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Votre avis sur Stoker ?
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Excellent film d ambiance, le ton peut apparaître un peu lent au début mais on comprend vite qu il ne s agit pas d un thriller hyper vitamine classique, bien plutôt un film de style dans le quel il faut entré
film carrément décevant, malgré que je n"ai pas tout compris. La jeune actrice est exelente.
Un film fascinant par l'ambiance et l'atmosphère qui s'en dégage. Les acteurs (Mia Wasikowska, Matthew Goode magnifiques dans leurs sôles) sont comme au ralenti, tout en poses et jeu de mouvements langoureux. Les thèmes abordés sont très sombres, tout le comme le scénario plutôt intéressant et la photographie sublime le tout. Une arrivée aux USA réussie pour Park Chan-wook.
une bonne surprise ! par les temps qui courent les films fantastiques originaux sont trop rares pour qu'on boude notre plaisir, voilà une petite réussite
L'univers américain ne convient pas au réalisateur coréen ! Le même film avec des acteurs asiatiques en Corée aurait été probablement plus réussi. Ici tout est artificiel, le scénario cousu de fil blanc et l'atmosphère juste ennuyeuse. Nicole Kidman ressemble de plus en plus à une poupée gonflable et l'abus de botox l'oblige à grimacer pour exprimer la moindre émotion. À vouloir trop styliser son film, le réalisateur désincarne les personnages et enlève toute inquiétude, ce qui est dommage pour un thriller.
Pas du tout emballé par ce film, on ne ressent aucune empathie en vers les personnages du coup il est quasiment impossible d'apprécier le film. Malgré tout beaux effets visuels.
Le trio d’acteurs nous aspire dans une histoire de famille certes assez banale dans le cinéma mais tellement ensorcelante que l’on se sent hypnotisé du début à la fin. Remarquable travail de mise en scène et d'ambiance
Un petit bijou, les mêmes qualités esthétiques que son premier film "old Boy",chaque plan est ultra léché , raffiné . De plus les comédiens sont supers . Et leur look d'un chic absolu . La grande classe.
Park est allé chez les ricains leur donner une pure leçon de mise en scène. Essai transformé, le coréen du sud rétame le savoir-faire étasunien, l'ancien dominateur de son pays, juste pour le plaisir, le notre. Son Stoker est à voir comme une pochade sincèrement agréable, une série B stylisée, élevée avec classe jusqu'au statut d'objet esthétique non identifié, à ne pas identifier, car juste créé pour notre divertissement, sans compromis; là encore, mission accomplie. La tentation d'aller se mesurer au système hollywoodien s'étant concrétisée gagnante, Park ne peut que retourner en Corée, nous faire un nouveau JSA, plus complexe et ambitieux que tous les Stoker qu'il pourrait faire au pays de l'oncle Sam. Sinon tout génie qu'il est le système le mangera comme il a digéré à jamais les talentueux frères thaïlandais Pang.
Encore un bon film du réalisateur d'Old Boy, tout semble parfaitement maitrisé et orchestré. C'est bien joué, la réalisation est excellente, la musique omniprésente, Park Chan-wook nous emmène où il veut. Il y a bien quelques petites longueurs, mais elles servent l'ambiance générale du film. Une réussite !
Moins dérangeant, moins incroyable qu'Old Boy, Stoker installe cependant un climat de tension palpable tout en conservant une recherche esthétique qui est la marque de fabrique de son réalisateur. Pour cet opus hollywoodien, il reste une forme de transgression dans l'attraction des protagonistes pour la violence et la démesure. J'ai particulièrement été sensible à la mise en scène et au jeu impeccable du trio principal. Le scénario n'est pas en soi d'une originalité folle (on pense notamment à la série Dexter) mais le plaisir formel est au rendez-vous, sans oublier une bande son inspirée.
Voila la nouvelle soupe franco britannique américano coréenne......C'est devenue une mode puisque les metteurs en scène brillants dans leurs pays sont désormais contraints de tourner dans des pays plus lucratifs....
Ne vous étonnez pas donc du prochain potage franco iranien de Ashgar Farhadi (metteur en scène du sublime la séparation)....
Le cinéma, le cinéma d'auteur y perd son âme et plus encore....
