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    Blackthorn
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    ned123
    ned123

    157 abonnés 1 683 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 9 avril 2015
    J'ai vu un flm... d'exception ! Tourné en décor naturel dans un environnement sauvage, on est emporté par cette ode à la liberté qui souligne la fin d'une époque... On est pris par cette histoire d'une immense originalité, et on suit les pérégrinations d'un Butch vieillissant... Sam Shepard est littéralement impressionnant dans sa profondeur et son humanité... La réalisation quant à elle nous emporte littéralement Il y a une recherche d'une absolue réalité, avec des duels et des combats d'armes à feu plus vrais que nature (ou du moins avec une volonté de montrer la lourdeur du métal qui s'écrase contre les chairs, dans un style moins marqué que Sam Peckinpah), et des cavalcades très bien rendues, notamment dans le désert de sel... La photo est particulièrement bien travaillée. les lumières intenses et les cadrages maîtrisés...Et la BO est vraiment très bien. J'ai aimé, et je le dis...
    BeatJunky
    BeatJunky

    150 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 janvier 2015
    Le manque de rythme, c'est la première remarque que je ferais à ce western malgré son scénario original et un Sam Sheppard impeccable. Malheureusement, Ca manque de rebondissements pour que le spectateur soit captivé par ce road movie. De beaux décors, une BO bien dans le ton m'ont quand même fait passer un bon moment mais pas suffisamment pour qu'il me reste en mémoire et que je vous le conseille. Mais si vous tombez dessus, ce ne sera pas du temps de perdu non plus....
    Gustave Aurèle
    Gustave Aurèle

    139 abonnés 2 418 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 octobre 2014
    Un bon western contemplatif et généreux en paysages magnifiques.
    Thibault F.
    Thibault F.

    52 abonnés 822 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 29 septembre 2014
    Une grande surprise pondue par le réalisateur espagnol, Matheo Gil qui m'impressionne et ce, dans le bon sens. Pour débuter, une mention toute particulière pour la beauté naturelle des décors retranscrit de manière brut à travers une photographie sublime, délicate (Cordillère des Andes, jungle Bolivienne etc...) Le spectateur est littéralement aspirer dans une forme de voyage, de quête accompagné de personnages, principaux et secondaires; tous plus intéressant les uns que les autres. C'est certainement la principale force de cette oeuvre, la quête de chaque personnages et le duo étonnant formé par Sam Shepard (Butch Cassidy) et Eudardo Noriega (Eduardo) ; chacun possèdant de nombreux secrets que le cinéphile va découvrir au fur et à mesure du voyage. Un jolie coup de coeur, une sorte de western qui certes ne réinvente pas le genre mais qui le perpétue permettant ainsi de souligner l'idée que: "non, le western n'est pas encore mort mais bel et bien vivant au XXIe siècle". Coup de coeur
    Zbrah
    Zbrah

