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Depuis le temps que l'on attendait de découvrir Dubosc dans un registre "sérieux", nous voilà exaucés avec ce road-movie initiatique à la croisée du délicat "Papa", avec Alain Chabat, et de "In the Air", avec George Clooney.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
Drôle et touchant à la fois, ce petit road movie sur le thème de la famille permet aussi à Franck Dubosc de prouver qu'il sait jouer autre chose que les amuseurs de foule.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
(...) "10 jours en or" reste trop sage et scolaire. L'attachement au film ne va pas plus loin que le plaisir de découvrir ou redécouvrir des acteurs qui possèdent chacun un naturel et un talent intéressants.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Maladroits et crispés (...) ces "10 jours en or" sont encore loin de toute révélation, mais donnent sans conteste envie de rendre à [Franck Dubosc] une confiance que l'on n'avait jamais été tenté de lui faire.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Bien sûr, on peut être attendri par le petit Mathis Touré, impeccable, séduit par Marie Kremer, troublante en fausse routarde paumée, ou amusé par le doyen Claude Rich, impayable en illuminé (...).Tout cela reste gentil, à défaut d'être vraiment convaincant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Franck Dubosc (...) met plein de bonne volonté à incarner ce VRP au grand coeur. Malgré de louables intentions, ce road movie manque d'enjeu et cède à tous les clichés, surlignés par des dialogues démonstratifs.
(...) [Franck Dubosc] devra être mieux servi que par ce scénario à la recherche de son itinéraire, avec des personnages trop peu travaillés. Et une mise en scène dont la platitude lambine sur les routes de France avant de débarquer dans un terminus bien balisé.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Le cheveu teint et le visage fermé, c'est un Dubosc inédit, tout en retenue, que l'on (re)découvre. Dommage alors que le scénario ne soit pas à la hauteur de sa méritoire prestation.
La critique complète est disponible sur le site Première
Dans l'absolu, c'est plutôt une bonne idée : Franck Dubosc en VRP autocentré, qui ne sourit que dans l'exercice de son métier. On serait même tenté d'y croire (...). Mais comment pourrait-il réussir une reconversion dramatique avec un scénario pareil (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Journées en or pour scénario de plomb, déroulant autour de Franck Dubosc, en quête de légitimité dramatique, les ficelles usées de la comédie sociale et familiale.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télé 7 Jours
Depuis le temps que l'on attendait de découvrir Dubosc dans un registre "sérieux", nous voilà exaucés avec ce road-movie initiatique à la croisée du délicat "Papa", avec Alain Chabat, et de "In the Air", avec George Clooney.
Ecran Large
Drôle et touchant à la fois, ce petit road movie sur le thème de la famille permet aussi à Franck Dubosc de prouver qu'il sait jouer autre chose que les amuseurs de foule.
Excessif
(...) "10 jours en or" reste trop sage et scolaire. L'attachement au film ne va pas plus loin que le plaisir de découvrir ou redécouvrir des acteurs qui possèdent chacun un naturel et un talent intéressants.
Le Monde
Maladroits et crispés (...) ces "10 jours en or" sont encore loin de toute révélation, mais donnent sans conteste envie de rendre à [Franck Dubosc] une confiance que l'on n'avait jamais été tenté de lui faire.
Le Parisien
Bien sûr, on peut être attendri par le petit Mathis Touré, impeccable, séduit par Marie Kremer, troublante en fausse routarde paumée, ou amusé par le doyen Claude Rich, impayable en illuminé (...).Tout cela reste gentil, à défaut d'être vraiment convaincant.
Les Fiches du Cinéma
Road-movie sympathique et empli de bonnes intentions, "10 jours en or", manquant de force et d'originalité, peine à s'affirmer.
Le Figaroscope
Un road movie sentimental qui ne convainc pas.
Le Journal du Dimanche
Franck Dubosc (...) met plein de bonne volonté à incarner ce VRP au grand coeur. Malgré de louables intentions, ce road movie manque d'enjeu et cède à tous les clichés, surlignés par des dialogues démonstratifs.
Metro
Franck Dubosc séduit par sa sobriété (en dépit) d'un scénario gavé de bons sentiments jusqu'à l'overdose.
Ouest France
(...) [Franck Dubosc] devra être mieux servi que par ce scénario à la recherche de son itinéraire, avec des personnages trop peu travaillés. Et une mise en scène dont la platitude lambine sur les routes de France avant de débarquer dans un terminus bien balisé.
Première
Le cheveu teint et le visage fermé, c'est un Dubosc inédit, tout en retenue, que l'on (re)découvre. Dommage alors que le scénario ne soit pas à la hauteur de sa méritoire prestation.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Télérama
Dans l'absolu, c'est plutôt une bonne idée : Franck Dubosc en VRP autocentré, qui ne sourit que dans l'exercice de son métier. On serait même tenté d'y croire (...). Mais comment pourrait-il réussir une reconversion dramatique avec un scénario pareil (...).
TéléCinéObs
Journées en or pour scénario de plomb, déroulant autour de Franck Dubosc, en quête de légitimité dramatique, les ficelles usées de la comédie sociale et familiale.