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L'AlsacienParisien
633 abonnés
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3,5
Publiée le 14 mars 2012
J'étais très impatient de découvrir ce film d'épouvante aux apparences gothiques, prenant comme héros Daniel Radcliffe, fraîchement sorti du phénomène Harry Potter. Relançant les rouages des studios de la Hammer, " La dame en noir" a le mérite de savoir effrayer le spectateur par une histoire de fantôme et de maison hantée ; scénario pour le moins traditionnel et peu révolutionnaire pour le genre mais néanmoins efficace. Dans la même lignée que "Les Autres" ou encore "L'orphelinat", le suspense et le mystère planent et tiennent le spectateur en haleine jusqu'à la fin. Le jeu de Daniel Radcliffe reste encore trop coincé et manque parfois de conviction (personnellement, j'ai eu du mal à croire en sa paternité d'un fils de quatre ans...), surtout dans les scènes tendues où il n'a pas l'air plus effrayé que cela. Mais l’atmosphère brumeuse aux couleurs froides installent un cadre qui suffit pour faire peur, sans compter le bon nombre de sursauts provoqués par la mise en route soudaine de trompettes et violons ! Le début prend son temps pour s'installer tandis qu'une fois pénétré dans la maison, tous les effets déjà-vu s’enchaînent et fonctionnent : des apparitions floues en fond, en passant par des portes qui s'ouvrent toutes seules et des chaises qui se balancent, sans compter quelques intrusions subtiles de petits fantômes ; tout ça implantés dans une grande maison abandonnée et lugubre, et accompagné de jouets aux regards de porcelaine peu rassurants... L'effroi est présent par bribe mais suffit pour nous faire passer un bon moment d'épouvante, sans en faire trop ni exagérer. Même si le scénario sent parfois la poussière et que l'acteur principal manque de maturité pour un tel rôle, on laisse cette malédiction nous faire peur avec plaisir, quitte à sortir de la salle avec des images cauchemardesques dans la tête...
Si Daniel Radcliffe n'est guère crédible ( la comparaison avec Ciaran Hinds est énorme), La Dame en noir marque le retour de la Hammer avec les honneurs. Si son scénario est classique,le film reste une prod horrifique sérieuse et maitrisé faite avec soins par des artisans du genre. James Watkins avait déjà prouvé son sérieux, il le confirme tandis que le mythique studio va désormais pouvoir embrayer sur d'autres films.
Premier film en dehors du rôle d'Harry Potter pour l'acteur Daniel Radcliffe. L'acteur a choisis pour ce premier rôle un rôle en contre pied, celui d'un jeune père de famille esseulé en pleine ville hantée par une dame en noir. La dame en noir est un film d'horreur qui joue avec les anciens codes du genre : chaises qui roulent toute seule, apparition d'esprit, portes qui claques... L'ensemble relevé par une très bonne histoire. On peut être déçut par la fin qui déçoit par son manque d'originalité. Ce que l'on pourra retenir c'est l'efficacité de Radcliffe qui prouve qu'en dehors de Poudlard, il maitrise mieux son jeux et il joue juste être déçut par la fin qui déçoit par son manque d'originalité.
Excellente surprise, même si le scénario manque cruellement d'originalité, on peut quand même avouer que le film est flippant. Daniel Radcliffe efface son image d'Harry Potter et montre qu'il est capable de jouer bien d'autre rôle. Cette "Dame En Noir" est donc une belle surprise, un film effrayant, stressant et jubilant à la foi.
Un film d'épouvante de bonne facture qui séduit par son esthétisme et son classicisme même si ce dernier élément est également l'un de ses défauts. La première partie du film est très réussie avec une séquence d'ouverture qui fait froid dans le dos puis un début qui contient ce qu'il faut de mystère pour susciter de la curiosité. Le metteur en scène arrive à insuffler une atmosphère étrange et froide. La photographie et les décors sont très réussies. Les longues séquences dans le manoir tiennent en haleine et James Watkins s'en donne à cœur joie pour délivrer des plans très intéressants et développe notamment un jeu sur les arrières plan qui est particulièrement efficace. L'histoire est prenante mais la résolution du mystère ne se révèle pas particulièrement original ce qui est un des principaux défauts du film. En effet, le dénouement peut s'avérer un peu décevant même si l'on est sous tension jusqu'au bout. Pour son premier rôle post-Harry Potter, Daniel Radcliffe était particulièrement attendu et il réussit une interprétation convaincante, d'autant plus qu'il doit composer avec un personnage un peu lisse. En conclusion, voilà un film qui réussit parfaitement sa mission de procurer de belles frayeurs et si les faiblesses de l'histoire et des personnages ne permettent pas de hisser celui-ci à la hauteur des chefs d'oeuvre du genre ( je pense notamment à « Les Autres » d'Alejandro Amenabar), les amateurs de cinéma d'horreur-fantastique devraient y trouver leur compte.
