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Le cinéphile
688 abonnés
2 746 critiques
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2,5
Publiée le 10 janvier 2014
Une assez jolie fable, peu originale mais assez prenante. Les personnages sont intéressants, Dubosc utilisé a contre emploi est plutôt bon et on est pris de sympathie pour son personnage. Même si le film est quelque peu maladroit sur le plan technique il est attendrissant.
Bon film avec un Dubosc dans un role que l'on ne lui connaissait pas. Le concours de Claude Rich n'y est pas pour rien avec ce papi emouvant completement fada suite à sa solitude. L'ensemble de ce film est traité la dessus, solitude d'une enfant, d'un papi, d'un buisnessman et d'une jeune perdue ds sa tete. Le sujet est facile dans toutes etapes du film sans aucune surprise mais reste agréable à regarder.
Le commercial solitaire habitué a son rythme effréné par ses tourne, en quelque jours toute ses habitudes vont être sérieusement chambouler. L'annonce de son responsable que la société doit faire des économie, note de frais en stand-by, secteur a couvrir beaucoup plus étendu, et une pression constante, l'arrivée du petit garçon suite a une rencontre inopiné dans les toilettes d'un centre commercial, l"entraîne dans une aventure qu'il n'aurait jamais imaginé vivre. Bref après tout ce blabla, on essaye de nous transmettre beaucoup d'émotion dans ce film, oui il y en a, mais franchement pourquoi Franck Dubosc? On aurait peut-etre pu allez chercher quelqu'un d'autre certe il est pas mauvais mais le film dans son ensemble est trop mou et a mes yeux Dubosc en acteur principale avec ce rôle ça ne me va pas.
Un film qui sort dubosc de son registre sans toutefois l’en éloigner, coureur de jupons, sans attache se retrouve tout à coup lié au destin d’un enfant. C’est pas un film magnifique, on ressent un certain malaise et les situations sont grossières et sans un grand intérêt. Dubosc semble maîtriser sa vie mais une vie vide et mediocre, il se fait manipuler et finalement ne maîtrise rien. C’est important pour le déroulé de l’histoire qui tourne autour de la paternité et la filiation sans vraiment rentrer dans le sujet et c’est bien dommage, c’est trop léger trop grotesque, trop cliché. C’est un film qui se regarde, qui peut faire écho à certain mais laisser de marbre aussi, un film plat qui raconte pas grand chose en fin de compte. À voir mais ne vous attendez pas à un chef d’œuvre du genre, c’est u, road trip pour un dimanche pluvieux
Il manque à ce film un je ne sais quoi, quelques dialogues percutants, une réalisation un peu plus nerveuse, 2 ou 3 scènes avec un peu plus d'émotion, pour en faire un vrai bon film. C'est d'autant plus dommage que les acteurs Sont tous très bons, à commencer par Dubosc qui, une fois n'est pas coutume, n'en fait pas trop et cela lui va plutôt bien. Au final on a l'impression de voir un bon téléfilm, mais pas un film de cinéma.
Sympathique, gentillet...Ces qualificatifs reviennent à l'envi pour juger ce road-movie du cru. Franck Dubosc joue sobrement et dès que l'on ne s'échine pas à se remémorer le registre habituel de l'acteur, on se laisse convaincre par cette histoire de père intérimaire. Rien d'extraordinaire donc, vite vu, vite oublié semble être la destinée de cette première oeuvre dont le sujet , à part quelques trouvailles, n'a rien de nouveau.
Franck Dubosc dans un autre registre que le lourd et bouffon de service ? Je suis preneur. J'avoue être réticent et frileux à cette idée mais il m'a convaincu sans pour autant m'éblouir. Un petit road movie bien sympa qui a réussi à certains moments à m'émouvoir face à des sujets de sociétés actuelles et de par la situation qu'est mise le petit Lucas joué avec tendresse par Mathis Touré. Un film qui se laisse regarder et qui est sauvé en quelque sorte par des personnages différents et touchants à leur manière. A conseiller avec légèreté !!