    45 abonnés 365 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 septembre 2014
    Enième relecture du mythe de Butch Cassidy, « Blackthorn » s’attarde sur la vie du hors-la-loi après sa supposée fuite en Bolivie en 1908. Fatigué après vingt années en solitaire, l’homme qui se fait désormais appeler James Blackthorn, prévoit de rentrer au pays. Sur la route il fait la rencontre d’un espagnol poursuivi pour vol dans la mine locale. Sam Shepard interprète le premier rôle. Une belle occasion pour l’acteur plutôt discret de briller. Sa vision de Butch Cassidy n’est pas exceptionnelle, ce n’est qu’un vieil homme solitaire. Mais l’acteur de soixante-dix ans assure avec son air bourru et usé par la vie. Face à lui, un Eduardo Noriega insipide. Son personnage manque de substance, tout comme son jeu. Difficile d’être surpris ou même touché par Eduardo, dont –il faut bien le dire- on se fiche. C’est à peu-près la même chose pour spoiler: la version jeune de Butch.
    Même si la fraicheur apportée par (le très beau) Nikolaj Coster-Waldau est appréciable, les spoiler: flash-backs sur la jeunesse du héros
    n’apportent rien à l’histoire. Ils donnent le sentiment de revivre les évènements deux fois. Si Butch a changé de nom et est seul en Bolivie, on se doute bien que spoiler: son ami est mort, qu’il est parti au sud pour fuir les autorités, on se moque un peu de savoir que le mystérieux neveu est le fils de ses amis disparus...
    En plus, ces moments passés sont mal incrustés à la trame présente. Il n’y a pas de cohérence entre les scènes, et c’est dommage, surtout que pour le reste, Mateo Gil ne réalise pas un mauvais travail. Sa mise en scène est sobre. Il n’y a pas spécialement de plans marquants. Le point fort du réalisateur espagnol est qu’il filme avec beaucoup d’amour la nature bolivienne. Couplée à une jolie photographie ensoleillée et aux charmants airs composés par Lucio Godoy, il livre de belles images. C’est dans ces moments que l’homme donne le plus l’impression de s’épanouir. L’intrigue en elle-même n’est jamais passionnante. Les personnages ne provoquent aucun sentiment d’attachement, et du coup les évènements se suivent avec détachement. Le pire étant que le dernier face à face entre spoiler: Blackthorn et Eduardo
    ne provoque aucune émotion. Ainsi, on ne peut considérer « Blackthorn » comme un western majeur. Même si le fait que l’intrigue se situe en Bolivie change des habituelles terres du grand Ouest américain, le film comporte trop de failles pour être indispensable : manque de rythme, manque de substance des personnages et flash-back inutiles sont les principales faiblesses du film de Mateo Gil.
    velocio
    velocio

    1 304 abonnés 3 135 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 septembre 2014
    Belle surprise que ce western hispano bolivien tourné dans des décors fabuleux. Et ce Sam Shepard, quel acteur ... et quel chanteur !
    Sebi Spilbeurg
    Sebi Spilbeurg

    82 abonnés 1 005 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 septembre 2014
    Quand le scénariste de grand films espagnols (Ouvre les yeux, Mar Adentro, Agora), fidèle collaborateur du cinéaste Alejandro Amenábar, décide de s’attaquer au mythe du bandit Butch Cassidy pour son second long-métrage (douze ans après La Méthode), autant dire que le projet se montrait plutôt alléchant. Mais rappelons que ce film est sorti quelques années avant Django Unchained, le western (déjanté, certes) de Quentin Tarantino, qui a su relancé ce genre cinématographique à l’agonie, comme le péplum. Il n’est donc pas étonnant de voir que Blackthorn n’ait pas spécialement marché sur le plan commercial (seulement 623 528 dollars de remportés dans le monde), passant inaperçu auprès de l’inconscience collective. Il est donc temps de parler de ce film et de vous montrer ce que vous avez loupé.

    Bien qu’il ait été avéré que Butch Cassidy ait séjourné en Bolivie, sa fin reste néanmoins incertaine. Est-il mort de vieillesse en 1945 ou a-t-il vraiment été tué en 1908 ? Peu importe, ce n’est pas le sujet du film ! D’ailleurs, ces incertitudes permettent au réalisateur Mateo Gil et à son scénariste Miguel Barros de bâtir leur histoire comme bon leur semble. Surtout que Blackthorn se présente comme un hommage, une ode à Butch Cassidy qui est longtemps resté dans l’ombre du Kid dans les autres films les mettant en avant (Butch Cassidy et le Kid, Les joyeux débuts de Butch Cassidy et le Kid). L’occasion donc de ne se préoccuper que de ce personnage, de dresser un portrait de l’homme derrière la légende (bien que ficitif). Blackthorn, c’est indubitablement ce film. Qui prend le temps qu’il faut travailler son héros sans passer par d’éternelles séquences de fusillades (comme on en voit fréquemment dans les westerns). Insistant bien sur le parallèle entre son amitié avec le Kid et le voleur Eduardo, ponctué par quelques flashes-back introduits ici et là. Le procédé offre quelques longueurs, il est vrai (les 95 minutes semblent par moment s’éterniser), mais tient ses promesses.

