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    Au fond des bois
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    2,5
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    64 critiques spectateurs

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    cineccita
    cineccita

    46 abonnés 1 484 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 octobre 2010
    Un film très particulier et il faudra vous armer de patience pour découvrir un scénario. Même si certaines scènes nous laisse perplexe, l'ensemble vaut le détour.
    pierrepp
    pierrepp

    14 abonnés 301 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 octobre 2010
    étrange et sensuel, ce film envoute et représente un cinéma français d'extréme qualité. Isid Le Besco est possédée et magnifique !
    jeremie747
    jeremie747

    44 abonnés 484 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 19 octobre 2010
    Benoît Jacquot s'inspire ici d'un fait divers réel et étonnant. Au XIXè siècle, la fille d'un médecin de campagne est enlevée par un drôle de vagabond aux talents d'hypnotiseur. En terme d'action, il n'y a pas plus que cela : ces deux jeunes gens qui déambulent dans la campagne et qui baisent à la lumière d'un feu de camp, sans que l'on sache très bien s'il s'agit d'un viol ou d'un jeu. C'est ici que le film devrait trouver sa substance, dans le mystère qui entoure la question du consentement de la jeune fille. Est-elle vraiment hypnotisée ou prétend-elle l'être ? Se ment-elle à elle-même ou joue-t-elle la comédie pour pouvoir retrouver le cocon de la bourgeoisie sans risquer l'opprobre après sa petite escapade canaille ? Malheureusement, rien dans le jeu des acteurs ou la mise en scène ne réussit à transmettre ce trouble et le réalisateur, en prenant parti à la fin du film, détruit ce qui aurait pu rester de mystère dans son intrigue. D'un point de vue formel, il se contente de filmer en gros plans interminables le visage d'Isild le Besco, certes particulier mais surtout incroyablement inexpressif (et pour lequel il semble éprouver une fascination qu'on est loin de partager), puis celui de son ravisseur, plutôt plus intéressant. La beauté de certaines images, conçues comme des tableaux, et quelques idées intéressantes (notamment la langue étonnante, mélange de patois, d'espagnol et de latin, du vagabond) ne changent rien à l'affaire, on s'ennuie ferme.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 18 octobre 2010
    Ce film réussit alors le pari de devenir aussi magnétique que son personnage masculin principal. Pourtant il se dote de défauts comme beaucoup de répétitions ou quelques scènes inutiles qui cache la véritable teneur du film. Mais ce long-métrage aura fait son effet sur la longueur, et c'est bien là l'essentiel.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 18 octobre 2010
    J'ai trouvé ce film extrêmement malsain... Viol sur viol puis je t'embrasse... C'est le réalisateur qui est ambigu et qui nous perd dans une cauchemar ; non pas un film sur les dédales de la passion.
    De plus, la magie qui intervient dès le début ôte tout charme au film. A mon sens, il aurait été plus intéressant qu'elle s'enfuit avec lui pour on ne sait quelle raison et que le jeu amoureux fait aussi de violence s'installe après.
    Choquant, à vomir.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 5 décembre 2010
    Un petit chef d'oeuvre ! Le réalisateur nous mène par le bout du nez ... grâce à une histoire originale et le jeu réaliste et impressionnant du jeune acteur argentin. Croyances, mythologies, sorcelleries, ambiances chtoniennes ... le tout au cœur d'une splendide nature ardéchoise.
    Attention si pour certains les premières minutes du film peuvent prêter à sourire voire à partir, attendez un peu et laissez le sortilège agir ...
    On ne peut ressortir indemne de ce film ...
    La_Mort_Dans_L_Oeil
    La_Mort_Dans_L_Oeil

    28 abonnés 248 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 17 octobre 2010
    Après les sortilèges des jungles Thailandaises, nous voilà attirés et perdus au fin fond des bois bien de chez nous, dans une admirable chasse au Dahu (la question d'élucidation du degré de complicité, de consentement de Joséphine. Qui mystifie qui ?). Ensorcelant, drôle, vif, servi par des comédiens stupéfiants, précis, jusqu'aux plus petits rôles ; Isild Le Besco, objet de tous les désirs, parfait miroir opaque sur lequel projeter fantasmes, échos psychanalytiques et références cinéphiliques ; extraordinaire Nahuel Perez Biscayart, païen à souhait, faune fascinant au babil occitano-joycien. Un grand film d'une richesse jouissive, au scénario remarquablement écrit ; sélectionneurs de festival du monde entier, vous êtes passés à côté d'un bijou. Prix du scénario 2010 d'office !!
    islander29
    islander29

    864 abonnés 2 354 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 octobre 2010
    Si j'avais su je serais pas venu....Le film n'est pas très vivant et le jeu d'Isild Le Bescaud peut sembler immature tant elle s'exprime parfois avec un naturel presque enfantin...L'histoire est trop simple, un jeune hommme envoute une jeune fille et la kidnappe dans les bois...A partir de cela il ne se passe pas grand chose et ce ne sont pas quelques élans musicaux prétentieux qui m'attacheront à ce film...Plus un téléfilm qu'un film... j'oublierais bien vite...Au fond des bois...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 16 octobre 2010
    Un film troublant sur la séduction tourné dans des décors naturels magnifiques. Les relations entre la victime et son ravisseur sont assez ambigues.
    PhilippeToile
    PhilippeToile

