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    La Chevauchée fantastique
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    haciol
    haciol

    7 abonnés 264 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 janvier 2008
    Un beau film,pas exeptionel mais très plaisant...
    loulou451
    loulou451

    108 abonnés 1 503 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 février 2012
    Un tournant dans la carrière de Ford et de Wayne. Car c'est avec la "Chevauchée fantastique" que John Wayne atteint définitivement le rang de star et de plus grand "cowboy" de l'histoire du cinéma américain. Tourné la même année qu' "Autant en emporte le vent" (qui lui ravira les statuettes des oscars), la "Chevauchée fantastique" n'en reste pas moins un film majeur du traditionnel western américain. Il est vrai que le film a de quoi séduire. Par son scénario tout d'abord qui vient dépoussiérer le genre : une prostituée au grand cœur tombe amoureuse d'un repris de justice ayant soif de vengeance, un joueur amoureux d'une femme mariée et enceinte, un médecin alcoolique épris de justice et de liberté, de conducteur maladroit et un shérif un peu borné, un banquier malhonnête et peureux, le tout rassemblé dans une caravane traversant les plaines désertiques de Monument Valley, dans le Nouveau-Mexique et poursuivie par une horde d'indiens commandés par le mythique Géronimo. excusez du peu ! Ajoutez à cela, un règlement de compte final digne des plus grands duels du cinéma (incontournable avec "L'homme qui tua Liberty Valence") et vous avez sous les yeux l'un des plus grands monuments du western américain. Repris, remis à la sauce du jour, parodié parfois, "la Chevauchée fantastique" demeure l'archétype même du western de Ford, décalé, sombre, épique, déconcertant parfois, où les méchants ne sont pas vraiment des méchants, où les hommes bons restent victimes de leurs faiblesses...
    Tupois Blagueur
    Tupois Blagueur

    64 abonnés 1 162 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 6 septembre 2015
    Cela a beau être un classique du western, il n'en reste pas moins que "La Chevauchée fantastique" est vraiment décevant. Trop d'attentes de ma part ? Peut-être. Une réputation surfaite ? Sans aucun doute. Comment élever ce film sans saveur au rang de film culte, quand celui-ci, sensé durer environ 90 minutes, en paraît bien plus ? La faute n'est pas à rejeter sur une seule personne, tout le monde est fautif dans l'histoire : le script est plat, ennuyeux pendant les deux premiers tiers du long-métrage, et les dialogues sont creux et sans substance, bref les scénaristes se sont plantés. John Ford n'a pas arrangé les choses avec sa mise en scène passive et trop sobre pour compenser la vacuité du fond. Et les acteurs, que puis-je en dire ? Ils sont mous, mauvais et peu charismatiques, excepté Claire Trevor et Thomas Mitchell, qui sont les deux seuls à tirer leur épingle du jeu et à faire montre d'un véritable talent. Heureusement que le dernier tiers, plus généreux en action et plus avare en dialogues, sauve le film du naufrage complet grâce à une attaque de diligence bien menée. Toutefois c'est trop peu pour un film qui se prétend être un classique. Mauvais.
    Barry.L
    Barry.L

    20 abonnés 136 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 mars 2020
    ‘’Stagecoach’’ est probablement l’un des films les plus importants de la première moitié du XXème siècle. Grâce à lui, deux hommes vont accéder à la notoriété. Simple aphorisme pour dire que ces deux hommes deviendront deux monstres sacrés du cinéma, deux myhes qui à eux seuls sont des incarnations vivantes des Etats-Unis. Ces hommes, ceux sont bien évidemment l’acteur John Wayne et le réalisateur John Ford (on peut aussi ajouter le grand scénariste complice du réalisateur Dudley Nichols). Le film marqua un tournant en relançant la mode du western, genre qui sera au coeur de la plus belle période de l’histoire du cinéma : l’âge d’or hollywoodien des années 40-50.

    Les temps sont troublés : le chef apache Geronimo est sur le sentier de la guerre. Plusieurs personnes embarquent à bord d’une diligence pour un périple au coeur de l’ouest sauvage : une prostituée, un docteur alcoolique, un représentant en whisky, une lady, un joueur de poker professionnel, un banquier, un shérif et le conducteur. Ils sont rejoints par Ringo Kid, un hors-la-loi évadé de prison, qui cherchera à venger la mort de son père et de son frère.

