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Le nouveau film de Brillante Mendoza nous saisit dès les premiers plans, qui semblent d'abord rejouer sur un mode aquatique l'époustouflante scène inaugurale de "Tirador" (2007), soit à ce jour le plus beau film du cinéaste philippin.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Brillante Mendoza filme caméra à l'épaule cette histoire inspirée de l'enlèvement de ressortissants étrangers par un groupe de terroristes musulmans. Un cinéma viscéral, captivant, empreint de violence, de sauvagerie sans être pour autant manichéen.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Si l'on accepte le désordre qui règne de bout en bout, inhérent au sujet, "Captive" devient un film à la fois formidablement évocateur et d'une intelligence politique aiguë.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Brilllante Mendoza poursuit sa description des rouages de la société philippine : une réussite grâce à la précision documentaire, implacable, passionnante, de la mise en scène.
Le cinéaste accuse au passage l'impuissance du gouvernement philippin, mais ce film, qui paraît à première vue moins percutant qu'à l'ordinaire, est pourtant au diapason des précédents.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
(...) rarement une fiction aura autant pris le visage du reportage (...) tout le talent du cinéaste est de réussir à ce que ce faux-semblant n'apparaisse jamais factice.
La critique complète est disponible sur le site Elle
[Mendoza] reste ici en deçà de son projet. Seul effet troublant: l'effroi d'Isabelle Huppert est si palpable qu'on ne sait plus si c'est son personnage ou elle-même qui le ressent.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Prenant le contre-pied d'un de ses précédents films, le splendide "Lola", dérive élégiaque au pays des morts, Mendoza reste entre deux eaux en s'essayant au cinéma d'action.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Dans un film captivant, le cinéaste philippin mélange fiction et documentaire, même s'il n'évite pas quelques clichés inhérents à ce type de situation.
D'un extrême à l'autre. Brillante Mendoza est capable de la plus grande délicatesse. (...) Mais il peut aussi être le cinéaste de "Kinatay", un insupportable polar d'horreur. Le voici qui mélange ses deux manières (...).
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Mais ce filme ne se résume pas à un crapahutage infernal, il se place sous l'angle du reportage-fiction, et donne corps à ces terroristes, plus intéressés par le papier vert des rançons que par les pages du Coran.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
(...) "Captive" porte mal son titre puisqu'il ne s'attache pas tant au parcours d'une personne qu'à celui d'un groupe dont Huppert, bien qu'habitée, peine à émerger.
La critique complète est disponible sur le site Première
Hélas, le choc des premières images ne tient pas sur la durée. Tout simplement parce que les tendances de plus en plus prononcées à la surenchère et au manichéisme s'expriment au détriment de l'efficacité. A l'arrivée, c'est impressionnant mais très maladroit.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Le film ne trouve pas son ancrage dans la réalité philippine, parasité par la conscience que Mendoza a justement de faire un film sur cette réalité. (...) "Captive" vaut au fond beaucoup plus comme un documentaire sur son propre tournage et sur l'enlèvement d'une actrice par son cinéaste.
Tout ce qui fonctionnait dans "Kinatay" vire ici au précédé un peu roublard, entre volonté affichée de ne pas céder aux sirènes des ficelles hollywoodiennes et le désir, malgré tout, d'en retrouver la puissance d'édification. (...) Un film mou, répétitif et flanqué d'un manichéisme qui se croit subtil.
La critique complète est disponible sur le site Charlie Hebdo
Un projet pour le moins inabouti qui, à vouloir courir plusieurs lièvres à la fois, se retrouve lesté d'une psychologie de comptoir qui prive chaque situation du trouble de cette expérience extrême.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Brillante Mendoza se lance dans un récit interminable (...) L'impression du grotesque culmine quand Isabelle Huppert surjoue la panique ou l'attention aux autres, sans parler des dialogues qui se résument à des cris de terreur.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Inrockuptibles
"Captive" est un film plein, riche, extrêmement bien exécuté.
Libération
Le nouveau film de Brillante Mendoza nous saisit dès les premiers plans, qui semblent d'abord rejouer sur un mode aquatique l'époustouflante scène inaugurale de "Tirador" (2007), soit à ce jour le plus beau film du cinéaste philippin.
Le Figaroscope
Brillante Mendoza filme caméra à l'épaule cette histoire inspirée de l'enlèvement de ressortissants étrangers par un groupe de terroristes musulmans. Un cinéma viscéral, captivant, empreint de violence, de sauvagerie sans être pour autant manichéen.
