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    La Dame en noir
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    3,3
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    1 077 critiques spectateurs

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    saikik
    saikik

    1 abonné 38 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 août 2021
    Malgré l'histoire assez originale et l'ambiance spéciale et unique que dégage le film, j'ai trouvé qu'il ne faisait vraiment pas peur. L'ayant déjà regardé la première fois plus jeune je l'avais trouvé excellent mais cette fois si il m'a un peu déçu, la dame en noir ne fait pas vraiment peur et quelque fois c'est assez ridicule comme quand elle apparaît d'un coup en hurlant, c'est facile, ridicule et ça rend beaucoup moins crédible. Malgré ça je le recommande quand même, et ça m'a fait plaisir de le revoir :)
    Chucky.
    Chucky.

    16 abonnés 467 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 avril 2021
    Un très bon film d'horreur gothique, avec de très bonnes scènes angoissantes avec une touche tan dans l'émotion que dans le poétique grâce à sa très belle photographie. Certes il n'apporte rien nouveau, c'est un scénario classique de film de maison hanté, mais qui fonctionne très bien malgré tout. Daniel Radcliffe jette sa baguette magique d'Harry Potter pour nous démontré qu'il est capable de faire autre chose et être tout aussi crédible.
    Malbac H
    Malbac H

    6 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 avril 2021
    Déjà le film ce passe dans un marrais je croyais c’était Shrek mais en fait non c’est bien un film d’horreur mais pas trop non plus car les jouets font plus flipper (le gosse et le père meurent à la fin)
    Tom CABAL
    Tom CABAL

    1 abonné 13 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 février 2021
    Un film qui fait des petits frissons avec un peu de stress. L’ambiance du film et assez sombre comme son titre « la dame en noir »
    Chefs d’œuvre.
    Thomas C.
    Thomas C.

    4 abonnés 40 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 février 2021
    Un très bon film ( pas le meilleur de tous les temps) mais assez bon pour vous faire sursauter et vous faire aimer cette terrible histoire. Avec un très bon acteurs comme personnages principales.
    mistermyster
    mistermyster

    56 abonnés 1 271 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 décembre 2020
    La Dame en noir, histoire de fantômes malfaisants. On nous transporte dans une époque, et dans un lieu hors du temps, l'atmosphère comme souvent est la clef d'un film réussit et là, on est servi. Le manoir, le brouillard, les marais, l'esprit malsain, l'histoire nous enveloppent de son linceul pesant et abominable. Les mines torturées de toutes ses personnes qui vivent dans ce trou perdu, une peur viscérale emprisonnant leur vie. Film d'ambiance réussit qui donne le frisson
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 6 décembre 2020
    Je l’ai trouver bien après j’ai pas eu peur juste des sur saut mais sinon sa aller je dit sa car moi
    J’ai vraiment peur des film d’horreur j’en regarde très rarement et jamais toute seul , mais je l’ai quand même aimer je le re regarderai et je me conseille bon travaille et me personne harry potter j’adore 🤍
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    690 abonnés 3 012 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 novembre 2020
    The Woman in Black a l’obsession du couloir plongé dans l’obscurité au bout duquel menace le fantôme d’un passé qui ne veut disparaître, à l’image peut-être de la Hammer, société de production britannique fondée en 1934 et qui produit ici ledit long métrage. Le parcours suivi par ce dernier, ainsi que par le jeune notaire Arthur Kipps, convoque un certain nombre de motifs qui ont fait la gloire et la patte du studio : mère vengeresse endeuillée par la disparition de son fils, ravissement des enfants qui resurgissent sous la forme de fantômes faits d’ombre et de boue mêlées, tombe enfouie dans la vase qu’il faut aller chercher au péril de sa vie, village marqué par l’obscurantisme et l’esprit de clocher, dualité (et dualisme) de la connaissance et du rationnel face à l’irrationnel et au surnaturel. L’avantage dont dispose James Watkins est qu’il sait orchestrer un crescendo horrifique – Eden Lake en constitue la preuve irréfutable – de telle sorte qu’il ne précipite en rien le rythme de son récit, procède par petites touches et rappels spiralaires jusqu’au point d’orgue final. Il bénéficie également de l’aura gothique de son acteur de tête, Daniel Radcliffe, qui explore le versant sombre et désemparé de son rôle dans Harry Potter, un versant dans lequel la magie n’est plus féérique mais source de maux, prolongement offert à la noirceur des derniers épisodes de la saga. Son visage blafard, sa redingote noire, sa perspicacité ne sont pas sans évoquer le somptueux Sleepy Hollow de Tim Burton, auquel le présent film emprunte son flashback traumatique et son sens de la composition des plans sur des paysages désolés. Voilà donc une œuvre au carrefour de nombreuses autres mais qui parvient à conjuguer ses influences avec un talent certain : forte de la partition musicale de Marco Beltrami, elle sait divertir, faire frissonner parfois – à l’aide de nombreux sursauts – et imposer, à terme, une identité unie et homogène. Une réussite.
    Aubin C
    Aubin C