Ce film est dans l'ensemble plutôt sympa mais sans plus. Franck Dubosc joue un rôle qui ne lui convient pas, le scénario est très moyen, mais une bonne idée du départ. Pas mal.
Je viens de découvrir ce film sur Netflix. J’ai beaucoup aimé. Mon fils aussi. L’histoire, très bien écrite, avec des situations parfois délirantes (mais qui restent crédibles) peut faire penser à Gloria de Cassavettes ou à Central do Brazil, deux films qui placent un petit garçon face à un adulte qui n’a ni l’âme d’un père, ni l’instinct maternel. Dubosc se révèle très bon dans un rôle tout en pudeur et en subtilité. Claude Rich est très émouvant avec son sourire merveilleux. Quant au petit garçon et à la jeune fille, ils sont très justes. Ce beau road movie qui nous fait parcourir la France est également un feel Good movie qui aurait mérité un plus large succès (le film est sorti en 2012 et je n’en avais pas du tout entendu parler). Je ne comprends pas trop les mauvaises critiques car je ne m’attendais pas à une si bonne surprise. Je recommande vivement.
Source : Plog Magazine, les critiques des ours => http://lescritiquesdesours.blogspot.fr/2012/01/10-jours-en-or.html
Ce film promettait la reconversion de Dubosc, et selon moi elle est réussie. Il n'est plus le pitre de service mais campe un personnage touchant, vrai, simple. L'histoire n'est pas révolutionnaire, les rebondissements et autres éléments scénaristiques non plus, mais le tout fonctionne. Nicolas Brossette réalise ici un film sans grande prétention, mais grandement sympathique. J'ai souri, été ému, j'ai voyagé avec Marc Bajau et ses acolytes. La musique, gros point fort, est excellente et colle parfaitement à l'univers "Road-Movie" du film. Mes comparses ours n'ont peut-être pas été atteints par la poésie de la simplicité que récite ici le réalisateur et c'est dommage pour eux.
Petit film sympathique, a regarder sans prise de tète. J'ai trouvé Dubosc intéressant sans doute parce qu'il n'essayait pas de faire rire. Marie Kremer est vraiment très belle, un visage de mystère, un sublime petit bout de femme de 30 ans. Ce n'est pas le film de l'année, mais un bon moment a passer. Le SUV Mitsubishi Outlander est très beau, il fait sa pub dans le film, c'est réussis.
A ma très grande surprise j'ai aimé ce film. Retrouver Marie Kremer m'a fait bien plaisir et voir Dubosc dans autre chose que ce qu'il fait tout le temps est un vrai signe de maturité. Je n'ai rien contre les acteurs qui ne savent jouer qu'une note mais réussir à construire une carrière sur une seule base de jeu m'a toujours semblé mystérieux. A mon grand regret, ils sont très nombreux. Bref! l'histoire est mignonne mais elle se tient et Dubosc mène son petit bonhomme de chemin bien accompagné. Le garçon est craquant, Maurice Rich est truculent, Marie Kremer est fragile et juste. C'est un film qui se laisse regarder un soir d'hiver sur un bon canapé. J'ai pu en profiter sur Canal le We dernier et aucun regret !
Film très émouvant, avec cette sobriété des petites perles du cinéma qu'on est enchanté de découvrir. Dubosc est, pour moi, un très bon acteur avec cette charge inhérente d'humour qui le distingue d'un Jean Dujardin (pour sa part sympathique mais décidément très plat). Rich est, comme généralement, très bien. Mathis Touré, le petit enfant, joue formidablement bien - très juste, sans surjouer... Bravo.
Très bon film dans lequel on découvre un nouveau Franck Dubosc plus mature, plus sérieux, plus touchant mais qui parvient toujours à faire rire sans tomber le lourd comme cela pouvait être le cas dans Cinéman ou Bienvenue à Bord. Que l'on soit un fan inconditionnel de l'acteur ou un détracteur curieux de le découvrir sous un nouvel angle, 10 Jours En Or est une des bonnes surprises de ce début d'année 2012 que l'on attendait pas!