Ça fonctionne pas mal pour le genre. On sursaute et on a peur pour pas grand chose grâce à un très bon calibrage du son. Mais sinon je trouve le scénario un peu creux et surtout déjà vu. La dame en noir n'a donc pas grand chose d'original en soit mais bon si le seul objectif du film est de faire peur ça marche. Par contre, je suis navré mais je ne suis pas du tout convaincu par Daniel Radcliffe. Je ne le trouve tout simplement pas bon et j'ai bien peur qu'il ne se détache jamais de son étiquette d'Harry Potter.
La Dame en Noir est un film d'horreur, plutôt pas mal, à défaut d'être celui qui révolutionnera le genre. L'histoire tient la route. Sans être révolutionnaire (on y retrouve tout de même beaucoup d'éléments communs à d'autres films d'horreur : la femme folle, les orphelins, les enfants qui disparaissent, …), elle permet de s'intéresser à un semblant d'enquête policière qui rajoute une accroche au film. Daniel Radcliffe est très bien dans le rôle principal et il prouve qu'il sait très bien jouer autre chose que les magiciens à lunette (mais au vu de ses prestations très convaincantes, on se doutait que c'était devenu un bon acteur). Il arrive à être crédible alors qu'il n'a pas vraiment le physique d'un père d'un jeune garçon et d'un veuf. Les autres acteurs sont très convaincants (à commencer par Ciarán Hinds, toujours très juste) Les décors victoriens sont très réussis et constitue un cadre parfait pour une maison hantée. L'épouvante marche (du moins sur moi, elle a bien fonctionner) même si elle se base tout de même un peu sur les jump scare et autres artifices assez faciles. C'est un divertissement convaincant.
Une excellente démonstration de maîtrise technique. Excellents décors, excellente ambiance, excellents éclairages, excellents concepts (les boîtes à musique), excellente bande originale... Mais je ne comprends toujours pas pourquoi on crie à la résurrection de la Hammer. Scénario cliché, personnages cousus de fils blancs, intrigue navrante, de longues séquences qui filment les déplacements du personnage principal, un dénouement ultra-prévisible... La Hammer a besoin de pognon pour se relever, c'est clair, et elle recycle son imagerie le temps de se constituer un budget. Certes, mais ce n'est pas un recyclage qui fait un bon film. Autant Wake Woods était maladroit mais original, autant ce nouveau cru déçoit par la conformité de son histoire. Une révélation dans le lot : Daniel Radcliffe, plutôt à l'aise après les Harry Potter, dont le jeu sobre passe bien même si on est incapable de croire qu'il est veuf tellement il fait jeune...
Adieu Poudlard et ses sombres couloirs hantés de sympathiques et inoffensifs fantômes. Pour ses premiers pas dans la cour des grands, Daniel Radcliffe a décidé d’envoyer du lourd. Contribuer à la renaissance de la Hammer… Fondée fin 1934, la Hammer connaît son âge d’or dans les années 50 et 60 en produisant nombre de Dracula et autres Frankenstein aujourd’hui devenus des classiques. Après plusieurs décennies de vaches maigres, le mythique studio a décidé de se relancer dans la course. Pour cela, elle produit son tout premier film d’horreur. Arthur Kipps, jeune notaire veuf et père de famille, part à la campagne s’occuper de l’héritage d’une des clientes de sa société. Sur place, il ignore les avertissements des habitants et est victime d’une mystérieuse femme habillée de noir qui cherche à se venger. Le réalisateur James Watkins spécialiste ou presque du genre (il réalise Eden Lake en 2008, un survival façon Délivrance où Michael Fassbender et Kelly Reilly en viennent aux mains avec une bande d’ados psychopathes) nous offre une mise en scène digne des plus grands classiques. Avec sa photographie à l’élégance désuète, l’adaptation du roman éponyme de Susan Hill (1983) nous plonge dans une atmosphère bien inquiétante. Il y a un peu de Sleepy Hollow dans ce village reculé et...