    Il y a toujours eu chez les cinéphiles américains un duel acharné entre les fans de John Ford et les fans d’Howard Hawks. Aujourd’hui encore, on trouve des chapelles de cinéphiles qui défendent soit l’un soit l’autre. Entre un Clint Eastwood digne héritier de John Ford (comment ne pas penser à ce dernier en voyant le beau ‘’Josey Wales’’?) et un Tarantino, grand admirateur de Howard Hawks, mais peu intelligent dès qu’il critique violemment Ford, on comprend que ce duel n’est pas prêt de s’éteindre. Cela est d’autant plus incongru qu’accepter de défendre l’un des deux réalisateurs signifierait ne pas aimer l’autre ? Comment ne pas aimer Hawks ? Comment ne pas aimer Ford ? Comment rejeter ce cinéma si attachant, si amical, si profond, si humaniste ? ‘’Stagecoach’’ est donc le film qui a permis à Ford de s’imposer comme l’un des réalisateurs majeurs de cette époque. Il réalise déjà un chef-d’oeuvre, bien avant les piliers que sont ‘’La prisonnière du désert’’ (1956) et ‘’L’homme qui tua Liberty Valance’’. Dès ce film, tout est parfait, Ford fait du Ford et il a raison tant son cinéma est délicieux. Qu’est ce que la magie John Ford ? Déjà, il est difficile de ne pas apprécier ce réalisateur tant il est capable d’offrir un cinéma fédérateur, qui peut satisfaire tout le monde. Il ne s’agit pas tellement d’alterner des films de différents genres (comme sait si bien le faire Howard Hawks) mais plutôt d’alterner les registres au sein du même film. ‘’Stagecoach’’ n’échappe pas à cela tant il offre une richesse et un panel d’émotions extrêmement varié, et ce malgré sa courte durée (1h30) : on rigole, on jubile, on frissonne, on pleure… sans que cela ne fasse forcer (l’efficacité américaine dans toute sa splendeur). Donc, qu’est-ce que ‘’Stagecoach’’ ? Abordons d’abord l’action du film. Ford a toujours été un immense maître dès qu’il s’agissait de filmer l’action, même si ce composant est au demeurant très négligeable dans son style. Malgré tout, si Ford est un réalisateur qui s’intéresse d’abord à l’humain, tous ses films s’envolent dans les airs grâce à cet incroyable souffle épique qui traverse toute sa carrière. Popularisant la Monument Valley (le John Ford point), le réalisateur se libère d’une certaine artificialité hollywoodienne grâce à ces somptueux paysages et décors naturels. Ajoutez que l’action est superbement découpée avec cette simplicité qui fait la force du réalisateur (un simple et brusque mouvement caméra pour révéler la présence des Indiens). Mais cet élément ne peut occuper plus longtemps l’écran avec Ford (souvent, ces films n’offrent qu’un seul grand moment de bravoure). L’action est réduite à son stricte minimum : par exemple, Ford ne filme pas le duel final (au contraire d’un Fred Zinnemann dans ‘’Le train sifflera trois fois’’). Ford aime avant tout s’intéresser à des microcosmes, à de petites sociétés, à des ‘’milieux’’ et à ses habitants. Qu’il s’intéresse à la cavalerie, aux Irlandais, aux Indiens, Ford prend toujours son temps pour décrire des tranches de vie. Bon, ok on est pas dans du cinéma social français des années 2000. pourtant, Ford aime se pencher sur le quotidien des gens, quitte à mettre l’intrigue en suspens (on le verra avec ‘’My darling Clementine’’ où l’intrigue et l’action ne commencent… que dans le dernier quart d’heure du film!). Au sein de ce petit monde, Ford aime peindre des portraits généreux d’hommes et de femmes attachants (bons comme mauvais). Dans ‘’Stagecoach’’, Ford s’intéresse aux membres de la diligence dans le but de faire une typologie des profiles américains de cette époque. Cela permet au metteur en scène (en 1h 30 ! il faut insister!) de faire de ‘’Stagecoach’’ un film incroyablement consistant grâce à ses personnages. Chaque personnage sent le passé,le vécu ; chacun est exploré, profond... Souvent considéré comme une adaptation de la nouvelle ‘’Boule de suif’’ de Maupassant, ‘’Stagecoach’’ semble opposer de façon binaire les aisés aux ‘’moins que rien’’. La lady, le banquier et le joueur de poker vont évidemment snober la prostituée, le bandit et le médecin alcoolique. Mais Ford n’est pas aussi pessimiste que Maupassant : ces figures qui peuplent son cinéma sont capables de progrès et d’évoluer. La lady et le joueur de poker le comprendront et sauront reconnaître ces plus modestes personnes à leur juste valeur. Quant au banquier, c’est une figure entièrement condamnable. Mais l’habilité de Ford n’est pas d’entrer entièrement dans un bête rapport riches/ pauvres. Le reste de la diligence est là pour éviter que tous les héros ne soient réduits à leur condition sociale. Entre un shérif lucide et héroïque que Dudley Nichols a l’intelligence de ne pas en faire son personnage principal, un chef de diligence marié à une Mexicaine, on retient aussi le très curieux représentant de whisky. Il s’agit de Monsieur Tout le Monde avec des qualités que tout le monde peuvent avoir et des défauts que tout le monde peuvent avoir également. Ni mauvais, ni héroïque, il ne participe jamais à l’action mais enrichit la nature des personnages présentés ‘’Stagecoach’’.

