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    Stoker
    Note moyenne
    3,4
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    518 critiques spectateurs

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    sunshine1
    sunshine1

    99 abonnés 442 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 6 mai 2013
    La réalisation de Park Chan-wook est irréprochable ........La direction artistique est sublime avec une ambiance lourde , poisseuse, quelque plans onirique et des acteurs au sommet de leur art...........
    Park Chan-wook est un pure créateur de cadrages envoutant vertigineux mais le scénario manque de folie , ou de malsain pour marquer le spectateur .........le scénario est trop simpliste et quelque intrigues sont stupide ,pas du tout ingénieux avec un final archi revue .........
    Pour info Park Chan-wook n a pas écrit le scénario ..........
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 6 mai 2013
    (...) Si Park Chan-Wook a toujours revendiqué Vertigo comme film de chevet, et ainsi rêvé de son grand film hommage au maître du suspens, il faut dire qu’Hollywood le désirait tout autant depuis le triomphe d’Old Boy. Stoker soulève ainsi le problème de l’exportation de ces cinéastes coréens, nouvelles superstars du cinéma mondial. On a ainsi vu le grand retour de Swarzy orchestré par Kim Jee-woon (2 sœurs, le Bon la Brute et le Cinglé, J’ai rencontré le diable) dans le Dernier Rempart et on verra cet été Tilda Swinton et Chris Evans dirigés par Bong Joon-ho (l’immense The Host, l’inoubliable Mother) dans l’adaptation du roman graphique français Le Transperceneige. La question est donc bien : la greffe a t-elle prise ?

    Évitons tout suspens hitchcockien : Stoker est une flamboyante réussite. Plutôt que d’importer vainement tout son univers en terre inconnue, comme l’avait fait un certain Wong Kar-Wai avec sa tarte aux myrtilles, Park Chan Wook impose plutôt son directeur de la photographie attitré, Chung Chung-hoon, et accepte un scénario étranger. Il suffit ensuite d’exploiter au mieux ce dernier, de mettre en œuvre son inimitable mise en scène, et, finalement, de s’approprier un univers nouveau.

    Si Park Chan-Wook ne maitrise pas la langue anglaise, nul doute que le cinéma américain et la culture occidentale lui sont bien moins étrangers. (...

    La suite sur mon blog !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 6 mai 2013
    Lentement entraîné dans la noirceur presque implacable du film, vous comprenez la place de chacun des personnages. Petit à petit ,
    arrive le dénouement qui non content de vous apportez les réponses que vous attendez, vous transporte dans ce mal presque ordinaire. Dés lors la petite fille ce fait fauve, l'oncle devient impitoyable et la mère est perdue. Seul
    petit bémol à ce scénario tortueux et d'une efficacité redoutable, le réalisateur aurait du choisir sa catégorie.Là on oscille entre le thriller et le film d'épouvante saupoudré de petites scènes gores.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 3 juin 2013
    Quand l'angoisse se mêle au malsain, ça donne Stoker. HEADLe film ecrit par Wentworth Miller a l'apparence d'un film normal. Sauf qu'il ne l'est pas. Dès le début, des flashbacks apparaissent, puis des flashforward et on reste étonné. HEADAu fur et à mesure, l'ambiance devient de plus en plus glauque et malsaine. On reste estomaqué par moments. Puis on recommence à se demander. HEADL'avant-fin puis la fin sont époustouflantes. On reste sans voix. HEADHEADDu début à la fin, Nicole Kidman réussit à nous faire rire (à l'anglaise) et sa fille nous intrigue au plus haut point. HEADCe couple mère-fille peu conventionnel étonne par son jeu merveilleux. HEADHEADUn très très bon film, dans la lignée des "Autres", toujours avec la rousse froide mais malicieuse qu'est Nicole Kidman.
    Nicolas D.
    Nicolas D.

    56 abonnés 11 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 mai 2013
    Ce film est une merveille. C'est exactement pour ce genre d'oeuvres que j'aime autant le cinéma.
    reymi586
    reymi586

    470 abonnés 2 444 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 mai 2013
    Un face à face très intéressant entre Mia Wasikowska et Matthew Goode qui jouent très bien leur rôle. Le réalisateur Sud-Coréen fait ce qu'il veut du spectateur et arrive à nous surprendre. J'ai trouvé le scénario vraiment pas mal foutu. Le film ne restera pas dans les annales mais on passe quand même un très bon moment !
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 6 mai 2013
    Petit film d'un cinéaste très surestimé. Les beaux moments du film arrivent, par miracle, quand Park Chan-wook renonce à sa belle maîtrise et à son fétichisme pour examiner ce qui se passe entre ses acteurs.
    Voir l'intégralité de ma critique sur mon blog
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 5 mai 2013
    Franchement J'ai du chercher pour le voir pcq il passé pas dans tout les ciné .. Ba j'comprend mieux pk pcq ces un film un peu bizzar avec une ambiance bizzar , Nicole Kidman joue super bien par contre comme d'habitude d'ailleur ! Mais bon j'mattendé a mieux
    dominique P.
    dominique P.

