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Comment sombre-t-on dans l'abjection fasciste : telle est la seule question que se pose et que nous pose "Santiago 73" à travers le personnage grisâtre de Mario, être fondamentalement immobile dans une réalité en mouvement, d'autant plus docile à la monstruosité de l'Histoire.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Pablo Larrain n'use (...) d'aucun autre outil que ceux mis à la disposition des cinéastes, mais il les utilise tous. (...) "Santiago 73" est en cela un vrai film de cinéaste et, à sa manière, une oeuvre majeure.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Si le film de Pablo Larraín (...) est glaçant, c'est au moins autant en raison de sa forme que de l'histoire qu'il raconte. Corps figés, lumières blafardes, diction lente, tout semble renvoyer au "post mortem" du titre.
La critique complète est disponible sur le site Libération
L'humour noir n'est (...) pas exclu de cette tragédie, d'autant plus étrange que tout paraît d'un calme inquiétant, ouaté, cotonneux, comme dans un mauvais rêve de Kafka.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
"Santiago 73, Post-Mortem" ne s'adresse donc pas à tout le monde, mais les amateurs de cinéma d'auteur exigeant y trouveront peut-être leur compte. Quant aux autres...
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Le propos politique est convaincant mais le film difficilement soutenable tant il est sordide et peuplé d'anges déchus qui ne sont plus que zombies ou cadavres.
Pablo Larraín (...) a un style bien particulier : plans fixes, plans fixes, plans fixes. Du coup, le film a une lenteur méditative qui peut séduire ou irriter, c'est selon.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Le Monde
Comment sombre-t-on dans l'abjection fasciste : telle est la seule question que se pose et que nous pose "Santiago 73" à travers le personnage grisâtre de Mario, être fondamentalement immobile dans une réalité en mouvement, d'autant plus docile à la monstruosité de l'Histoire.
Les Inrockuptibles
Des combats violents (...) nous ne verrons que les conséquences (...). C'est en grande partie dans ce hors-champ que réside toute la force du film.
L'Obs
Pablo Larrain n'use (...) d'aucun autre outil que ceux mis à la disposition des cinéastes, mais il les utilise tous. (...) "Santiago 73" est en cela un vrai film de cinéaste et, à sa manière, une oeuvre majeure.
Le Point
voir la critique sur lepoint.fr
Libération
Si le film de Pablo Larraín (...) est glaçant, c'est au moins autant en raison de sa forme que de l'histoire qu'il raconte. Corps figés, lumières blafardes, diction lente, tout semble renvoyer au "post mortem" du titre.
Marianne
Pablo Larrain, d'un rien, montre la confusion habituelle de nos sentiments. (...) il donne le putsch à voir comme un cauchemar d'enfant.
Positif
[Le] traitement parfaitement maîtrisé s'avère très opérant [même si] son artificialité peut séduire ou agacer (...)
Studio Ciné Live
voir la critique sur le site de Studio Ciné Live
Télérama
L'humour noir n'est (...) pas exclu de cette tragédie, d'autant plus étrange que tout paraît d'un calme inquiétant, ouaté, cotonneux, comme dans un mauvais rêve de Kafka.
Brazil
"Santiago 73 Post Mortem" récupère la technique de l'autopsie afin de disséquer les intérieurs d'une dictature...
Première
(...) Une subtile et parfois fascinante évocation des aspirations et des désillusions de la société chilienne toute entière.
Excessif
"Santiago 73, Post-Mortem" ne s'adresse donc pas à tout le monde, mais les amateurs de cinéma d'auteur exigeant y trouveront peut-être leur compte. Quant aux autres...
L'Express
Voir la critique sur l'Express.fr
Le Journal du Dimanche
Le propos politique est convaincant mais le film difficilement soutenable tant il est sordide et peuplé d'anges déchus qui ne sont plus que zombies ou cadavres.
TéléCinéObs
Pablo Larraín (...) a un style bien particulier : plans fixes, plans fixes, plans fixes. Du coup, le film a une lenteur méditative qui peut séduire ou irriter, c'est selon.
Cahiers du Cinéma
(...) une posture de radicalité qui masque mal son penchant douteux pour le dogmatisme et l'autorité.
Critikat.com
Certains films se présentent à nous avec une gueule de cent pieds de long. "Santiago 73" est un film triste, arrogant et irrécupérable.