Derniers Avis sur Attack the Gas Station 2

Dix ans après avoir été pris en otage dans sa propre station-service, le propriétaire décide d’agir contre les attaques répétées de bandes de jeunes en scooter en engageant quatre durs à cuir : l’héritier d’une usine produisant du kimchi à la pelle, à l’uppercut redoutable; un ancien footballeur écarté de l’équipe nationale pour actes de violence, au shoot terrifiant; un lutteur un peu enveloppé, oubliant son bégaiement lorsqu’il se lance dans ses calculs, et très protecteur envers les femmes; un accro aux jeux vidéo en ligne qui a maîtrisé l’art du bluff. Mais lorsque ces derniers en ont assez de se faire marcher sur les pieds, ils se retournent contre leur employeur, et, avec l’aide d’une bande d’ado qui tentaient une attaque, prennent le contrôle de la station-service pour obtenir leur salaire impayé.
Ce deuxième film ne vaut pas son prédécesseur, trop copié-collé, et donc sans l'effet de surprise du premier, avec des personnages moins intéressants et un ensemble clairement moins amusant que l'autre.
Vous pouvez vous contenter de regarder "Attaquons la station-service 1" sans voir sa suite.

Un second volet qui copie le premier et rajoute bien quelques situations humoristiques bien barrés et drôles mais globalement le film en fait trop pour devenir agréable .
Trop dans ses effets visuel (et ceci dès le générique c'est à donner la gerbe), dans ses plans en tout genre avec une caméra épileptique (par exemple on retrouve une simple phrase qui sera dévoilée sous plus de 5 plans (comme dans les films ou une voiture tombe d'une falaise) c'est mauvais et ça donne mal à la tête pour un simple dialogue) .

Les acteurs surjouent trop mais ceci n'accentue en aucun cas le coté humoristique, l'humour est assez lourd et répétitif mais le gros point noir de ce film est qu'il a tendance à se rallonger pour rien .
Ce qui aurait pu être une sympathique suite au niveau du premier courte et efficace n'est au final qu'une longue farce baveuse de lourdeur à la limite de l’exécrable tellement ça vaut trop en faire, mais trop c'est trop !