    836 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 5 mai 2013
    Film lent, ennuyeux, mais surtout très dérangeant et pénible.
    On comprend la grande névrose de l'oncle Richard (ce qui s'est passé durant son enfance et ensuite la vie qu'il a eu jusqu'à la mort de son frère) et aussi les raisons pour lesquelles il commet de tels actes mais sincèrement c'est un film malsain.
    Aputeaux
    Aputeaux

    3 abonnés 11 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 5 mai 2013
    je suis gentille sur la note que dire, !!!!! rien plat mou aucun intérêt je ne comprend pas les critiques !
    covus
    covus

    7 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 5 mai 2013
    Aucune intrigue digne de ce nom, tout est cousu de fil blanc... Tout ça pour ça! Dommage car la bande annonce du film s'annonçait prometteuse...
    Christophe R
    Christophe R

    29 abonnés 465 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 mai 2013
    "Stoker" est un film esthétiquement superbe : tout est beau et réussi, sur ce plan là, du début à la fin du film. Les plans sont beaux, les acteurs sont bons, les décors et les séquences sont cousus de dentelle. Un film beau, et en ce sens pleinement réussi. Le seul bémol, et il est de taille, est l'histoire du film : "Stoker" est présenté comme une film d'épouvante / drame / horreur... sauf que non ! C'est un film sublime, mais avec une histoire insuffisante (peu import d'ailleurs la catégorie dans laquelle ranger ce film). Vraiment dommage car tout était là... sauf le scénario !
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 5 mai 2013
    Gloup ! Comment un même réalisateur peut-il réaliser Old boy et Stroker ? Rien n'est crédible dans ce film et l'ennui arrive rapidement. Nous sommes soumis à une succession de clichés, jusqu'au jeu sans surprise de Nicole Kidman qui répète les mêmes scènes de films en films. Aucun parti pris n'a orienté le scénario, tout est hésitant… Thriller, film d'horreur, érotico-rigolo ! Seule Mia Wasikowska démontre qu'elle est une très bonne comédien… ce que Nicole Kidman n'est plus. snif !
    selenie
    selenie

