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Shirokuromelt
25 abonnés
356 critiques
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3,5
Publiée le 17 décembre 2019
Grindhouse, voilà à quoi l'atmosphère de ce film m'a fait penser (rien à voir avec tarantino)
Un très bon film d'horreur, possiblement inspiré de l'oeuvre de ce grand malade de Jeffrey Dahmer, de sorte que l'on se trouve face à quelque chose de vraisemblable, aussi fou que cela puisse paraître (à l'exception toutefois du spoiler: cannibalisme des zombies de la cave , encore que...). Le film propose d'ailleurs une atmosphère sobre et sérieuse, dense sans être pesante ni austère (comme pouvait l'être l'indigeste Love Hunters), ni obscène en ce qui concerne l'horreur: le gore y est finalement peu présent, plus suggéré que montré, et c'est tant mieux. L'acting (surtout Lola) est très bon. C'est tout simplement du bon cinéma de genre par quelqu'un qui connaît, respecte et maitrise ce registre.
A noter que le film suivant de Sean Byrne était lui aussi à classer parmi les réalisations originales et atypiques.
Je suis mort de rire, en regardant la filmographie du réalisateur j'ai vu que c'était lui qui avait réalisé The Secret, une sorte de docu navet où on t'explique "la loi de l'attraction", si tu veux un truc il faut juste y penser très fort... Je n'étais pas préparé...
Et je crois que je n'étais pas préparé à voir the loved ones. Je pensais voir une sorte de film d'horreur pour ados où en fait c'est plus drôle que terrible. Surtout que le synopsis laissait réellement présager une connerie pour ados à savoir une fille blessée dans son amour propre car rejetée par un gars qui se met à vouloir se venger...
En fait non, en fait c'est un peu quand même un torture porn, gentillet hein, mais quand même. Disons que le film va beaucoup plus loin que ce à quoi je m'attendais. Je suis sacrément surpris.
Alors, le problème du film c'est que ce n'est pas très bien réalisé. Disons que jamais ce n'est très beau ou très inspiré et c'est un problème. Parce qu'enchaîner des scènes de torture assez crades et qui ont réussi, avec une utilisation du hors champ qui arrive à être parfois assez habile, à être un peu forte, c'est facile. Mais globalement le film est assez fade en terme d'esthétique... Disons que c'est tourné sans génie. On filme ce qu'il faut filmer, mais c'est tout...
On va dire que ça manque un peu de folie. C'est un film correctement exécuté, mais sans audace...
Néanmoins, je dirais que j'ai malgré tout pris un peu de plaisir à voir cette débauche de trucs malsains, même si on aurait pu aller encore plus loin. Mais surtout il y a eu la surprise de me retrouver face à un truc plus radical que ce à quoi je m'attendais. Malheureusement au niveau de l'histoire ça ne va pas plus loin que le concept de départ et on est loin de révolutionner le genre ou de piéger le spectateur en lui apportant quelque chose d'imprévisible. Disons que le film a un cahier des charges et qu'il le remplit. C'est tout.
Je ne pourrais pas dire que j'ai trouvé ça fondamentalement mauvais... mais c'est juste un cahier des charges.
Je dirais juste qu'avoir un héros aussi antipathique c'était pas gagné... parce que l'ados rebelle qui se scarifie et qui écoute du metal tout en tirant la tête, c'est plus une caricature (même si c'est justifié par l'introduction du film) qu'un réel personnage auquel on peut s'attacher. Donc en fait sa survie ou non, on s'en fout un peu. Même si, lorsqu'il se met à donner lui-même des coups, c'est assez jouissif... Œil pour œil, dent pour dent...
Bref, une production horrifique qui ne sort pas fondamentalement du lot, mais qui se regarde... sans plus, sans moins...
Un film de torture aux ambitions limitées. L'intérêt de The loved ones est se limite à des scènes particulièrement gores dont l'impact visuel est réel mais à quoi bon puisqu'il n'y a aucune mise en perspective ni aucun message. D'autant que le crade ne crée aucune peur, juste du dégoût. Dommage, l'idée des loved ones était bonne et nos deux tarés amoureux de la perceuse, plutôt sympathiques. D'ailleurs Lola, l'héroïne m'a rappelé la chanson éponyme de Noir Désir. Les paroles semblent avoir été écrites pour ce film c'est assez incroyable : She really wants to take me [...] I've seen the door And the walls cry [...] I will find the outside / I will try to run / [...] Home again / Sing that song of pain / Oh I try to kill her / [...] All night, spitting blood and soul / You can scream it, Lola, / Just go away.
Je me suis plongé dans ce film après avoir découvert The Devil’s Candy un autre film de Sean Byrne que j’avais trouvais excellent. Son premier métrage mélange film de psychopathe et torture porn avec film d’ado sur fond de bal de lycée. Un mélange qui rend son film assez unique alors qu’il est somme toute assez classique dans tout ses aspects. Il a quelques défauts de maîtrise notamment au niveau du rythme et il manque quelques surprises pour être plus marquant mais c’est tout de même un film d’horreur de bonne facture.
Avis Bref ; The loved Ones, le film parfait pour la saint Valentin je trouve ! ^^ Ce film et tous bonnement parfait surtout tous les points de vue (à une scène prêt, celle de la fin en voiture qui pour moi est assez moche ..). Ont as des personnages fous et évidement une pauvre victime pour qui ont as vraiment de la peine. L'histoire et les jeux d'acteurs nous embarque vite au récit. Enfin bref, un excellent film que je me lasse vraiment pas de revoir !
