Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Malgré le talent des autres interprètes, "A l'âge d'Ellen" tient de bout en bout sur Jeanne Balibar (...). Et si l'on songe aux personnages flottants et perdus d'Antonioni, on ne peut s'empêcher de penser aussi aux errances d'Ingrid Bergman dans l'Italie détruite de Rossellini (...).
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Critikat.com
par Alice Leroy
(...) le deuxième long métrage de Pia Marais, "À l'âge d'Ellen", poursuit avec brio cet élan créatif du cinéma outre-Rhin.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Isabelle Regnier
Maintenant les clichés à distance, Pia Marais appréhende la crise existentielle d'Ellen dans toute son ambiguïté. (...) Cette absence de mièvrerie, ce regard acéré, à ce parfum d'étrangeté qui flotte, donnent au film une belle tenue, suave et inspirante.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
L'Humanité
par Vincent Ostria
Une oeuvre qui par sa froideur formelle (ton, décors, filmage) est dans la ligne du nouveau cinéma allemand, mais elle s'en distingue par son sens de l'ellipse et sa progression erratique, au diapason du malaise profond de l'héroïne.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Première
par Bernard Achour
"A l'âge d'Ellen" affiche (...) une vraie maîtrise (parfois complaisante). Il révèle aussi une Jeane Balibar méconnaissable qui (...) échappe à son habituelle hyperventilation lyrique.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jacques Morice
Imprévisible. C'est l'atout premier de ce film bizarre, en apesanteur, qui zigzague, bifurque sans prévenir, se perdant un peu parfois. (...) Le film nous met dans un drôle d'état, entre malaise et légère ivresse. Une sorte de jet lag existentiel.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Le film séduit quand il est au diapason de son personnage (...) Dommage qu'il se perde, s'embourbe et ne semble plus que vouloir flotter, aboulique, au milieu des circonstances, laissant filer entre ses doigts la belle étrangeté du début de la crise.
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Portrait d'une femme à un tournant de sa vie.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Voir le site de Studio Ciné Live
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Net avantage à la première partie qui édifie autour de la solitude mutique de son héroïne une ambiance surréaliste et étrange. La seconde, plus politique et dialoguée, mais aux enjeux flous, s'enlise dans une caricature de cinéma conceptuel.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Positif
par Nicolas Bauche
La réalisatrice Pia Marais a soigné un joli téléfilm, chiadé aux entournures, mais d'un ennui aussi parfait que la patine postmoderne de ce film germano-prout prout où Jeanne Balibar déambule en mode "ach ja, j'ai fait allemand en LV1 prépa" (...).
La critique complète est disponible sur le site Positif
Les Inrockuptibles
Malgré le talent des autres interprètes, "A l'âge d'Ellen" tient de bout en bout sur Jeanne Balibar (...). Et si l'on songe aux personnages flottants et perdus d'Antonioni, on ne peut s'empêcher de penser aussi aux errances d'Ingrid Bergman dans l'Italie détruite de Rossellini (...).
Critikat.com
(...) le deuxième long métrage de Pia Marais, "À l'âge d'Ellen", poursuit avec brio cet élan créatif du cinéma outre-Rhin.
Le Monde
Maintenant les clichés à distance, Pia Marais appréhende la crise existentielle d'Ellen dans toute son ambiguïté. (...) Cette absence de mièvrerie, ce regard acéré, à ce parfum d'étrangeté qui flotte, donnent au film une belle tenue, suave et inspirante.
L'Humanité
Une oeuvre qui par sa froideur formelle (ton, décors, filmage) est dans la ligne du nouveau cinéma allemand, mais elle s'en distingue par son sens de l'ellipse et sa progression erratique, au diapason du malaise profond de l'héroïne.
Première
"A l'âge d'Ellen" affiche (...) une vraie maîtrise (parfois complaisante). Il révèle aussi une Jeane Balibar méconnaissable qui (...) échappe à son habituelle hyperventilation lyrique.
Télérama
Imprévisible. C'est l'atout premier de ce film bizarre, en apesanteur, qui zigzague, bifurque sans prévenir, se perdant un peu parfois. (...) Le film nous met dans un drôle d'état, entre malaise et légère ivresse. Une sorte de jet lag existentiel.
Cahiers du Cinéma
Le film séduit quand il est au diapason de son personnage (...) Dommage qu'il se perde, s'embourbe et ne semble plus que vouloir flotter, aboulique, au milieu des circonstances, laissant filer entre ses doigts la belle étrangeté du début de la crise.
Le Figaroscope
Portrait d'une femme à un tournant de sa vie.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live
TéléCinéObs
Net avantage à la première partie qui édifie autour de la solitude mutique de son héroïne une ambiance surréaliste et étrange. La seconde, plus politique et dialoguée, mais aux enjeux flous, s'enlise dans une caricature de cinéma conceptuel.
Positif
La réalisatrice Pia Marais a soigné un joli téléfilm, chiadé aux entournures, mais d'un ennui aussi parfait que la patine postmoderne de ce film germano-prout prout où Jeanne Balibar déambule en mode "ach ja, j'ai fait allemand en LV1 prépa" (...).