    Mais assez parler de Ford. ‘’Stagecoach’’ est grand et important pour le cinéma. Il a révélé Ford mais aussi John Wayne. Dans ce film, Wayne est déjà fidèle à lui-même : s’il interprète un voyou, Ringo est brave, courageux, juste et aussi en quête de vengeance. Pourtant… Wayne n’est pas encore ce rouleau compresseur qui écrase tout ce qui l’entoure. Peut-être parce qu’il n’est qu’un des nombreux personnages principaux du film, Wayne dans le film n’est qu’un des excellents acteurs qui peuplent ce film. On retiendra notamment Thomas Mitchell (oscarisé à juste titre pour ce rôle). Etonnant, Mitchell incarne avec justesse ce rôle pas forcément facile à jouer sans tomber dans la caricature. Il fallait parvenir à passer de clown alcoolique (le comique de service) à noble docteur. Thomas Mitchell le fait et on se souviendra bien davantage du personnage du docteur que de Ringo. John Wayne n’est donc pas encore ce qu’il sera plus tard.

    Difficile donc de rejeter John Ford. Comment mettre de côté non pas un simple réalisateur, mais une légende ? Humaniste, chaleureux et attachant, le cinéma et l’homme qu’incarnait John Ford n’ont sans doute jamais eu d’équivalent dans le reste de l’histoire du cinéma. Il restera à jamais le réalisateur d’une certaine forme d’optimisme et d’une époque : celle de l’Ouest et de ses peuples (cavalerie, cow-boy, immigrés, indiens…). Jamais comédie humaine au cinéma ne fut aussi vivante.
    Flavien Poncet
    Flavien Poncet

    212 abonnés 1 024 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 novembre 2007
    John Ford et les westerns, éternel relation tantôt fructueuse («Cheyenne Autumn» (USA, 1964)) tantôt inféconde («WagonMaster» (USA, 1950)). Au sein des années 30 où le western est dévalorisé, où Ford lui-même se consacre davantage à des films noirs, Dudley Nichols, scénariste du film, et Ford décident de réhabiliter le genre en adaptant, très librement donc officieusement, une nouvelle de Maupassant : «Boule de suif». «Stagecoach» (USA, 1939) illustre la renaissance du western par une dynamisation de ses codes. Finis les décors froids de studios et les réalisation plan-plan qui n'élevaient le western pas plus haut que le fantasme puéril du sherif et du cow-boy, «Stagecoach» et sa photographie brumeuse et incandescente plonge l'oeuvre dans le bronze et se donne des airs de gravure. Se sont surtout les gros-plans qui auréolent les visages et les nimbes d'une grâce photogénique charmante. Mélancolie que celle d'un cinéma en noir et blanc dont la seule limpidité des traits nous font rêver. Il s'agit de cinéma de divertissement sans nul doute, encore qu'en cinéaste-historien des Etats-Unis, Ford consigne la révolte de Geronimo. La structure du film possède d'ailleurs une intéressante imbrication entre la lutte national et la lutte individuelle. Deux dangers menacent le film : celui de l'attaque des Apaches et celui de Luke Plummer, ennemi du jeune Rinog Kid (John Wayne). Elles seront mentionnés en parallèle mais résolues indépendamment. Western renouvelé, harmonie des lumières, conflits doubles, les ingrédients devenus classiques du film de divertissement semblent réunis dans ce «road-movie». C'est sans compter son étrange singularité contextuelle. Le film est un voyage (à l'instar de bons nombres de films fordiens), un voyage où se côtoient différentes classes sociales et différents sexes. Le film n'a jamais la prétention d'offrir l'échantillon de la société américaine mais la poignée qui est saisis là suffit à fournir les traits esquissés d'une Amérique adolescente.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 20 février 2016
    Grand classique du western, La chevauchée fantastique de John Ford nous fait suivre plusieurs personnages poursuivis par des Apaches. Tous ces personnages sont généralement attachants, bien écrits et bien interprétés. La mise en scène parvient à être dynamique et à rendre plusieurs scènes épiques, même si la très bonne BO aide pas mal également.
    Je n'ai pas grand chose de plus à en dire : c'est un bon film, bien fichu et plaisant à suivre.
    real-disciple
    real-disciple