    9 abonnés 110 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 mai 2020
    Le réalisateur du traumatisant "Eden Lake" signe avec "La dame en noir" un film d'horreur plus que moyen gavé aux poncifs du genre comme des fantômes d'enfants morts, des objets qui bougent tout seuls ou encore des reflets dans les vitres. Passés ces clichés qui ne font plus peur à personne depuis déjà un bon moment, on se retrouve plongé au cœur d'une histoire de fantôme comme il en existe déjà beaucoup, où les jumpscares sont balancés un peu à tort et à travers, ce qui agace mais surtout rend le film très prévisible, même si certains sont réussis et collent de façon plus "subtiles" avec l'ambiance gothique qu'on nous présente à travers les yeux d'un Daniel Radcliffe sous morphine qui peine à provoquer chez nous une quelconque émotion. De son côté, Ciarán Hinds campe un personnage creux et oubliable, souvent là pour combler les blancs. Cela dit, tout n'est pas à jeter ; certaines scènes sont très réussies (superbe scène d'introduction) et la reconstitution de l'époque victorienne l'est tout autant.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 575 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 mai 2020
    The Woman in Black est un beau et bon film d'horreur. Ce film, qui s'appuie beaucoup plus sur des peurs macabres que sur des scènes de démembrement sanglant m'a définitivement fait frissonner. Cela ressemble à House on Haunted Hill (1959), mélangé avec quelques vieux films de la Hammer des années 60. J'ai été impressionné par ce film, la réalisation est sympa, les vieux décors sont très stylés et le film s'appuie beaucoup sur une ambiance gothique et macabre. Bien qu'il n'y ait pas beaucoup de dialogue, Daniel Radcliffe nous apporte une excellente performance travaillant davantage avec les expressions. Dans l'ensemble, c'est un film qui vous gardera sur le bord de votre siège et c'est l'un des films fantômes les plus effrayants et les plus réussi à être sorti. Et je le conseille fortement...
    Manhattan
    Manhattan

    3 abonnés 21 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 juillet 2022
    Amateurs de sensations fortes, vous serrez sans doute déçus, car trop peu de scènes flippantes pour peu d'intrigue ( le mystère n'est pas assez profond ), malgré des scènes contrôlées, sans qu'on s'y atttende parfois.
    Mais cela ne suffit malheuresement pas pour être terrifié comme un gosse.
    En revanche, ce film nous évite un grand nombre d'effets inutiles du genre.
    Un film qui fonctionne assez bien en général, on est tenu grâce à l'ambiance et la réalisation .
    JustinSvn
    JustinSvn

    7 abonnés 597 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 avril 2020
    Après la franchise Harry Potter, Daniel Radcliffe se lance dans un thriller horrifique. Ce nouveau registre lui convient bien, le résultat est plutôt bon. Le film met en avant une atmosphère froide et noire dans un lieu aux décors somptueux. Le plan esthétique et le côté artistique sont une force, l'image est soignée.
    Adapté d'un roman, La Dame en noir est visuellement beau et s'oriente davantage vers le fantastique que vers l'horreur.
    Lou W
    Lou W

    2 abonnés 105 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 mars 2020
    Film illégitimement long pouvant être sans soucis raccourci. Il serait bien meilleur en moyen métrage.
    8/20
    Robin
    Robin

    3 abonnés 101 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 janvier 2020
    Difficile pour moi de distinguer Daniel Radcliffe de Harry Potter... hélas. Ce rôle lui collera toujours à la peau même s'il s'en sort assez bien dans ce film d'épouvante.
    MaCultureGeek
    MaCultureGeek

    1 082 abonnés 1 224 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 septembre 2019
    Premier film post-Harry Potter pour Daniel Radcliffe, La Dame en noir se présentait comme le genre de série b pour ado des plus inoffensives, notamment à cause de la réputation aujourd'hui bien changée de son acteur principal. Des plus monolithiques, il peine à se réinventer comme prévu et s'enferme encore plus dans son rôle de brun ténébreux héroïque et torturé, au passif forcément grave, terrible, infâme.