    Ce qui permet aussi au personnage de Butch Cassidy d’avoir de l’ampleur à l’écran, c’est la prestation de son interprète. Succédant à Paul Newman et Tom Berenger (les comédiens des autres films), Sam Shepard s’est pleinement investit dans son rôle, au point d’avoir vécu trois mois en Bolivie en totale immersion afin de se préparer pour le tournage. Un travail d’orfèvre qui se remarque à l’écran tant l’acteur offre beaucoup d’humanité et de profondeur à Cassidy. Mettant les autres comédiens sur le banc de touche avec facilité, alors que ceux-ci n’ont pourtant rien à lui envier. Mais encore une fois, c’est Sam Shepard qui est en tête d’affiche, et on peut dire que l’acteur porte le film sur ses épaules avec une grande aisance.

    Mais Blackthorn n’est pas seulement une mise en abîme de Butch Cassidy, mais également une déclaration d’amour de Mateo Gil au western. Bien que sa mise en scène n’ait pas particulièrement de style à nous vendre, l’Espagnol use de tous les codes de ce genre pour annoncer sa flamme. En faisant de Butch Cassidy un héros solitaire au passé trouble. En filmant avec minutie les somptueux décors boliviens. En usant de ces derniers pour mettre en valeur certains de ces codes (la silhouette des personnages sur le blanc intense du désert de sel). En proposant une agréable bande-originale signée Lucio Godoy, qui va jusqu’à faire chanter Sam Shepard pour donner plus de crédibilité à l’ensemble.

    Blackthorn est donc un film qui aurait mérité un accueil plus imposant lors de sa sortie, étant un western travaillé comme il se doit sur le plan scénaristique et technique. Sans compter la performance de Sam Shepard, juste impressionnante. Même si le succès au box-office n’a pas répondu présent, il est toujours temps de découvrir (ou redécouvrir) ce film qui doit être vu au moins une fois dans sa vie.
    I Fucking Like Movies
    I Fucking Like Movies

    31 abonnés 186 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 septembre 2014
    Un western moderne et bilingue seduisant qui nous fait traverser de magnifiques paysages avec un mort dont on a arrete le sommeil pour le ramener a la vie. On retrouve ici le principe initiatoire apprecie par ce type de films, un vieil homme au passe mouvemente aux cotes d'un jeune pleins d'ambitions. Un peu trop peut-etre car on va finir par se rendre compte que rien n'est aussi simple qu'il n'y parait pour ce vieux Butch.
    Si le scenario est excellent, on est malheureusement pas aussi emu qu'on l'aimerait vu la qualite de l'histoire. Pas de quoi gacher le plaisir de cette d'abord douce puis tres violente nostalgie que dispense ce film dont l'acteur principal est aussi efficace que touchant et charismatique.
    Le cinéphile
    Le cinéphile

    693 abonnés 2 746 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 septembre 2014
    Un petit western moderne très agréable à regarder! Sobre, froid et violent le film réserve de magnifiques plans, et met en scène une légende de l'ouest suprêmement ionisée à l'écran interprétée par un vieux roublard du cinéma qui fait superbement bien son taff! Agréablement filmé, le long métrage à de quoi nous emporter
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 15 septembre 2014
    A condition de ne pas vouloir prendre en compte la réalité historique, très éloignée de cette histoire, on a droit à un western honnête, servi par de bons acteurs et de superbes paysages.
    Critique de Monique Pantel dans Europe 1
    Critique de Monique Pantel dans Europe 1

    77 abonnés 355 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 septembre 2014
    Eh ben c'est pas mal, c'est pas mal. C'est quand même un faux western [avec Sam Shepard] qui est très bien, comme d'habitude. spoiler: Il fait le Butch Cassidy qui en fait n'est pas mort comme vous le croyez. Il est pas mort du tout, et ça fait une parodie de western
    . Ah ben non, c'est pas gai.
    Raphaël O
    Raphaël O

    146 abonnés 1 567 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 septembre 2014
    Ce western tourné en décors réels est, malgré un manque de rythme et un duo auquel on croit difficilement, pourvu d'un scénario bien écrit, de superbes paysages et interprété par un Sam Shepard absolument exceptionnel.
    Un très bon divertissement
    Kloden
    Kloden

