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C'est par l'entrelacement de ces multiples niveaux d'écriture et la charge ambiguë des plans que le film, même mineur, dépose son empreinte délicate, jusqu'à une fin simple et bouleversante qui fait de l'hiver, enfin, un terrain de jeu.
Tel la "pierre" du sport éponyme, "Curling" semble ne pas se décider à atteindre le bout de sa course monotone, et n'y parvient qu'en perdant lentement son énergie.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Libération
"Curling" s'élève au rang des bijoux vus cette année. Saisissant.
Cahiers du Cinéma
C'est par l'entrelacement de ces multiples niveaux d'écriture et la charge ambiguë des plans que le film, même mineur, dépose son empreinte délicate, jusqu'à une fin simple et bouleversante qui fait de l'hiver, enfin, un terrain de jeu.
L'Humanité
Un film tout en nuances, singulier, pour spectateur attentif.
La Croix
Denis Côté nous installe dans une étrange rêverie et un singulier plaisir de cinéma. On en redemande.
Le Monde
"Curling" est un film ouvert et mystérieux (...). On ne voit pas un tel travail cinématographique tous les jours.
Les Inrockuptibles
Un huis clos mystérieux entre un père et sa fille, par un passionnant et méconnu cinéaste québécois.
Positif
L'espace est composé d'humeurs et d'ambiances déroutantes, douloureusement caustiques. Une expérience de cinéma aux confins de l'aridité.
Première
"Curling", cinquième long du Québécois Denis Côté, manie l'étrange et l'ellipse.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live
Télérama
Un vrai charme émane de ce film sombre et curieusement aveuglant, comme la neige omniprésente.
Critikat.com
Tel la "pierre" du sport éponyme, "Curling" semble ne pas se décider à atteindre le bout de sa course monotone, et n'y parvient qu'en perdant lentement son énergie.
Excessif
Denis Côté est un cinéaste inégal. (...) plus le film avance, moins il séduit.