    Dans HP, il perdait ses parents; c'est ici sa femme qui fait défaut à sa vie. Lui reste au moins son enfant, source intéressante d'inquiétude dans le dernier tiers du film, et qui donnera lieu à l'une des plus belles scènes de ce film esthétiquement très réussi, profondément mélancolique et proche, par certaines séquences, du contemplatif et de la poésie. Sa dernière image en témoignera mieux que de longs discours, émotionnellement forte et joli retournement des clichés que l'on a sur les personnages interprétés par Radcliffe.

    Très sympathique, La Dame en noir a le grand mérite de ne pas baser son horreur sur ses seuls jumpscares, pourtant très efficaces; trop talentueux pour cela, James Watkins, déjà à l'oeuvre comme réalisateur/scénariste sur l'inoubliable Eden Lake, base toute son atmosphère sur ses décors tous très réussis, variés et superbement filmés. De cette demeure épouvantable, on retiendra un plan très bien rendu à l'écran : on se la remémore sans problème, s'y repère aussi facilement que ce qu'on y connaîtra de frissons récurrents.

    Outre le terrifiant visage apparu sur la vitre en un jumpscare qu'on placera dans les screamers les plus efficaces de ces dix dernières années, la manière qu'il a de façonner la Dame en noir a cela de fascinant qu'il parvient à la rendre autant superbe que répugnante, équivalente aux autres figures du cinéma d'horreur, de celles qu'on considère comme les plus réussies et les plus effrayantes.

    Impressionnante, elle porte littéralement le film sur ses épaules: chacune de ses apparitions, mémorables moments de malaise et d'appréhension, remplacent heureusement l'interprétation trop monolithique d'un Radcliffe jouant trop sur sa jolie image de marque, beau gosse des années victoriennes plus proche d'un Harry Potter version 19ème que du veuf torturé qu'il est censé incarner.

    Ce défaut d'interprétation s'inscrit dans ce qui bloque ce petit film d'épouvante au rang des séries b : beaucoup trop convenu, La Dame en noir, tout aussi efficace et joli soit-il, répète les codes et poncifs du genre déjà populaires depuis plus de cinquante ans sans pour autant se les approprier, les modeler à son image et surprendre son spectateur. Des plus classiques, il aura beau exceller dans ce qu'il fait, jamais on ne le considèrera comme autre chose qu'une redit de ce qu'on aura pu voir ailleurs en plus vieux, en moins moderne et moins numérique.

    C'est évident qu'il aurait gagné à être écrit différemment, à se libérer un peu des carcans obligatoires du film de fantôme lié à un drame ayant lui-même conduit sur une malédiction terrible, pourtant bien mené jusqu'à cette conclusion terrible et très bien tournée, encore que le trop plein de numérique pourra gêner les yeux sensibles.

    Se reposant un peu trop sur ses effets spéciaux numériques, nul doute que l'expérience aurait été absolument différente s'il avait mis le paquet sur son atmosphère visuelle très réussie, s'il était parti encore plus loin dans ses clairs obscurs profonds, sa photographie fantastique, ses lumières magnifiques. Suggérer toujours plus n'ayant jamais fait de mal (fantastique Maison du diable), jouer avec la caméra plutôt qu'avec le numérique s'impose désormais, c'est une certitude, comme le meilleur moyen de marquer un public en quête de véritables sensations fortes, de ceux qui veulent être effrayés et ne pas bondir de leur siège en taper un arrêt cardiaque à chaque agression sonore.

    Des plus classiques, La Dame en noir demeure un petit bijou d'horreur au potentiel énorme jamais suffisamment exploité, que cela concerne l'interprétation de Radliffe ou le travail de réalisation du très marquant Watkins. Choquant, tendu, joliment enrobé et touchant par son écriture, il marque un bon début de carrière d'adulte pour son acteur et s'inscrit dans un retour très appréciable de la superbe maison de Production Hammer (distributeurs des magnifiques Dracula, Frankenstein, Momie et Sherlock Holmes avec, principalement, Peter Cushing et Christopher Lee dirigés par le charismatique Terence Fisher).

    Si l'on sent le style Hammer dans le reproduction des costumes et des décors, dans l'ambiance perdue et fantomatique de ces contrées reculées (les habitants du village rappellent les assassins hystériques de la créature de Frankenstein), La Dame en noir n'égale pas la qualité de leurs chef-d'oeuvres d'épouvante plus proche de la poésie que de l'ultraviolence des années 70, cinéma classique et charmant qu'ils tentaient ici de faire revivre. Si ce premier essai n'est pas des plus fructueux, il demeure un plaisir immense et une jolie pépite de série b, très joliment enrobée et conclue de bien belle manière.

    Une grande surprise !
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