus réussi d'ailleurs et dont la tête d'affiche n'était autre que Kim Rossi Stuart ...) pour ne pas avoir l'impression d'en voir une pâle copie. Clairement, ce biopic ne soutient pas la comparaison face à un "Mesrine" bien plus percutant (le doublage parfois moyen n'aide pas non plus ...), mais reste un honnête film "à l'italienne" de fond de tiroir ...
J'aime beaucoup ce film, un peu dans l'esprit de "Mesrine" à l'italienne... L'acteur principal Kim Rossi Stuart est très bon selon moi en Renato Vallanzasca et la mise en scène est efficace. A voir ! Vraiment...
Après Romanzo Criminale, encore une fois on est pas déçus!!! L'acteur est hallucinant, il porte le film et en fait une petite merveille. A voir absolument!!!!!
Un film puissant avec une réalisation bien maitrisée.Kim Rossi Stuart est juste et interprète avec charisme ce célèbre gangster arrogant et violent parfois.Michele Placido se bonifi de film en film.
Énième biopic sur un gangster connu, cette "Ange du Mal" n'est pas sans rappeler un certain Mesrine version italienne! Comme héros il y a le jeune et vivace Kim Rossi Stuart, véritable point centrale du film par son interprétation hors paire! Malheureusement il faut bien plus que cela pour épater le genre. Chose non atteinte par Michele Placido, réalisateur du bon Romanzo Criminale, et qui avait réussi a nous scotché sans artifices. Alors pourquoi cela ne fonctionne pas cette fois? Car il ne fait que relater, à l'écran, des faits sans donner d’empathies aux personnages. On retrouve tout le style empreint du réalisateur : couleurs âpres, violences froides, fusillades agitées, etc. Autre bémol, le déroulement du récit, ennuyeux et bien trop long de ces deux heures (...) ce qui accentue la linéarité de ce faux Drame policier. Loin de là que "L'ange du Mal" sois un mauvais film, il reste appréciable sans lever la moindre émotions. On se passera également des clichés du genre (police qui débarque pendant un ébat sexuel, trahison au sein du groupe, règlements frontal, maltraitance des matons en prisons ETC.) Résultat : Moyen(!)
Un très bon film de gangster signé michel Placido déjà auteur du chef d'oeuvre "romanzo crimminale", biopic du plus célèbre gangsterl italien incarné à la perfection par la star italienne kim rossi stuart nous fait vivre les 20 années les plus importantes de Vallanzasca. D'ailleurs les années 70/80 sont très bien retranscrite. A noter que la BO est terribel. 3,5/5