    68 abonnés 1 022 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 novembre 2012
    La chevauchée fantastique est une grande déception, elle aura été ennuyeuse pour moi. Une seule séquence retiendra mon attention : l'attaque des Indiens. Le reste n'est que parlotte (pire que Hawks), relations sociales vraiment inintéressantes surtout pour arriver au final au message niais que la prostituée n'est finalement pas mauvaise et qu'il ne faut pas juger les gens trop vite sur leur rang social...On a connu Ford en meilleur forme concernant la réalisation également. C'est plutôt sobre. John Wayne campe le rôle du solitaire au grand coeur qui s'est juré de se venger quitte à passer par la case prison. Il faut avouer qu'il est charismatique. Je redis, le vrai problème c'est que pendant une bonne heure (soit les 3/4 du film) il ne se passe rien de passionnant si ce n'est un début de relation amoureuse, la naissance d'un bébé, un rigolo de service bien lourd, des Indiens qu'on ne verra finalement que trop peu. Bref, on s'attendait à plus d'aventures, quel dommage.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 020 abonnés 4 093 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 mars 2012
    Transposer une nouvelle de Guy de Maupassant dans un western était sans doute un pari osé mais tenté avec succès par John Ford en 1939. Mais si on veut bien se rappeler que la diligence était un des symboles du western on se dit que le rapprochement n'était pas si incongru. Toujours est-il que cette équipée est composée de personnages pittoresques dont on se souvient encore aujourd'hui et qui furent maintes fois repris par la suite. En premier lieu le médecin alcoolique joué par l'inégalable Thomas Mitchell toujours prêt à se jeter sur un fond de bouteille et qui passe son temps à vider les fioles de démonstration du vendeur de whisky poltron incarné par Donald Meek. La scène mémorable où Thomas Mitchell doit dessaouler pour mettre au monde l'enfant de la femme partie à la rencontre de son mari, officier en mission lui vaudra l'oscar du meilleur second rôle. Le filandreux John Carradine personnifie à merveille ce dandy, joueur invétéré qui est sans doute l'unique de la bande qui aurait eu sa place dans le fiacre de Maupassant. Un acteur précieux qui n'a sans doute pas eu la reconnaissance qu'il méritait de son vivant malgré une filmographie forte de 250 pièces. Au sein de cet équipage chamarré George Bancroft incarne l'autorité du shérif bourru et entêté chargé de ramener en cellule le bandit Ringo Kid. Claire Trevor et John Wayne respectivement la prostituée au grand cœur (allusion directe à "Boule de Suif") et le renégat repenti, Ringo Kid, vont unir leurs deux destins chaotiques par cette promesse bien connue de l'imaginaire américain symbolisée par le ranch dans la vallée où la famille pourra prospérer. Le tout est parfois narré avec une certaine naïveté qui rajoute encore au charme du film et on eput constater que John Wayne avait encore des progrès à faire pour asseoir son jeu. John Ford qui l'emploiera à moult reprises se chargera avec bonheur de cette formation. En effet grâce à ce coup d'essai réussi les deux hommes vont accéder à la célébrité et poursuivre pendant plus de 25 ans une fructueuse collaboration. Pour ce qui est de la maîtrise de la caméra notamment lors des scènes d'action, Ford n'est pas encore à son apogée et la différence avec "Le massacre de Fort Apache" de 1948 montre tout le travail accompli en moins de dix ans.
    Buzz063
    Buzz063

