Si vous aimez la sensibilité quand elle n'est pas exubérante ou en représentaton, vous pourriez aimer la tendresse de ce film, sorte de road movie ou quelques personnages vont se retrouver en dépit de leurs différences...FRanck .Dubosc incarne un commercial (attention ce n'est pas une comédie, Dubosc sort avec bonheur de son registre habituel) qui va se retrouver par hasard responsable d'un gamin de 6 ans, d'un papi déprimé (incarné par le sombre Claude Rich) et d'une jeune femme (Marie Kremer) d'une bonne vingtaine d'années (dislexique et désabusée et au chomage).....C'est un film où surtout la pudeur sert de scénario au travers de scènes réalistes et de personnages tous en rupture....Les failles sont évidentes...,On retrouve par moment un peu l'atmosphère de Papa de Barthélémy (je crois)....Sans une fin trop heureuse le film posait admirablement un cas de conscience au spectateur....Dommage cette petite bévue scénaristique.....Je conseille.
Cette comédie dramatique est moyenne. Elle se regard sans souffler ni le chaud, ni le froid. Certes, c’est sympathique mais trop plat pour donner quelque chose. Les choses se passent sans forcément d’émotion ni d’humour. On voit Franck Dubosc parcourir la France avec différents périples qui sont variés. Par contre, les personnages qu’il croise sont sans intérêt. Ils n’ont pas de profondeur et même Claude Rich m’a laissé de marbre. L’enfant joué par Mathis Touré est un peu le « monsieur catastrophe ». Il est la justification de tout ça mais à force c’est un peu trop. Ce qui sauve réellement ce film est la présence de Franck Dubosc. Il est génial. Habitué aux comédies primaires à l’époque, il signait son premier rôle plus nuancé et le fait très bien. J’aime beaucoup son sens de la réplique qu’on lui connaît, et il arrive à mettre une touche dramatique bien dosée. Rien que pour le voir j’étais content.
Un scenario et des situations pas credible , des dialogues rates , une emotion qui ne vient jamais , un Franck Dubosc qui donne l'impression a chaque fois qu'il ouvre la bouche qu'il va sortir une vanne.Desole mais dans ce film rien n'est credible.Dommage car cela aurait pu fonctionner avec d'autres acteurs et une bonne mise en scene.
Franck Dubosc veut signer avec " 10 Jours En Or " son " Tchao Pantin " cela saute aux yeux. Mais comme n'est pas Coluche qui veut, on sort de ce film fatigué tellement sa vacuité est immense. A vouloir trop être démonstratif avec les éventuelles qualités de Franck Dubosc à jouer un mélodrame, l'écriture d'un scénario a semble t-il totalement échappé au réalisateur. Des bons sentiments certes il y en a, mais à l'excès ! On nous présente des personnages qui n'ont rien d'attachants. Entre Franck Dubosc qui est antipathique ( et mauvais de surcroit , Claude Rich agaçant en imbécile heureux et même le jeune Mathis Touré qui est ennuyeux comme ce n'est pas permis, le spectateur n'a aucune chose à laquelle il peut s'accrocher. Les péripéties sont d'une mollesse lassante et au niveau de l'émotion, c'est abstrait en tout point. Ce road-movie peine à voir tellement il est affligeant tant au niveau de la mise en scène que dans la façon de faire évoluer ses personnages dans ce décor peu attrayant. Caricatural au possible et interprété faussement, " 10 Jours En Or " est un film accablant, sans poésie et sans âme ! Ce n'est pas encore-là que Franck Dubosc prouvera qu'il est un bon acteur.
Tout est moche dans ce film. La lumière, le formatage de la mise en scène, les acteurs. Les scènes sentent presque le plan de travail respecté. C'est déprimant tant d'observance à la doxa, tant de manque d'audace, de vie. L'intrigue mille fois vue sert un message bonne conscience sirupeux qu'on nous assène sans subtilité. Le cinéaste sans une once de talent n'a que sa bonne conscience pour lui.
