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    Cirkus Columbia
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    3,2
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    12 critiques spectateurs

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    landofshit0
    landofshit0

    274 abonnés 1 745 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 juillet 2013
    Danis Tanovic aura été l'homme d'un seul bon film,no man's land c'est à croire vu que cirkus Columbia n'est qu'une farce remplit de clichés très moyennement drôles. Le problème du film est son manque de consistance et le ton employé en forme de sous kusturica à l’humour navrant de niaiserie.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 3 août 2011
    Fabuleux , un moment émouvant .
    Je reste attachée aux personnages .
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 9 mai 2011
    D. Tanovic, arrive à doser de manière assez fine l'humour, l'amour, le dramatique et l'historique.Un début de guerre assez révoltant, des histoires d'amour ambigues, un chat porte bonheur qui lie de manière légère tout ce film.
    velocio
    velocio

    1 297 abonnés 3 121 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 avril 2011
    Depuis ses débuts en 2001,avec "No Man's land", la carrière du bosniaque Danis Tanovic est exceptionnelle : en tout, 4 films, aucun déchet. Après avoir quitté l'ex-Yougoslavie de "No Man's Land" pour placer ses caméras en France ("L'enfer") et au Kurdistan ("Eyes of War"), Danis retourne chez lui, en Bosnie. Dans "Cirkus Columbia", il nous transporte dans une période importante de l'histoire de ce pays, celle qui se situe entre fin 1989 (chute du Mur de Berlin) et le début de la guerre entre serbes, croates et bosniaques. Le prétexte : après 20 ans d'exil en Allemagne où il a fait fortune, Divko, la bonne cinquantaine, revient dans son village natal dans sa Mercedes, plein de billets dans les poches, un chat noir qui lui a toujours porté bonheur et une bimbo rousse avec qui il compte se remarier après avoir divorcé de sa femme qui était, elle, restée au pays. C'est à peine s'il se souvient avoir un fils, 22 ans, radio amateur passionné. Très vite, on apprend qu'il a dû quitter le pays du fait des activités fascistes de son père pendant la 2ème guerre mondiale alors que la famille de son épouse soutenait le régime de Tito. Lorsqu'il arrive, le village est coupé en 2 : ceux restés fidèles à Tito et à l'idée d'une Yougoslavie réussissant à rassembler des gens ayant des origines et des religions différentes; de l'autre côté, ceux qui veulent "faire sécession". La grosse qualité de Tanovic, c'est de réussir à rendre léger ce qui est pesant, sans pour autant affadir l'importance des événements. Ce qui lui permet aussi de laisser passer une pointe de nostalgie par rapport à une époque, celle d'avant le conflit, où tout ne tournait pas autour de l'argent : "avec l'argent, tu peux tout acheter mais tu ne peux pas tout avoir", dit Divko à son fils. Miki Manojlovic, vu aussi bien dans "Largo Winch" que dans "Les marins perdus" ou "Irina Palm", est parfait dans le rôle de Divko. Boris Ler est une belle découverte dans le rôle de Martin, le fils de Divko. Autre découverte : Jelena Stupljanin, dans le rôle d'Azra, la rousse, finalement pas si bimbo. Mira Furlan, qui joue l'épouse restée en Bosnie, est également très convaincante. Comme d'habitude, on attendra avec impatience son prochain film. Peut-être le film quelque peu impertinent sur les religions qu'il m'avait dit projeter de faire il y a déjà 10 ans.
    Tumtumtree
    Tumtumtree

    167 abonnés 529 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 avril 2011
    Film plus complexe qu'il n'y paraît. Mais davantage pour la lente montée d'une guerre civile vue de l'intérieur que pour la comédie sentimentale qui s'affiche partout (affiche, bande-annonce). Les acteurs sont très bien. La mise en scène est assez plate par contre.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 30 mars 2011
    Comment la haine, la rancœur, des années d'incompréhension mènent-ils à une rupture que l'on peut croire définitive ? Comment l'amour peut-il surpasser la dérive des continents et des cerveaux humains ? Finalement, à travers les bombes, la bêtise humaine, les morts, la peur, l'angoisse subsiste de chaque être ce qu'il est, qu'importe sa forme, reste seulement la vérité, criante, horrible ou resplendissante.. C'est un cirque, c'est un clown triste, c'est un cirque triste qui joue au clown qui s'amusait..
    Julien D
    Julien D

