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gimliamideselfes
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2,0
Publiée le 11 janvier 2017
Le pinku eiga j'aime vraiment bien, des nichons, de la violence, de la torture, souvent des personnages de femmes fortes, etc, mais malheureusement la plupart de ces films finissent par se mélanger dans ma mémoire et je finis par même oublier jusqu'à leur existence et malgré son titre français très évocateur, je ne pense pas que Bondage soit une exception. C'est d'ailleurs un film assez médiocre.
Effectivement, le film est tellement mou, fade et convenu qu'il est difficile de le trouver érotique ou bien dérangeant, c'est juste un type qui plonge une fille qu'il vient de rencontrer qui lui rappelle sa femme dans de l'eau glacée et qui l'attache avant de la baiser plus ou moins violemment. Rien de bien fou ici. Et vu que la mise en scène reste très sage, que c'est très répétitif, ben ce n'est même pas jouissif, il n'y a aucun plaisir qui sort de ce film, c'est juste mou et un peu chiant... Sans être totalement à jeter non plus, mais voir 4 ou 5 fois la fille se faire plonger dans de l'eau gelée les seins à l'air... bof... j'ai vu mieux... surtout qu'il n'y a pas réellement d'histoire non plus.
Film extrême dans tous les sens du terme (de son sujet à sa démonstration). Oeuvre qui explique les pratiques sado-masochistes du bondage (casse gueule), film osé comme beaucoup d'autres films japonais de cette époque. Une réalisation tout à fait correct mais un scénario vraiment pas génial, une succession de scènes de bondage c'est trop répetitif (surtout dans la première partie).
Peintre, dessinateur et photographe, Seiu Ito a aussi une autre passion, dérangeante pour certains ou naturelle pour d’autres, à savoir "le bondage" (pratique érotique qui consiste à ligoter son partenaire à l’aide de corde. Cette forme particulière du sado-masochisme est très répandue au Japon). Avide de cinéma érotique Japonais, de bondage, de pratiques sado-masochistes ? Bondage (1977) est fait pour vous, Noboru Tanaka nous réserve bon nombre de supplices traditionnels, toujours érotique et jamais pornographique. Le film n’en reste pas moins inintéressant, trop linéaire et que seuls les aficionados du genre pourront apprécier.
Je t'attache et plus tu souffriras, plus tu deviendras belle... Le réalisateur Noburu Tanaka nous livre là un film sur l'univers du bondage, c'est fort, ça prend les tripes, et sonde l'âme en question sur la vision de la femme. Les textes sont peu présent, mais une fois que ça arrive, ils sont limpide et percutant, cette homme qui disons torture si on peut dire ça de loin, bien qu'à la base c'est le plaisir de voir jusqu'ou le corps d'une femme peut aller et tenir physiquement. Effarant de prendre conscience qu'un corps féminin peut tenir une heure dans le froid, effarant de voir cette souffrance demander par la femme elle-même, cette femme qui tombe ensuite non pas malade des épreuves, mais parce que sa mère lui à transmis une maladie à sa naissance. Cette femme prénommée Taé jouer par l'actrice Junko Miyashita nous bouscule et nous laisse pantois de chagrin et d'amour. Je termine par une phrase dure dite dans le film je cite : "j'utilise les femmes pour mon plaisir, pour moi la femme est une pute ou une secrétaire, elle est rien d'autre".
Sur un sujet pourtant bien délicat ( à savoir le bondage, qui est une pratique érotique qui consiste à immobilisé le corps de sa partenaire aux moyens de corde ou de tout autre accessoire ), le réalisateur japonais Noboru Tanaka arrive à rendre son long métrage captivant grâce à une mise en scène surprenante et comportant son lot de séquences chocs, notamment sur les scènes de sévices qui sont filmées de manière bien réaliste et qui arrive très facilement à rendre le spectateur bien mal à l'aise. Mais il ne faudrait surtout pas négliger la performance de l'actrice Junko Miyashita qui nous offre une interprétation bien touchante et étonnante dans le rôle de Taé, une femme qui finira pas s'abandonnée totalement, et dans une sorte d'esclavagisme, à son mari. Il s'agit donc d'un film clairement tourné vers la sado-masochisme et qui ne pourra laisser personne indifférent. Une curiosité a découvrir, mais évidemment pour un public averti.