Road-movie initiatique et sorte de croisement entre "Papa" et "In the Air", ce "10 jours en or" était le film de tous les défis : un jeune réalisateur derrière la caméra - Nicolas Brossette, dont c'est ici la première production - accompagné d'un Franck Dubosc qui s'essaie à un nouveau registre. Il ne fallait donc pas s'attendre à quelque chose de très enlevé et ce long-métrage colle parfaitement à l'idée que l'on s'en faisait avant de le visionner. Très sage, il se trouve être stigmatisé par sa réalisation très académique et un scénario plombé par son manque d'originalité. Sobre et sérieux, cheveux teints (...), notre Francky national signe une interprétation qui laisse aussi dubitatif que son visage est quasi inexpressif pendant 1h35. Trublion comique sur scène comme à l'écran, il s'en sort pourtant pas trop mal ... sauf que son image de clown lui colle à la peau et que l'on a presque envie qu'il nous sorte une bonne blague au détour d'une réplique ... N'est donc pas acteur dramatique qui veut : c'est malheureusement la leçon à retenir pour lui de ce film. Les seconds rôles (Mathis Touré, Marie Kremer, Claude Rich) n'apporte pas de réel impact pour relever la saveur de ce plat plat (je tenais à la placer celle là !) et si l'on doit juger la portée cinématographie de ce long-métrage, ce n'est pas folichon (plutôt pâlichon même ...) : à l'instar de "Un jour mon père viendra", ça vaut à peine un téléfilm à une heure de grande écoute. Manquant d'impact et de force émotionnelle, "10 jours en or" restera confiné à un statut de film gentillet au capital sympathie intéressant mais aura incontestablement du mal à séduire un large public ...
Un film original et surprenant de qualité au niveau des dialogues et des acteurs très naturel, Franck Dubosc dans un rôle qui lui est différent, il s'en sort parfaitement ! Un film humain avant tout, sympa, divertissant.
Beau film, agréable de voir Franck Dubosc dans un rôle sobre sans en faire des tonnes. Un homme pour qui le travail passait avant tout, les relations humaines ne sont pas son fort... Au fil de l'histoire, des rencontres qui changerons sa vie, des scènes d'émotions. Film et acteurs très attachant. A voir
Très joli film qui oscille entre humour et émotion, avec Franck Dubosc dans un contre-emploi réussi qui joue ici un VRP se retrouvant avec un enfant de 6 ans sur les bras bientôt rejoints par un retraité qui a envie de sortir de sa solitude (Claude Rich) et une autostoppeuse paumée (Marie Kremer). Si le ton de ce road-movie est résolument optimiste, l'arrière-fond social est malheureusement très réaliste (situation des sans-papiers, précarité, mal-logement...) et, le réalisateur a bien fait de ne pas l'occulter.
Enfin un rôle sérieux pour notre bon vieux Franck, mais malheureusement la trace du comique reste et est difficile à nettoyer au lavage de scénario. J'ai du mal à m'imaginer un Dubosc sérieux, puis il faut dire qu'il est tellement meilleur dans un autre registre (je parle des spectacles et non des films abrutissants). Un film tout simple pour une clientèle de ménagère de 50 ans. Cette histoire de m'a pas ému avec ce gamin que j'ai trouvé insupportable. Bref, on s'ennuie et on a du mal à ressentir les émotions que le réalisateur a tenté, tant bien que mal, de nous transmettre.
Un sympathique petit road movie un brin déjanté et très agréable à suivre, joli rôle pour Franck Dubosc qui sort enfin de ses personnages de beaufs. Le petit Mathis Touré est vraiment adorable, juste un peu déçu de la fin trop simpliste. A voir.
Franck Dubosc se met en danger, il exprime exactement la même chose que d'habitude, bien que le rôle soit dramatique. Finalement c'est juste son infantilisme qui plait.
Pff c'est vraiment sortie au ciné ??? ce genre de téléfilm d'habitude passe le lundi soir sur TF1, c'est plat et le scénariste vraiment pas inspiré !! je zappe !!
4 693 abonnés
18 103 critiques
Suivre son activité
4,0
Publiée le 25 octobre 2020
Il s'agit d'un voyageur de commerce Marc (Franck Dubosc) dont la vie est bouleversée par une rencontre fortuite avec un inconnu qui a besoin de son aide. Il finit par s'occuper à contrecœur du fils de six ans d'un immigré clandestin chargé de le livrer dans un endroit sûr pendant que la mère entreprend un dangereux voyage pour leur trouver une vie meilleure. C'est un dernier lancer de dés désespéré pour elle et elle jette littéralement l'enfant sur lui espérant contre tout espoir qu'il se montrera à la hauteur pendant qu'elle part pour sa vie ou sa mort pour leur liberté. Il y a un geste symbolique d'éteindre les lumières alors que Marc doit faire un choix entre sa vie ancienne et égocentrique et cette nouvelle vie qui lui est imposée. Il est lentement entraîné dans son nouveau rôle, les deux développant une relation profonde au fur et à mesure et rencontrant quelques personnes de plus avec des besoins et des blessures propres lors de rencontres fortuites en cours de route. C'est une belle petite histoire d'humanité car ces quatre personnages principaux s'aident mutuellement à faire face à leurs problèmes simplement en se frottant jetés ensemble par le destin. Un très beau film et très émouvant...