Et c'est bien le cas dans ce film de Park chan Wook, qui n'a aucune identité, qui mélange tous les genres et dont le scénario sonde le vide....
Reste l'aspect formel du film, très artificiel et lui aussi s'abonnant à la banalité du genre....
J'ai pensé en le voyant à un film britannique des années 70......
Tout est abordé et rien n'est approfondi, ni l'horreur, ni le policier, li le frisson, ni le drame, ni quoi que soit en fin de compte....
Reste le jeu d'acteur de l'actrice principale qui empêche le naufrage de cette véritable galère où Nicole Kidman fait de la promotion et encaisse un chèque malgré une interprétation que je qualifierais de mauvaise.....Je n'ai pas aimé....
Ne vous étonnez pas donc du prochain potage franco iranien de Ashgar Farhadi (metteur en scène du sublime la séparation)....
Le cinéma, le cinéma d'auteur y perd son âme et plus encore....
Et c'est bien le cas dans ce film de Park chan Wook, qui n'a aucune identité, qui mélange tous les genres et dont le scénario sonde le vide....
Reste l'aspect formel du film, très artificiel et lui aussi s'abonnant à la banalité du genre....
J'ai pensé en le voyant à un film britannique des années 70......
Tout est abordé et rien n'est approfondi, ni l'horreur, ni le policier, li le frisson, ni le drame, ni quoi que soit en fin de compte....
Reste le jeu d'acteur de l'actrice principale qui empêche le naufrage de cette véritable galère où Nicole Kidman fait de la promotion et encaisse un chèque malgré une interprétation que je qualifierais de mauvaise.....Je n'ai pas aimé....
(...) Si Park Chan-Wook a toujours revendiqué Vertigo comme film de chevet, et ainsi rêvé de son grand film hommage au maître du suspens, il faut dire qu’Hollywood le désirait tout autant depuis le triomphe d’Old Boy. Stoker soulève ainsi le problème de l’exportation de ces cinéastes coréens, nouvelles superstars du cinéma mondial. On a ainsi vu le grand retour de Swarzy orchestré par Kim Jee-woon (2 sœurs, le Bon la Brute et le Cinglé, J’ai rencontré le diable) dans le Dernier Rempart et on verra cet été Tilda Swinton et Chris Evans dirigés par Bong Joon-ho (l’immense The Host, l’inoubliable Mother) dans l’adaptation du roman graphique français Le Transperceneige. La question est donc bien : la greffe a t-elle prise ?
Évitons tout suspens hitchcockien : Stoker est une flamboyante réussite. Plutôt que d’importer vainement tout son univers en terre inconnue, comme l’avait fait un certain Wong Kar-Wai avec sa tarte aux myrtilles, Park Chan Wook impose plutôt son directeur de la photographie attitré, Chung Chung-hoon, et accepte un scénario étranger. Il suffit ensuite d’exploiter au mieux ce dernier, de mettre en œuvre son inimitable mise en scène, et, finalement, de s’approprier un univers nouveau.
Si Park Chan-Wook ne maitrise pas la langue anglaise, nul doute que le cinéma américain et la culture occidentale lui sont bien moins étrangers. (...
La suite sur mon blog !
Évitons tout suspens hitchcockien : Stoker est une flamboyante réussite. Plutôt que d’importer vainement tout son univers en terre inconnue, comme l’avait fait un certain Wong Kar-Wai avec sa tarte aux myrtilles, Park Chan Wook impose plutôt son directeur de la photographie attitré, Chung Chung-hoon, et accepte un scénario étranger. Il suffit ensuite d’exploiter au mieux ce dernier, de mettre en œuvre son inimitable mise en scène, et, finalement, de s’approprier un univers nouveau.
Si Park Chan-Wook ne maitrise pas la langue anglaise, nul doute que le cinéma américain et la culture occidentale lui sont bien moins étrangers. (...
La suite sur mon blog !
Mise en scène parfaite, photographie époustouflante, effets sonores magistraux mais disons qu il manque encore un petit quelque chose
Seule la mise en images talentueuse sauve le film. J'ai lutté pour ne pas m'endormir. Des longueurs, et pourtant des personnages pas assez travaillés. Des incohérences, bref une déception!
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