Mieux avoir le coeur bien accroché pour apprécier ce film, les nombreuses scènes gores sont du plus bel effet... Le pauvre Brent et la tortionnaire Lola sont parfaitement bien interprétés, le scénario nous propose une histoire bien glauque, parsemée ça et là d'humour, de quelques clichés, de quelques facilités, mais dans l'ensemble, on passe un "bon" moment...
L'Australie : la patrie de Mad Max et de Wolf Creek. Un territoire grand comme 14 fois la France qui semble inspirer les réalisateurs locaux lorsqu'il s'agit de mettre les mains dans le cambouis. Sur une trame usée jusqu'à la moelle, The Loved Ones réussit l'exploit de nous surprendre! Avec une réalisation soignée et une impeccable production design, le film de Sean Byrne s'impose immédiatement comme un petit classique du genre. Film d'auteur malsain et dépravé, le cinéaste ne se focalise pas sur le côté gore du métrage mais plus sur sa "bizarrerie". Un peu à la manière de All the boys love Mandy Lane, Byrne tient particulièrement à faire ressentir l'étrange beauté de la mélancolie adolescente. Ce film, malgré toute la violence qu'il peut contenir, reste "beau". En 1h20, le metteur en scène prouve que l'on peut encore faire un film original avec des jeunes qui se font kidnapper par une famille de braques. Tout dans ce film à déjà été fait ailleurs, chaque personnage a plus ou moins existé dans un film antérieur, mais Byrne réussit la digestion de toutes ces influences pour livrer au final un film unique et maîtrisé. Le film tient ses promesses du début à la fin. Dégraissé de tout superflu, le film est une bonne petite tarte dans la tronche qui redonne foi dans le cinéma de genre. The loved Ones, c'est Virgin Suicides qui rencontre Carrie au bal du diable. C'est beau, c'est dérangeant, c'est malsain, c'est australien...
Sans être exceptionnelle, The Loved Ones fait du bien dans le cinéma d'horreur qui aujourd'hui fait n'importe quoi surtout grâce à BlumHouse Production. J'ai trouvé que le scénario de ce film était très bien ficelé, les acteurs jouent bien, l'horreur et très bien représentée sans trop de jumpscares et la tension monte. Par contre, j'ai été vraiment très déçu par la fin qui m'a semblé bâclé.
Excellent film d'horreur australien. Très bien joués par d'excellents acteurs. Surprenant, violent, original...et puis une bonne b.o. Vraiment excellent.
Entre Carrie et Massacre à la Tronconneuse, ce film très dérangeant fait preuve d'une audace scénaristique (on pense à la radicalité de certaines scènes) et graphique qui permet de fermer les yeux sur quelques longueurs. En outre, il bénéficie d'interprètes bluffants, en particulier du côté des méchants.
1h33.C'est le temps que vous perdrez dans votre vie si vous avez l'audace de regarder ce doux navet. Un film qui ose même attirer le chaland en nous offrant en tête d'affiche Xavier Samuel.Comme un Blockbuster nous vendrait Will Smith. Xavier Samuel parlons-en est sans saveur.A croire que lui non plus ne croit pas en ce film.Quant aux autres,ils varient du moyen au ridicule. Du côté du scénario,c'est simple il n'y en à quasiment pas.50 minutes du film se passe en huis clos entre un "héros" amorphe,une "méchante" insipide et insupportable et son incestueux de père. Un film à déconseiller, même aux personnes sous morphine.
Ambiance malsaine et angoissante, bon jeu d'acteurs,de très bons maquillages, très bonne bande son, ce film à tout pour plaire. Là où la plupart des films dits "d'horreur" vont se réfugier dans le gore ou dans les screamers, celui-ci ose jouer une carte bien différente qu'est le suspens. Scènes de torture imaginatives. Certains vont dire que celles-ci sont trop peu gores, mais je répondrais que le gore qu'est qu'optionnel, et je pense pas que le budget de ce film fut assez grand pour intégrer de tels effets spéciaux. Et puis personnellement j'angoisse bien plus en regardant ça qu'en matant quelque chose comme Saw ou encore paranormal activity (pour celui là je suis plus en train de rire.)
Le scénar est absolument banale, les rebondissements sont prévisibles,, les erreurs de script sont multiples et une partie de l'histoire est inaboutie, mais il émane une telle fraîcheur des acteurs, de la mise en scène et de l'oeuvre en général qu'on ne peut qu'en redemander! Un film d'horreur sans prise de tête, viva Australia!
Une production horrifique australienne surprenante. Le thème "famille de barges" était à priori surexploité dans le cinéma d'horreur, The loved ones est la preuve que non. D'un postulat de départ classique, on se retrouve devant papa dingo et sa progéniture, complétement déphasés, s'adonnant à la torture extrême sur un pauvre bougre ayant malencontreusement décliné une invitation au bal ... Pour le coup, on s'attache bien plus à la victime qu'à l'accoutumée vu l'aspect psycho abordé avec soin par le réalisateur et on n'a qu'une envie, contrairement à d'habitude, c'est qu'il s'en sorte. Ce qui fait de cette pellicule, non plus un film simplement gore et fun mais un objet de tension extrême où nos nerfs sont mis à rude épreuve. L'aspect visuel est de plus très réussi, les scènes de violence paraissent réelles et même si certaines situations prêtent à sourire, on n'en perd pas une miette. Un petit budget bien exploité au final pour un métrage marquant à souhait.
Très rigolo se film, Lola est énorme dans son rôle de psychopathe. Franchement si vous aimer les films de séries B allez y vous ne risquez rien, dommage qu'il n'y ai pas eu un peu plus de torture. Ma note 4/5 car très divertissant