    44 abonnés 740 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 octobre 2010
    Dans cette histoire d'une jeune fille de bonne famille qui part suivre un vagabond illettré et crasseux dans la France du 19è siècle, Benoît Jacquot pose une question sans y répondre: la passion charnelle relève-t-elle de l'envoûtement ? Son film se complait dans une ambiguïté très trouble, que les scènes de sexe entre viol et consentement viennent renforcer avec parfois quelques maladresses. Si le résultat est d'une force indéniable, l'absence de point de vue peut se révéler déroutant. Isild Le Besco, parfaite dans l'intériorité et la pâmoison, est moins convaincante dans les scènes d'hystérie. Nahuel Perez Biscayart se contente de rouler des yeux et de nous infliger un charabia franco-occitant totalement incompréhensible. Un film imparfait, dérangeant, mais qui ne laisse pas indifférent.
    traversay1
    traversay1

    3 579 abonnés 4 864 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 16 octobre 2010
    Difficile de donner un avis autorisé sur Au fond des bois, le dernier Benoît Jacquot quand : 1. On n'est pas en forme et on s'assoupit une bonne dizaine de minutes. 2. Les ricanements de certains spectateurs n'aident pas à prendre le film au sérieux.
    Isild Le Besco qui roule des yeux et joue nue la moitié du temps est horripilante. Quant à son petit camarade, Nahuel Perez Biscayart, il s'exprime dans une sorte de sabir occitano/latin qui rend quasi incompréhensible ses répliques.
    De quoi s'agit-il au juste ? De l'enlèvement d'une jeune fille de bonne famille par un homme des bois et de leur passion charnelle, qui tient autant du viol que de la relation consentante. Ce n'est pas très clair, cette affaire. Il utilise ses dons de magnétiseur pour séduire la fille et, en même temps, cette dernière pourrait bien être atteinte d'une forme d'hystérie. Le plus gênant, dans tout ça, est l'absence de point de vue de Jacquot dont la mise en scène est descriptive, dans une belle lumière et une atmosphère presque médiévale. Ah oui, les costumes sont très bien.
    Il y a 2 ou 3 scènes ridicules et gênantes avec Isild à 4 pattes, entre autres. On pense parfois à L'enfant sauvage de Truffaut ou au Gaspar Hauser de Herzog, mais juste un peu. La plupart du temps, on ne pense pas.
    Une oeuvre fruste (et non pas frustre, comme on entend dans le film) qui frustre.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 16 octobre 2010
    Film hypnotique. En effet, beaucoup plus riche que ce que l'on peut croire au premier abord. Deux acteurs sublimes.
    tixou0
    tixou0

    701 abonnés 1 999 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 octobre 2010
    Après la remarquable adaptation du contemporain "Villa Amalia" de Pascal Quignard (avec une excellente Isabelle Huppert) Benoît Jacquot revient au film en costumes (la scène est ici en 1865) et à Isild Le Besco (6 ième collaboration). Esthétiquement, c'est une réussite indéniable, mais cette histoire de séduction de la Belle par la Bête (ou l'inverse, ou les deux) laisse perplexe. Qu'a voulu montrer Jacquot (qui est aussi coscénariste) ? Une sorte d'amour monstre à la Pauwels dans une campagne arriérée où la sorcellerie est encore de mise ? Le sort de Joséphine était alors effectivement tout entier entre les mains de Timothée, le "magnétiseur". Mais il existe une autre piste, esquissée à la fin : la jeune fille a un lourd atavisme côté maternel, et à y regarder de plus près apparaissent chez elle certains signes cliniques de ce que Charcot, justement en 1865/1866, commence à étudier dans ses célèbres "Leçons" : l'hystérie.... Deux étoiles seulement pour cette longue errance "Au fond des bois", trop descriptive donc et sans point de vue clair du réalisateur. De plus, si le physique singulier d'Isild Le Besco colle admirablement au personnage qu'elle incarne (et compense son jeu monolithique), le jeune Argentin qui joue Timothée est extrêmement agaçant au niveau diction - même s'il s'exprime dans un mélange de son cru (occitan sans doute, mâtiné de français et même de latin) son personnage est supposé parler intelligiblement ; Nahuel Perez Biscayart, lui, ne sait pas articuler !
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 9 juin 2012
    Pendant la première heure vous assistez aux borborygmes incompréhensibles de Nahuel Perez Biscayart qui campe ici un homme mi sorcier, mi homme des bois, mi personnage sale et repoussant.Ce dernier déflore la jeune, vierge et pure héroine incarnée ici par Isild Le Besco qui envoutée par son magnétisme le suit à travers ce road movie forestier.Cet affreux personnage profite à de nombreuses reprises de sa proie.Pendant cette première phase on vous montre sous toutes les coutures ces ébats.Les scènes sont parfois génantes comme celle où Isild Le Besco se lave dans la rivière ses parties génitales.Dans la deuxième partie du film tombe dans une sorte de policier mélo où l'héroine reste sous le charme de son compagnon d'infortune qui finit en prison.Pour le reste le film est
    incompréhensible.C'est horrible Isild Le Besco est peu crédible en femme placée sous l'emprises d'un tiers, dixit la scéne où elle se met à quatre pattes et fait le tour de la pièce.Encore "une oeuvre" que j'appellerai pour se faire plaisir.En effet le réalisateur est bien loin de penser au public qui regardera son film.C'est de l'égoïsme cinématographique.Un grand beurk.....
    Laura B.
    Laura B.

    6 abonnés 94 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 15 octobre 2010
    Énorme déception ! Ne vous dérangez pas pour ce film, il n'en vaut franchement pas la peine.
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