    6 241 abonnés 6 184 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 mai 2013
    Le réalisateur coréen du culte "Old Boy" se lance dans l'aventure hollywoodienne. Une gageure lorsqu'on compare avec ses prédecesseurs asiatiques (John Woo en premier lieu). D'après un scénario de Wentworth Miller connu pour être l'acteur de la série "Prison Break" on peut dire que l'association des deux est déjà un paramètre étonnant et original. Park Chan-Wook avait prévenu et assumé le fait que son film serait très référencé et on constate très vite qu'effectivement on pense à Hitchcock quasi tout le film. Assumé assurément puisque le réalisateur place des clins d'oeil et autres hommages de façon très clair ; les plans de la douche, le choix de l'oncle qui ramène au film "L'ombre d'un doute", l'atmosphère oppressant et malsain... etc... La mise en scène reste particulièrement millimétré, offrant des scènes formellement sublimes digne de tableaux de maitre. Le travail sur les décors et les costumes sont extrêmement soignés. Le travail sur la musique et le son est tout aussi impressionnant ; il est d'ailleurs amusant de remarquer que la chef déco (Thérèse DePrez) et le compositeur (Clint Mansell) sont des habitués du réalisateur Darren Aronofsky ("Black Swan"). Le tout enveloppé par une photographie de toute beauté (6ème film avec Park Chan-Wook pour Chung-Hoon Chung). Il n'y a pas à tergiverser, l'écrin est splendide et impose sa perfection au vice et au macabre récit. L'histoire de cette famille (Stoker comme Bram Stoker aurteur de "Dracula") dysfonctionnelle est fascinante car les personnages intriguent (surtout la mère et la fille) et que on reste envoûté par l'élégance vénéneuse dans lequel on regarde ainsi ce ballet macabre. Le seul réel soucis c'est que de vénéneux, crapuleux, la violence comme l'érotisme Park Chan-Wook en offre mais reste bien en-deça de ces films "maison". Au final ce thriller est tout en suggestion, il n'est pas assez sulfureux pour atteindre le niveau de la claque qu'on attend (et à laquelle on avait droit !). Un excellent et grand film mais il aurait atteint une autre dimension avec plus d'audace et de panache.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 5 mai 2013
    Ecrit par Wentworth Miller, acteur dans Prison Break, Stoker est le premier film à Hollywood de Park Chan-wook. On comprend pourquoi le cinéaste de Old Boy s’est arrêté sur ce scénario là. On y retrouve ses thèmes de prédilection : une histoire de famille, de vengeance et de cruauté.
    Le film est une boucle. Les images du début ne prennent leur sens qu’à la fin. On y voit une fleur blanche et rouge et une jeune fille, India, les jambes nues, l’herbe caressant ses mollets. La lumière du soleil et les couleurs donnent à la scène un caractère très éthéré. Pourtant, India est loin d’être une jeune fille en fleurs. En voix off, elle nous explique qu’elle est différente, qu’elle voit et ressent des choses que les autres ne voient et ne ressentent pas, et que nous ne sommes pas responsables de ce que nous sommes. Tout au long du film, la caméra de Park Chan-wook s’applique à suivre les perceptions et les sensations de son personnage. D’où une suite de gros plans, de détails et de plans subjectifs pour nous faire pénétrer dans l’univers d’India.
    Park Chan-wook est clairement influencé par Hitchcock. Mais là où les films d’Hitchcock suggéraient, Stoker montre trop, à grands coups de montage parallèle (comme dans la scène d’India sous la douche). Il souligne trop (le mouvement de l’ange pour illustrer le thème de la répétition et du double par exemple). Tout est calculé, rien n’est mystérieux.
    Le film commence alors qu’India vient de perdre son père, mort dans des circonstances étranges. À l’enterrement, elle est la seule à apercevoir un homme, en retrait, qui observe la cérémonie. Elle le revoit chez elle et apprend que c’est son oncle dont elle ignorait l’existence et qui vient s’installer avec elle et sa mère (Nicole Kidman, ravagée par le botox). L’ambiance familiale est pesante, entre le mutisme d’India et l’égoïsme de sa mère. Le rythme est lent, sans accélération, c’est un rythme adapté à des personnages froids et impassibles. Tous les ingrédients atemporels du drame bourgeois dans la famille dysfonctionnelle sont là : le jardin bien entretenu, les serviteurs, le piano, l’immense table en bois massif autour de laquelle on fait semblant de sourire et de converser, etc. La maison est coupée en deux, en haut, les apparences, où tout est lumineux, beau, riche, en bas, la cave, sale, mal éclairée, malsaine. Le film est d’ailleurs une avalanche de métaphores et de symboles mis les uns à la suite des autres (l’araignée, les chaussures, les yeux d’India, les cheveux de la mère, le morceau de piano à quatre mains, etc.).
    Avec ses lunettes et son sourire ravageur, l’oncle Charlie vient, à la manière de Terence Stamp dans Théorème, faire éclater les apparences et surgir les désirs. Mais Pasolini questionnait et dérangeait, alors que le maniérisme de Park Chan-wook ne suscite aucune émotion.
    Mais le problème du film au final, ce n’est pas tant la réalisation de Park Chan-wook que le scénario de Miller. C’est une gageure que de faire en sorte que le spectateur s’attache à des personnages abjects et immoraux. The Killer Inside Me y était arrivé grâce à une voix off qui construisait le personnage et le rendait vivant et presque sympathique. Dans Stoker, malgré les efforts de Park Chan-wook pour nous restituer les émotions d’India, on ne s’identifie pas, on n’éprouve rien pour les personnages, et donc on n’est pas dérangé, on n’a pas à se situer, ni à interroger notre regard.
    India, c’est Mercredi Addams qui aurait grandi mais qui ferait toujours autant la gueule. C’est une sorte d’Alice qui entre dans le monde de la folie et qui ne veut plus en ressortir. On assiste à son apprentissage, à sa lente transformation, ou plutôt à une lente éclosion de ce qui était toujours là, en germe. Car finalement ce que dit le film, c’est que la violence, comme la couleur des yeux, se transmet dans les gènes. On naît bon ou mauvais, c’est dans le sang. Mouais. Dans La famille Addams c’était drôle. Mais le problème avec ce genre d’idées, outre les implications morales, c’est que c’est dur de faire un thriller avec. Si la violence et la cruauté sont ataviques, alors tout est prévu à l’avance, il n’y a pas ou peu de surprises, et on s’emmerde. Et c’est bien ce qu’il se passe avec Stoker.
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