Venez découvrir la suite sur mon blog CHRONIQUES D'UNE CINEPHILE : http://chroniquescinephile.blogspot.com/2012/03/la-dame-en-noir-en-avant-premiere.html#more
La Hammer tente un gros coup pour retrouver sa gloire d'antant avec "La dame en noir" mais se révèle trop old school et classique pour y parvenir. On retrouve toute l'imagerie gothique qui a fait la renomé de la firme et du fantastique à tel point que rien de neuf ne vient s'immiser la dedans. Tous les clichés du genre y passe, y compris un scénario très classique à tel point que l'on peut penser que l'ennui va pointer le bout de son nez. Et bien non, Car James Watkins le réalisateur nous offre une mise en scène classique elle aussi mais par un habile travail photographique et de montage parvient à donner de l'effet. C'est du boulot d'artisan bien foutu qui ne se moque pas de son public. Les décors et costumes sont superbes, les images très travaillés, les jeux d'ombres sont beaux. Seul ombre au tableau, un Daniel Radcliff pas très convaincant et qui aura du mal à sortir du rôle de Harry Potter. "La dame en noir à conseillerà tous ceux qui en ont marre des films d'horreurs soporifiques ou aux nostalgiques.
Dès le début on apprécie la très bonne reconstitution d'époque et le jeu des acteurs. Ensuite même si l'angoisse est bien entretenue, c'est long et le film se résume entre course poursuite avec des visions ainsi que des apparitions soudaines accompagnées d'un "bong" qui nous fait sursauter (mouais dans l'esprit du sac en papier que l'on fait exploser derrière le fauteuil de papi endormi). Mais dans la 2ème moitié on commence à avoir quelques éléments, le rythme s'accentue et là on flippe pour de bon, pour finir enfin avec une fin de toute beauté (relative).
Un film épouvante sombre et maléfique. Le scénario ne tombe pas des masses car c'est classique et c'est une histoire de malédiction simple à comprendre. Habitué de le voir dans un seul rôle qui l'a rendu célèbre, Daniel Radcliffe m'a paru pas assez impliqué dans son rôle mais je dois dire qu'il dégage une certaine classe dans ce film. Le reste du casting est moyen. Malgré que le film peut se montrer un tantinet ennuyeux, il y a un côté suspense, sombre et terrifiant qui bien dosé, sans plus ni moins, pour nous faire vivre dans une atmosphère bien glauque. La grande maison est bien choisie par les décors pour nous tenir en haleine. Costumes pas mal dans l'ensemble. Les effets spéciaux sont un bon accompagnement avec les décors pour rendre plus terrifiant le film. Un simple film pour passer un moment tranquille.
On a du mal à voir Daniel Radcliff autrement que dans la peau de Harry Potter. C'est peut-être parce qu'il continue à faire du Harry Potter (avec cette manière bien caractéristique de marcher bizarrement, toujours sur la défensive). Ceci étant, on se rattrape sur l'ambiance mystérieuse et angoissante distillée tout au long du film. Une beauté plastique et gothique comme seule la Hammer sait la mettre en scène. Ce film ne vaut que pour cette ambiance et les quelques moments de peur qui échappent à l'effet soporifique de la mise en scène. On a le temps de s'endormir pour ne plus être surpris, en somme. Et puisque que le scénario ne parvient jamais à s'élever dans l'originalité, on doit faire avec une succession de séquences qui se répètent pendant une heure trente. Très vite, on se retrouve prisonniers de ce bourbier, suivant un Daniel Radcliff aux portes de la dépression. On ne cherche même plus à savoir ce qui se passe (ou ce qui s'est passé) ; on attend la fin puisqu'il y a ce petit truc qui permet de tenir le choc. Sans volume, que se soit en ce qui concerne le scénario, le personnage principale ou encore les quelques autres rôles que l'on peut croiser, la seule chose qui tire son épingle du jeu est cette ambiance si particulière qui rappelle "Le chien des Baskerville" ou encore les Dracula avec Christopher Lee.
Encore un mauvais film d'épouvante. On s'ennuie ferme. Il y a deux ou trois sursauts de suspense, mais ça s'arrête là ! En plus le film s'étire en longueur sur des plans carrément inutiles !
La Dame En Noir : ca faisait longtemps que j'avais pas autant aimer un film d'épouvante , il est parfais :) il est vraiment stressant , les décors sont super , l'histoire est très prenante , et retourne le bide . Quant à Daniel Radcliffe , il nous offre une merveilleuse prestation , on oubli vite Harry Potter moi qui penser que j'aller voir que ça et bien non il joue encore mieux que dans HP Bravo !