Le Monde
Si l'on accepte le désordre qui règne de bout en bout, inhérent au sujet, "Captive" devient un film à la fois formidablement évocateur et d'une intelligence politique aiguë.
Le Parisien
Immergée dans une mise en scène au plus proche du réel, Isabelle Huppert (...) est une nouvelle fois épatante.
Les Fiches du Cinéma
Brilllante Mendoza poursuit sa description des rouages de la société philippine : une réussite grâce à la précision documentaire, implacable, passionnante, de la mise en scène.
Metro
Un cocktail tristement explosif pour un portrait brutal de notre temps.
TéléCinéObs
Le cinéaste accuse au passage l'impuissance du gouvernement philippin, mais ce film, qui paraît à première vue moins percutant qu'à l'ordinaire, est pourtant au diapason des précédents.
Télérama
Le casting est inégal. Et Mendoza survole un peu vite certains personnages. Mais on est captivé par cette singulière aventure humaine.
Ecran Large
Un traitement efficace mais une frustration prégnante du fait d'une prise de position inexistante que l'on perçoit plus par défaut que par choix.
Elle
(...) rarement une fiction aura autant pris le visage du reportage (...) tout le talent du cinéaste est de réussir à ce que ce faux-semblant n'apparaisse jamais factice.
L'Express
[Mendoza] reste ici en deçà de son projet. Seul effet troublant: l'effroi d'Isabelle Huppert est si palpable qu'on ne sait plus si c'est son personnage ou elle-même qui le ressent.
L'Humanité
Prenant le contre-pied d'un de ses précédents films, le splendide "Lola", dérive élégiaque au pays des morts, Mendoza reste entre deux eaux en s'essayant au cinéma d'action.
L'Obs
"Captive" aurait gagné sans doute à être quelque peu resserré.
Le Journal du Dimanche
Dans un film captivant, le cinéaste philippin mélange fiction et documentaire, même s'il n'évite pas quelques clichés inhérents à ce type de situation.
Ouest France
D'un extrême à l'autre. Brillante Mendoza est capable de la plus grande délicatesse. (...) Mais il peut aussi être le cinéaste de "Kinatay", un insupportable polar d'horreur. Le voici qui mélange ses deux manières (...).
Paris Match
Mais ce filme ne se résume pas à un crapahutage infernal, il se place sous l'angle du reportage-fiction, et donne corps à ces terroristes, plus intéressés par le papier vert des rançons que par les pages du Coran.
Première
(...) "Captive" porte mal son titre puisqu'il ne s'attache pas tant au parcours d'une personne qu'à celui d'un groupe dont Huppert, bien qu'habitée, peine à émerger.
TF1 News
Hélas, le choc des premières images ne tient pas sur la durée. Tout simplement parce que les tendances de plus en plus prononcées à la surenchère et au manichéisme s'expriment au détriment de l'efficacité. A l'arrivée, c'est impressionnant mais très maladroit.
20 Minutes
Hélas, le cinéaste semble avoir été submergé par sa matière filmique.
Cahiers du Cinéma
Le film ne trouve pas son ancrage dans la réalité philippine, parasité par la conscience que Mendoza a justement de faire un film sur cette réalité. (...) "Captive" vaut au fond beaucoup plus comme un documentaire sur son propre tournage et sur l'enlèvement d'une actrice par son cinéaste.
Charlie Hebdo
Tout ce qui fonctionnait dans "Kinatay" vire ici au précédé un peu roublard, entre volonté affichée de ne pas céder aux sirènes des ficelles hollywoodiennes et le désir, malgré tout, d'en retrouver la puissance d'édification. (...) Un film mou, répétitif et flanqué d'un manichéisme qui se croit subtil.
Critikat.com
Un projet pour le moins inabouti qui, à vouloir courir plusieurs lièvres à la fois, se retrouve lesté d'une psychologie de comptoir qui prive chaque situation du trouble de cette expérience extrême.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
La Croix
Brillante Mendoza se lance dans un récit interminable (...) L'impression du grotesque culmine quand Isabelle Huppert surjoue la panique ou l'attention aux autres, sans parler des dialogues qui se résument à des cris de terreur.
Positif
L'ensemble est plat, bancal, sans style, visuellement indigent. Et, enfin, d'une naïveté qui frise parfois l'ineptie.