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Un visiteur
5,0
Publiée le 30 mai 2014
Je viens de visionner un superbe film Canadien dans le genre comédie dramatique et j'ai été agréablement surpris par sa qualité, l'émotion et la sensibilité sont bien au rendez-vous. Un film humain et aussi une vision sur la différence des cultures et de certains a priori. Très finement interprété par Mohamed Fellag (Monsieur Lazhar), c'est du très bon cinéma émotion, surtout sans en rajouter une couche pour en exagérer la véridique de interprétation des acteurs de cette belle histoire émouvante de ce très beau film, que je conseille vivement. J'ai adoré et le reverrai encore, cela est certain. Je le note 5 belles étoiles sur 5.
Touchant, parle de deux cultures totalement différentes, aborde la mort de mille et une manières auprès de personnes (quelles soient adultes ou enfants). Cherche à exprimer quelque chose, mais l'acteur a du mal à faire passer le message.
Film très touchant qui ma fait passer du rire au larmes. Rire pour certaines répliques avec l'accent canadien, pour la scène de spoiler: "drague entre les deux professeurs, pour les 50 fautes d'orthographes... Larmes pour toutes les émotions que les enfants éprouvent et celles de Bachir aussi ou encore celles de Simon. spoiler: Le choc de la vision du pendu dans la salle de classe, la solitude de l'enfant face au choc et l'inéficacité de la psy qui veut mettre tout les enfants dans un "moule" pour mieux les faire "digérer" cet incident. Tout ses enfants ont des caractères et des personnalités différentes. Le réalisateur à pris "soin" du spectateur en incluant dans son scénario des gags entre chaque scène d'une émotions extrême. Fellag est très très touchant juste et très psychologue. Il était touchant aussi quand il faisait de maladresses sur la culture des enfants. Quand on arrive dans un pays pour commencer une nouvelle vie c'est très dur on oublie rien et on est très loin de sa culture et de ses origines. Et toute cette accumulation d'évènements fait que c'est encore plus dur.
Que dire sur ce film qui est un des plus nul que j'ai vu de toute ma vie, pourtant j'en ai vu beaucoup. Alors l'accent des personnages même si je sais on est a Montréal je n'ai rien compris au film avant cet accent a la ***. Heureusement j'ai été obliger d'aller le voir vu que c'était avec mon collège en classe de 3eme. Film formellement interdit aux gens qui ont + de 3ans.
Un film intelligent, qui traite d'un sujet peu commun avec une grande finesse et beaucoup de sensibilité. Un film qui fait réfléchir, qui pointe du doigt les difficultés de l'éducation dans les moments durs que la vie réserve, mais également qui brosse un portrait intéressant de l'évolution des méthodes pédagogiques sans en dénigrer aucune. Bref, j'ai passé une belle soirée.
J'ai par ailleurs vraiment aimé le jeu des acteurs, de tous les acteurs, mais surtout des enfants qui sont épatants de crédibilité.
Attention toutefois à ne pas confondre les genres : comédie dramatique ne veut pas dire comédie... même si l'on sourit à plusieurs reprises et de bon coeur, on est tout de même bien plus souvent ému qu'hilare.
Je n'ai pas du comprendre, car franchement je ne vois pas l'interet du film. Des petites histoires qui s'entremellent, mais rien ne ressort du film. Et on ne voit pas l'interet de la demande de naturalisation. J'ai bien failli m'endormir (j'avais meme envie de partir). Un mélange de bons sentiments mais aucun point de vue, et aucune conclusion. Seul bon point, le jeu des enfants.
Un film venu de nos amis les canadiens et bien c'est une belle offrande qu'il nous font. Passant outre, leurs accents ou parfois on a du mal à comprendre exactement ce qu'ils racontent, "Monsieur Lazhar" est un huit-clos dans une école primaire ou une des maîtresses s'est donné la mort dans une des classes et découvert par un élève. C'est dans ce contexte, que Monsieur Lazhar, "professeur" à Alger la remplace et devra réussir à rendre un peu de l'enfance perdu chez les élèves. Là ou Philippe Falardeau réussi et ne tombe pas dans la facilité, est qu'il ne fait de Monsieur Lazhar, un héros mais un homme ordinaire avec ses propres problèmes (peu commun bien-sûr) et qui avec ses moyens enseigner à ses nouveaux élèves. Mohamed Fellag se retrouve en face de belles pépites d'acteurs que sont ces enfants et plus particulièrement Sophie Nélisse et Emilien Neron, de vrais petits talents d'acteurs. A conseiller pour un film venu du grand froid et réchauffe notre petit coeur d'enfant !!
Très bon film , émouvant, doux. Fellag est excellent. J'ai eu l impression de revivre mes années d'école primaire avec ce professeur qui aime tellement les enfants et son métier.
Le début fut difficile mais une fois dans le film, c'est bien. L'acteur Principal est un très bon acteur, au français sans faute qu'il fait bon écouter et les enfants jouent aussi très bien. C'est poignant.
Ce drame saisissant apporte son lot de douceur, telle une poésie en faveurs de la vie ! C'est sans artifice que Monsieur Lazhar nous plonge en émotion dans cette classe, boulversée par une innocence à jamais perdue.
un merveilleux film avec de très bons acteurs et un Fellag magistral ! une histoire belle et émouvante qui tourne autour de la relation d'un prof immigré avec ses élèves, ses collègues avec pour chacun des protagonistes un fardeau pesant, ses tourments qui le rendent intéressant! il s'agit d'une fable touchante qui remue en nous tant d'émotions, qui traite tant de sujets comme l'intégration, l'éducation... à ne pas rater!
L'histoire se passe dans une petite école québécoise qui vient de vivre un drame. Heureusement que monsieur Lazhar (ou super Bachir) arrive pour tout apaiser comme un magicien. Au passage, il faut dire que Monsieur Lazhar vient de perdre toute sa famille dans des conditions atroces mais dans l'histoire ça passe presque pour un détail. J'ai trouvé les sujets abordés (spoiler: le suicide expliqué aux enfants, les limites de la relation élèves-enseignants ) très bien soignés, quant au drame de Bachir (qui est le drame de tout un pays), il a eu un traitement assez timide. Je donnerai une étoile à Fellag (magistral) et au petit Emilien Néron qui m'a fait verser une chaude larme dans l'une des scènes finales, mais l'ensemble ne restera pas longtemps dans ma mémoire.