Note moyenne
2,6
17 titres de presse
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Marianne
A la fin, on félicite sincèrement les acteurs, leur travail remarquable, la façon dont ils ont réussi à s'approcher au plus près de leurs personnages sans sombrer jamais dans l'imitation ou la caricature.
Studio Ciné Live
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Télé 7 Jours
Un récit porté par des acteurs de génie, Denis Podalydès en tête.
Télérama
Denis Podalydès, génial, est au coeur de la métamorphose : grâce à lui, le monstre (politique) devient un homme (blessé). Un vrai personnage de cinéma...
Excessif
Xavier Durringer se contente de décortiquer les rouages d'un coup de maître réglé comme des montagnes russes. Du coup, le problème de "La Conquête" c'est que le film ne nous apprend rien de plus que les journaux ou magazines de l'époque. Fort heureusement, son casting est exemplaire et agit avec un mimétisme sidérant.
La Croix
"La Conquête" ne fait ni dans l'investigation ni dans la charge, mais dans la description des moeurs du pouvoir et leur constante hyper-médiatisation.
Le Monde
Cette incapacité à décoller des faits pour entrer dans le domaine de la fiction tient aussi bien à la mise en scène de "La Conquête", aux effets souvent faciles qu'au montage agité - à l'image du personnage principal - et aux dialogues faits de citations et de reconstitutions. (...) Parce que c'est un acteur d'exception, Denis Podalydès parvient à donner une cohérence à ce florilège de moments politiques et privés et à douer son président d'humanité.
Le Point
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Les Inrockuptibles
Ce n'est sans doute pas un grand film mais il remplit son contrat tacite : dresser un portrait crédible de notre Président.
Positif
"La Conquête" parie sur la performance, l'incarnation de la scène politique entre le sketch et l'air de famille en faisant appel aux meilleures méthodes et acteurs de la télévision, sans penser le cinéma politique français autrement que comme "Les Guignols de l'info", en sourdine.
20 Minutes
Comme on pouvait s'y attendre, il s'agit davantage d'un exercice d'imitation que d'un vrai parti pris dramatique. (...) On n'y apprend rien que l'on ne sache déjà (...). Et si la mise en scène est rythmée (elle colle bien au héros) elle n'est pas toujours subtile.
Charlie Hebdo
"La Conquête" s'en remet intégralement à la performance étonnante de ses acteurs. Politiquement, le film se révèle rien, n'explique rien (...), oscille entre le sitcom et la sage reconstitution d'images vues mille fois à la télévision. Il manque cette réflexion grâce à laquelle Nanni Moretti avait pu contrebalancer la sympathie de Berlusconi dans "Le Caïman".
Le Journal du Dimanche
Ni ironique ni poil à gratter, et surtout sans point de vue. (...) Denis Podalydès, dont la composition justifie une raison de voir le film, provoque néanmoins une empathie inattendue envers Nicolas Sarkozy.
Cahiers du Cinéma
Il n'y a pas de quoi rire devant cette sinistre farce (...). Pas un mot n'est prononcé sur les dommages collatéraux, pas une minute consacrée à autre chose que ce à quoi s'emploie "La Conquête" : montrer que le président est un choupinet sous l'armure.
Critikat.com
Dans le domaine de la désacralisation de la fonction, l'actuel président a fait le boulot lui-même et depuis un bon moment, sans prendre la peine d'attendre ce film atone.
Les Inrockuptibles
D'un côté, la dérisoire comédie sarcastique du pouvoir, des petites combines, des phrases vachardes que le film utilise à son compte comme des punchlines ponctuant la fin d'une scène et surtout le numéro embarrassant d'acteurs réduits à imiter des marionnettes (celles des Guignols voire du Bébête Show). De l'autre, un sérieux invraisemblable, plus du tout de sarcasmes pour raconter la fin d'un couple finalement comme tout le monde (tromperies, blessures, gros chagrin).
Metro
Une timide comédie sur le pouvoir qui ne nous apprend rien sur Sarkozy.