Le risque du film était de tomber dans la caricature est bien là c'est éviter.Le jeu des acteurs est effectué tout dans la finesse et la ressemblance avec les vrais acteurs de la vie politique est étonnante.Les coups bas, les petites phrases assassinent rien ne nous est épargné et on se rend compte de la dureté du pouvoir et de l'hypocrisie générale.Une mention spéciale pour polalydes et Bernard lecoq qui sont magnifiques dans leur rôle respectif.Montrer le côté cour de l'élection de Nicolas sarkosy était un pari risqué, ici réussi.Malheureusement le film n'aura plus la même valeur dans quelques années...
Le rythme est bien mené, les dialogues sont croustillants à souhait, Podalydès est tout simplement bluffant de réalisme... Un vrai bon moment de divertissement
Un film sans le moindre intérêt, réalisé avec des semelles de plomb. On n'apprend rien sur Sarkozy (pas même besoin de lire le Canard Enchaîné" pour connaître toutes les situations du film), tout le monde joue faux à force de vouloir imiter les personnages réels (sauf Le Coq, parfait en Chirac), et l'on se demande si l'on regarde "Les Guignols" ou un pseudo docu-fiction de basse télévision. Il aurait fallu un (vrai) réalisateur pour s'éloigner de l'imitation, élargir le thème tout en s'inspirant de la réalité et l'on aurait enfin eu LE film politique français capable de rivaliser avec les américains. Au lieu de ça, un pastiche pitoyable, qui n 'a connu de notoriété que parce qu'il a eu le culot de chatouiller les moustaches du "nain". Ce n'est pas suffisant pour faire du cinéma, ni même un pamphlet.
Parfois on a l'impression de voir les guignols de l'info. mais passer le côté sosie plutôt bien fait d'ailleurs. L'histoire est intéressante, cela donne une image différente du président et des hommes politique.
Impressionnant et bluffant,déjà un grand coups de chapeau aux maquilleuses et perruquiers, les personnages sont très réalistes,surtout celle qui incarne Cécilia (Florence Pernel) et D. De Villepin (Samuel Labarthe) . Denis Podalydès egalement au sommet de son art dans le role de N.Sarkozy. le scénario est très bien construit ainsi que les dialogues, de bonnes répliques qui font rire . l'histoire se passe entre 2002 et 2007 juste sur le personnage de Sarkozy ministre et son équipe sans sortir et diverger sur d'autre parties politiques. j'etais septique au tout début avant de le voir et finalement en voyant la preformance , l'histoire, et la reconstitution, j'ai été bluffé durant tout le film.....
Il est probablement trop tôt pour faire un film sur Sarkozy, de plus on le voit déjà beaucoup dans l'actualité. Le film n'est pas vraiment exceptionnel et on s'attend a tout...
Un film tout à fait interessant, avec une pointe de caricature qui nous bluffe tout de mm en humanisant Sarkosy tout en le magnifiant. Vraiment bluffant!Le jeux des acteurs est parfait. Il est aussi tout à fait intéressant de retrouver des scenes que nous avons pu voir, ainsi, le spectateur se retrouve projetté dans ses souvenirs
Pas mal !! On a passé un bon moment devant un Sarko incroyable de réalisme et j'adore voir comment Cécilia est mise en scène! un homme sans sa femme... finalement .... N'est plus si fort !
Un enchainement de bons gags dignes des Guignols. Les personnages ont bien été travaillés: Denis Podalydès a repris les mêmes tics, Lecoq rend Jacques Chirac attachant. L'histoire reprend surtout la campagne présidentielle, cela reste anecdotique et le fond n'est pas trop traité. Dommage.
Une bonne surprise dans l’ensemble : des acteurs globalement solides (exception faite de Florence Pernel qui campe une Cécilia Sarkozy peu convaincante et de Dominique Besnehard qui se pose comme « crédit fiction » du film, d’où le fait que l’on accroche moyennement lors des passages dans lesquels son personnage est présent), des dialogues bien amenés et des répliques lapidaires à souhait, des séquences qui s’enchaînent bien entre-elles lorsqu’elles concernent le « background politique » de la campagne électorale de 2007, et quelques passages savoureux plutôt bien amenés. Seule ombre au tableau, et non des moindres : la relation Cécilia/Nicolas est rasoire au possible, mal amenée et très mal traitée, c’est un véritable boulet que se traine le film ; et comme cette relation est au centre la moitié des séquences, vous en mangerez un moment de cette relation qui prend une part bien trop importante tout au long du film, alors que plein d’éléments ont été occultés et beaucoup de thèmes ne sont carrément pas abordés. Adeptes du réalisme passez votre chemin, ce film n’est (malheureusement) pas du tout exhaustif (au hasard tous les thèmes de la campagne, comme l’insécurité ou la fiscalité, sont complètement zappés, tout comme la campagne en elle-même, l’opposition de gauche étant complètement inexistante et le film se basant uniquement sur la « petite » bataille chiraquistes-villepinistes/sarkozystes) ; mais les rares thèmes abordés en profondeur sont très bien traités, notamment l’affaire Clearstream. Un dernier mot : la bande-annonce ne rend vraiment pas hommage au film, je m’attendais à trouver un Nicolas Sarkozy énervé, grossier et cuistre, en un mot la véritable petite caricature qui nous est faites depuis quelques années par beaucoup de gauchistes, mais c’est tout le contraire que j’ai trouvé dans ce film qui montre un Nicolas Sarkozy touchant, attendrissant et entier. Denis Podalydès incarne d’ailleurs très bien ce personnage, qui est finalement assez complexe tel qu’on nous le présente dans ce long métrage. Le portrait de Nicolas Sarkozy ne tourne pas à la mauvaise caricature, ce qui est très appréciable.
Un film caricatural, anti-Sarkozy et grand guignol ! Sous couvert d'une reconstitution de la campagne présidentiel (vaguement intéressante), on voit un faux documentaire mou, pas crédible et mal joué. Dommage, le pari était osé.
Une brochette d'acteurs excellents dans l'imitation fidèle, à commencer par Podalydes. Sans oublier Florence Pernelle, "grandiose". Seul acteur exécrable, Dominique Besnehard, comme d'habitude, mais bon le rôle est mineur donc ça ne pollue pas trop. Je m'attendais à être déçu... je ne le suis pas. C'est à mon goût trop long d'un bon quart d'heure, mais la succession de situations est bien maîtrisée, pas trop artificielle.