    125 abonnés 997 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 septembre 2014
    Pas grand chose à dire sur ce néo-western un brin décevant au vu de ce qu'il offre en fin de compte après s'être proposé de redonner vie à la légende américaine Butch Cassidy, en contant sa retraite fictive au fin fond de la Bolivie après la fin de ses aventures avec Sundance Kid, puis son retour au bercail pour retenter une vie qu'il n'a pas l'impression d'avoir vraiment connue. Le circuit narratif le fait tout de suite sentir ; Blackthorn n'est pas de ces westerns nostalgiques qui tentent une reconstitution fidèle mais se veut bien comme une relecture neuve et à la sémantique redessinée. On le dit même sous l'influence de Sam Peckinpah, dont les westerns crépusculaires avaient malheureusement pour l'espagnol Mateo Gil (ici derrière la caméra), un tout autre souffle. Auteur réputé, Gil n'apparaît surtout pas comme un metteur en images appelé à prendre le même acabit, signant une mise en scène sans relief sauvée par les décors naturels et le découpage souvent judicieux de l'espace. Sa narration en flash-backs a aussi beaucoup agacé, et je donne raison aux réfractaires tant j'ai subit son manque de pertinence et sa tendance à déséquilibrer le ratio ampleur dramatique recherchée/ ampleur dramatique trouvée. Sans chercher sciemment à sur-dramatiser, le procédé conduit ces séquences passées qui arrivent comme un cheveu sur la soupe à creuser des moments de vide, de manque à gagner, où je me suis désynchronisé du train dramatique. Alors qu'à mon avis, un verrouillage serré sur les regards mélancoliques d'un très bon Sam Shepard, ainsi que quelques allusions à la vie de son personnage, et le tour était joué, une dose de mystère en plus. Mais tout ça demande de la confiance, dont l'espagnol ne disposait sans doute pas après un premier film (Jeu de rôles) mal accueilli. Impossible donc de mettre en place des mécanismes fins pour étirer le parcours spirituel de Cassidy à travers les époques et l'approche de la modernité au centre de Blackthorn. Approche d'ailleurs floue, qui pose le film dans un grand nul part, loin de l'étiquette "crépusculaire" qu'on voulait lui coller. En vérité, Blackthorn est quelque peu informe, inconsistant, sans regard aiguisé. Peut-être est-il l'oeuvre d'une époque qui a désormais accepté la mort de l'Ouest américain, au cinéma ou en dehors, et cherche juste dans le genre de nouvelles pistes non encore rebattues - quelques idées neuves dans la construction des personnages secondaires et l'appropriation à l'internationale des plaines américaines (le film est majoritairement espagnol) séduisent momentanément. Mais ce serait se priver de son essence même, et risquer comme Mateo Gil de signer un produit bancal et tout à fait mineur, sans être vraiment déplaisant. Un western oubliable, un peu déconcertant car banal en surface et peu intelligible dans le fond. Les fans de Shepard se régaleront, pour les autres, il y a mieux à voir ailleurs, et de loin.
    Acidus
    Acidus

    721 abonnés 3 709 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 septembre 2014
    L'histoire de « Blackthorn » sort des sentiers battus en prenant pour principal protagoniste un Butch Cassidy âgé, en pleine retraite dans une ferme de Bolivie. La suite se veut un peu plus conventionnelle mais demeure captivante avec un Sam Sheperd bluffant et une réalisation soignée. En définitive, Mateo Gil nous pond un excellent western, entre tradition et modernité.
    Djo D
    Djo D

    63 abonnés 693 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 juillet 2014
    Sur une idée de départ intéressante, l'espagnol Mateo Gil livre un beau western crépusculaire. Les paysages de la Bolivie sont superbement filmés et la traque bien mise en scène. Le film sait prendre son temps, profiter des grands espaces et surtout de son acteur principal. Sam Shepard est excellent en légende vieillissante qu'un concours de circonstance sort de sa torpeur.
    Si les flashbacks n'apportent pas spécialement grand chose au métrage,il n'enlèvent rien a la qualité de ce western.
    Une belle réussite qui mérite la découverte.
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