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Un visiteur
0,5
Publiée le 26 septembre 2010
Aucun intérêt! Pas beau!je doute même que les homo vont apprécier. Je me suis sentis mal à l'aise et presque honteux d'avoir vu un pareil film. Je ne remercie pas l'équipe du grand journal de canal !
La bande annonce est 10 fois plus rythmé que le film; j'ai pas du tout été séduit par l'histoire; c'est trop expérimental, voire malsain parfois. Beaucoup de bruit pour rien ! Dommage car l'univers d'Honoré me plait bien habituellement. On a l'impression d'avoir un Lelouch qui prend un Tapie dans son film pour faire du buzz, au final y a pas de film même si Sagat est plutôt à l'aise. Dommage.
Rien de plus triste qu'une histoire d'amour qui s'achève, surtout lorsqu'on est homo et qu'on habite dans un HLM sinistre de Gennevilliers. Christophe Honoré tire de ce postulat un film jouissif, extrêmement drôle, simple et très risqué, profond et léger à la fois, complètement décalé et très réussi. Fantasme de film pornographique... La suite sur :
J'ai vu l'avant 1ere en présence de l'équipe du film, ou presque, dans un ciné parisien pour la retransmission du festival de Locarno. Dommage que l'équipe n'ait pas expliqué en introduction, suite au black-out survenu quelques minutes auparavant dans le ciné (?), la conception de ce film d'auteur à caractère indépendant. Absence de débat d'idées et de S.A.V. à la fin du film par l'équipe, et a fortiori du réalisateur. Au delà des thèmes non exhaustifs de la passion gay, plaisir-déplaisir, le moi-peau et l'individu en tant qu'être, prostitution masculine occasionnelle; plusieurs perspectives sur la banlieue et ses clichés, les relations entre groupes sociaux auraient mérité d'être explicitées. Un début plutôt cocasse (le ménage fait par François Sagat) qui pourrait laisser présager une histoire avec de multiples rebondissements, mais dont la partie NYC casse rapidement la dynamique (toutefois assez marrante avec Chiara Mastroiani: sondage électoral en France dans le taxi), puis plus tard dans le scénario: La Poste Gennevilliers qui passe pour has-been (F Sagat demandant l'envoi d'un télégramme vers NYC). Une conception de scénario, spécifique au ciné indépendant, qui manque a minima de cohérence et de consistance: de l'ennui rapidement. Le réalisateur a peut-être pris le parti d'exploiter l'image de F Sagat par le prisme de son physique (à défaut de lui avoir confié des répliques verbales) pour faire resortir des émotions intenses, j'ai eu le resentiment à certains moments d'une forme de malhonnêteté intellectuelle de la part du réalisateur (projet expérimental bon marché avant son prochain film ?). Indépendemment du scénario, l'acteur principal a une interprétation assez subtile des émotions et une créativité artistique visible à la fin du film. Homme au bain, pourquoi pas, un projet que seul le cinéma indépendant peut produire face à des films stéréotypés qui formatent l'esprit depuis des années.
Kezako que ce film ? Un film de débutant ou un recyclage d'un film érotique gay raté ? Un sous "Saló ou les 120 journées de sodome" á Gennevilliers. Ennuyant ,effarant ,c'est du grand n'importe quoi sur les plans ,le son et les dialogues ajoute au coté consternant de ce film.