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DarioFulci
107 abonnés
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0,5
Publiée le 4 mars 2012
Honteux film d'exploitation sans argent, sans idées autre que montrer de pauvres "actrices" se déshabiller sans arrêts ou se faire bouffer par du plastique gluant. C'est tellement laid et mal fait qu'après avoir rit on est ébahi devant la débilité qui s'offre à nos yeux. Le réalisateur n'a pas peur de la vulgarité complaisante (ça viole à tout va) dont fait preuve le torchon qui a servi de scénario. Le summum étant atteint à la fin: effets spéciaux ridicules où nos pauvres "actrices" se frottent nues dans du lait visqueux et entourées d'un décor en carton colorié. Incroyable mais vrai. Pour passer une soirée à se marrer, c'est le film idéal.
Imaginez une sorte d'Alien croisé avec la Mouche réalisé par un réalisateur de film érotique pour un budget de 100 dollars et bien ce résultat existe c'est Breeders. Alors si vous n'êtes pas adepte des z qui se regarde si possible alcoolisé alors passez votre chemin sinon amusez à regarder ce gros n'importe quoi. Faut avouer qu'entre sa créature en latex tout pourri, ses acteurs sorti de l'Anpe ricaine et ses nombreux plans nichons tous plus con les uns que les autres il y a de quoi franchement rire .Il se peut aussi que je sois le seul à trouver ça marrant mais là on sort du contexte du film.
Un des fleurons de la série Z américaine des 80's remarquable pour les multitudes invraisemblances de son scénario (pourtant pas très épais) et la rare complaisance qu'éprouve le réalisateur dès qu'il faut filmer ses actrices dans le plus simple appareil. L'histoire se résume en effet à une série d'attaques extra-terrestres à l'égard de jeunes femmes vierges qui se déshabillent systématiquement où qu'elles soient (cuisine, salle d'aérobic...) ! Le spectateur qui aura résisté au rythme lénifiant de cette production fauchée appréciera sans mal la stupidité de ses répliques, le jeu plus qu'approximatif de ses acteurs et sa créature de toute mocheté.
Petit nanar très court. Les acteurs sont pourris, mais bien sur le cliché récurent des films d'horreurs : il faut toujours qu'une femme hurle! C'est bien le cas dans "Breeders". Les effets spéciaux sont, quant à eux, très nanaresques. Le rythme est mou. Un navet!
À Manhattan, plusieurs femmes sont victimes de viol et ont pour point commun qu’elles étaient toutes vierges. Le docteur Gamble Page et le détective Dale Andriotti enquêtent sur cette sordide affaire et ne vont pas tarder à découvrir que le violeur n’est autre qu’une entité extraterrestre qui prend forme humaine dans le but de s’assurer une descendance avec des terriennes…
Breeders (1986), sous-titré "The Sexual invasion" est comme son nom l’indique, une invasion sexuelle dans les rues de New-York où une forme extraterrestre met tout en œuvre pour se créer une progéniture terrienne et pour cela, elle n’a rien trouvé de mieux que de violer d’innocentes et séduisantes jeunes femmes.
Il suffit de voir les différentes jaquettes du film pour s’en convaincre, on est bel et bien devant une Série B, un nanar sans le sou avec un monstre représenté par un costume en caoutchouc et son défilé de nymphettes. Quasiment toutes les actrices finissent entièrement nues, tout est prétexte pour les foutre à poils, si bien que l’on finit par se demander si l’on ne serait pas devant un film de David DeCoteau (Nightmare Sisters - 1988), le grand spécialiste des navets avec ses actrices dévêtues.
Après une carrière dans le porno gay, Tim Kincaid s’est orienté vers le cinéma grand public en réalisant toutes sortes de séries B, avec des nanas badass (Bad Girls Dormitory - 1986) ou avec des robots cheaps (Robot Holocaust - 1987). Avec Breeders (1986), il trouve un juste milieu avec d’un côté, de la S.F. low-cost et de l’autre, d’innombrables scènes de nus purement gratuites. Ne vous fiez surtout pas aux différentes jaquettes qui ont vu le jour lors de son exploitation en VHS, le visuel américain joue la carte du reptilien avec ce visage de femme qui laisse entrevoir un monstre particulièrement sordide (alors que la réalité est toute autre, l’alien est totalement ringard et ressemble à un vagin denté avec un furoncle proéminent), tandis que le visuel français nous vante une invasion d’aliens à grand renfort de soucoupe volante en plein N.Y. qui attraperait ses proies à l’aide de tentacules (cela n’apparait qu’une seule fois dans le film).
Bref, le réalisateur prend un malin plaisir à dévêtir ses actrices dans n’importe quelle situation (l’une d’elle se désape dans sa cuisine et une autre fait sa gym le cul à l’air). Estimons-nous heureux que le film soit de courte durée (75min), en dehors d’en prendre plein les mirettes et d’apprécier les rares effets gores, il n’y a pas grand-chose à retenir du film, si ce n’est les 10/15 dernières minutes qui sont particulièrement craspecs (et cocasses) et pour cause, on retrouve les 5 victimes de viols dans une station de métro désaffectée, entièrement nues dans une sorte de cuve remplie d’un liquide blanc visqueux avec lequel elles s’enduisent tout le corps spoiler: (bien évidemment, on comprend rapidement qu’il s‘agit là de semence extraterrestre… si vous n’avez jamais vu des nymphettes prendre un bain de sperme, c’est l’occasion… ou jamais).