    63 abonnés 919 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 17 juillet 2012
    Western sans doute le plus célèbre réalisé par John Ford avec la Prisonnière du désert, La Chevauchée fantastique marque également la première collaboration entre le réalisateur et John Wayne, qui deviendra une star grâce au succès du film.
    Si la bonne partie du film se déroule dans l’espace exigu de la diligence, Ford exploite tout de même les fabuleux décors naturels de Monument Valley qu’il refilmera de nombreuses fois par la suite. Le scénario est une adaptation de la nouvelle Boule de suif de Maupassant dont il reprend l’idée d’un groupe d’individus de milieux très différents qui doivent coexister par la force des événements.
    Ce principe permet à Ford de composer le portrait de personnages parfois iconiques (as de la gâchette, joueur professionnel) parfois hauts en couleurs (docteur porté sur la bouteille) et surtout de pouvoir varier les tons régulièrement (action pur, drame, comédie, romantisme).
    Le voyage de cette diligence et de ses occupants et si agréable que la conclusion du film, qui voit Wayne régler ses comptes dans un duel, fait presque l’effet d’être de trop, d’autant que cette fin est précédée du véritable climax du film, une attaque spectaculaire de la diligence lancée à plein galop par les indiens.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 5 avril 2009
    Un très grand western de John Ford
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 4 juin 2015
    Un bon western qui est peut être un peu long au début mais qui tient en haleine. John Wayne est très bon et le scénario est bien mené de bout en bout et comme les anciens films de John Ford sont rares on ne peut pas rater celui ci.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    935 abonnés 4 855 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 septembre 2015
    En terme de chevauchée, on peut être déçu.....sauf à attendre la dernière demi-heure. L'essentiel du film se situe dans les auberges ou les huis-clos se succèdent. C'est ce qui fait la force du film. C'est assez théâtral, très typé au niveau des personnages et l'histoire (tirée d'une nouvelle de Maupassant, mais arrangée) est assez dense et intéressante psychologiquement. On ne peut pas dire que c'est un western classique car les séquences cow-boys et indiens sont rares mais c'est davantage une analyse des comportements humains au sein de lieux emblématiques du western et des codes qu'on aime y retrouver: le sens du sacrifice, la droiture, l'aventure évidemment, les grands espaces et l'amour toujours...
    Ti Nou
    Ti Nou

    417 abonnés 3 380 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 avril 2019
    Le pitch est simple : une diligence poursuit sa route sur un chemin semé d’embûches. Malheureusement les personnages qui la remplissent sont d’horribles caricatures surjouées au maximum. Impossible donc d’avoir un quelconque intérêt pour le sort qui pourrait leur être réservé malgré l’ampleur de certaines séquences.
    Charlotte28
    Charlotte28

    94 abonnés 1 755 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 octobre 2022
    Mêlant les différents attendus d'un western, John Ford y ajoute une galerie de personnages nettement dessinés prouvant l'inanité du manichéisme. Alternant le huis clos d'une diligence et les grands espaces de l'Ouest américain où se trame l'attaque des Indiens, la mise en scène demeure dynamique, soutenue par d'efficaces dialogues ainsi qu'un excellent casting mené par un jeune John Wayne. Un incontournable du genre, entre topos et innovation!
    NeoLain
    NeoLain

    4 317 abonnés 4 741 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 avril 2014
    J'ai lu que certains reprochent pour ceux qui on vu le film, comme quoi il est ennuyeux, trop de bla bla et cause également de peu d'actions, peu de moment ou le tout boost certes, cependant une des rares scènes d'actions se profilant, je parle au moment ou les indiens cavalent comme des malades pour rattraper la diligence est d'une maitrise excellente, je vous rappelle que le film est de 1939, pour l'époque scusez du peu, j'ai accroché à fond. Ca tire, ça flèche à tout va, j'ai eu la sensation de me retrouver devant une des plus grandes scènes d'action pur et quasi non-stop comme dans Mad Max 2. Le final est tout aussi intense mais dans une subtilité plus appuyer. J'aurais voulu tout de même que le duel est plus d'impact encore sur les dernières secondes. Le tout de manque pas de romance, une romance légère tout fois et c'est pas pour être désagréable. Je souligne que je suis pas près d'oublier la première apparition de John Wayne, John Ford le film comme un super-héros et donne déjà "la" et "les" postures d'un immense acteur que l'on retrouvera dans tant de films.
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