    1 194 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 septembre 2012
    Ce drame familial yougoslave filmé en parallèle de la guerre naissante est très émouvante et réussit à être mise en scène avec de l'humour, il s'agit donc là d'une vision sympathique de ce pays à l'aube de sa triste explosion. Si la trame narrative du film s'éloignera de l'intrigue politique pour s'axer sur son aspect vaudevillesque, l'inéluctable conflit éclatera et les personnages devront y faire face dans une belle conclusion mais dont la scène finale peut toutefois sembler prévisible. En revenant à ses sources, et peut-être à des souvenirs personnels, Tanovic signe ici son meilleur film.
    JoRod
    JoRod

    58 abonnés 335 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 mars 2011
    Danis Tanovic, avec plus ou moins de réussite dans ces précédentes oeuvres, nous reviens avec "Cirkus Columbia", un drame ou plutôt comédie dramatique sous fond de début de guerre. C'est réussi, c'est attachant, c'est parfois drôle, tout ceci brillamment mis en scène. Les personnages sont attachants. Un scénario relativement bon. Le réalisateur tombe juste, sans jamais trop en faire.
    traversay1
    traversay1

    3 538 abonnés 4 821 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 mars 2011
    Après des expériences plus que mitigées, en France (L'enfer) et aux Etats-Unis (Eyes of war), Danis Tanovic revient avec bonheur à ses racines bosniennes avec Cirkus Columbia. Le film, au propos volontairement modeste, s'il n'a pas les qualités comiques et absurdes de No man's land n'en est pas moins son contrepoint, en creux, mélancolique et pessimiste, alors que les nuages noirs de la guerre menacent. Ce n'est pas une véritable comédie, bien que quelques ingrédients "italiens" et clochemerlesques y figurent, pas plus qu'un drame, même si l'on pressent que les différences ethniques et idéologiques vont bientôt laisser la place à des haines féroces. Nous sommes plutôt dans une chronique douce/amère, entre deux eaux, alors que le titisme vient de disparaître et qu'il fait encore bon se baigner dans la rivière, au plus chaud de l'été. L'orage va éclater, il ne reste qu'un moment pour se souvenir des jours paisibles. Et faire un dernier tour de manège au Cirkus Columbia.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 28 décembre 2011
    Film catastrophique. Désolant. Horrible. Navet. Le cinéma de l'est nous a habitué à beaucoup,beaucoup,beaucoup mieux.
    fasskinder
    fasskinder

    26 abonnés 304 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 25 mars 2011
    Quel ennui, un film inutilement lent, ça ne démarre jamais, les personnages sont des pâles copies de ceux des films de Kusturika, en moin bons et moins crédibles.... ouf !
    Patrick Braganti
    Patrick Braganti

    90 abonnés 396 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 mars 2011
    Commencé sur le ton de la comédie et de la farce, Cirkus Columbia va opérer aux deux tiers un virement de ton et d’ambiance, concomitant à l’atmosphère délétère qui envahit la bourgade, alors que parviennent de l’extérieur les rumeurs d’une guerre imminente. Divko qui retrouve sa première femme qu’il a abandonnée vingt ans auparavant avec son fils Martin, sans jamais s’enquérir de la moindre nouvelle, c’est aussi le renouvellement du mythe shakespearien de Roméo et Juliette, survivants dont l’amour s’est transformé en haine tenace. À deux décennies d’écart, le film met en parallèle la seule possibilité de l’exil vers l’Allemagne, vécue comme un Eldorado à l’heure de la chute du communisme. En dépit d’une certaine mollesse et d’un relâchement perceptible de la mise en scène, Cirkus Columbia parvient de temps à autre à mêler la légèreté d’un été caniculaire marqué par les émois d’un adolescent à la gravité d’un conflit en préparation. Revenu dans son ancien territoire qu’il convoite avec l’avidité d’un nouveau riche, exhibant sa grosse cylindrée et sa jeune compagne, Divko accomplit le chemin inverse que Martin s’apprête à emprunter. Le croisement offre au père la perspective du rachat, en finissant par se montrer prodigue et bon joueur.
    Dans les intonations de la langue et la tendance à l’exagération et au cabotinage des personnages, il y a quelque chose de la comédie italienne, même si le film n’en atteint jamais ni l’ampleur dénonciatrice ni la force tragicomique. A fortiori, il échoue à passer du privé au collectif en circonscrivant à la sphère familiale tout développement éventuel.
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