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    360
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    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 21 août 2012
    Plutôt déçue, même si on sait que c'est un scnério qui va forcement on peut le dire "tourner en rond" déjà sur ce point c'est déjà pas marrent, mais on était prévenu. Mais on rajoute à cela un contenu vide, peu voir aucun rembondissement, on s'ennuie pas mal à cause du manque d'action. Bon allez deux étoiles pour Jude Law le reste est totalement décevant !
    Caine78
    Caine78

    6 693 abonnés 7 398 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 août 2012
    Toujours étonnant de voir un film intéressant caché à une partie de la presse : c'est précisément le cas de « 360 », dernière œuvre en date de Fernando Meirelles. Alors vous dire que cette nouvelle adaptation de « La Ronde » d'Arthur Schnitzler, déjà abordé au cinéma par Max Ophüls en 1950, est une réussite totale serait mentir. Elle est même probablement l'œuvre la moins aboutie de son auteur, et assurément la moins marquante. Il faut dire que certains aspects sont autant d'atouts que de faiblesses, à l'image des nombreux personnages qui composent ce cercle infini. D'un côté il est plaisant de voir des héros « normaux », quotidiens, n'ayant rien d'exceptionnel et permettant une identification, un attachement plus facile. Mais c'est aussi un peu cela le problème : à partir du moment où ces gens n'ont pas grand-chose d'extraordinaire, ils ne leurs arrivent rien qui puisse nous bouleverser, nous passionner. Cela ne veut pas dire que le résultat est ennuyeux : le réalisateur parvient à rendre la tournure des événements parfois intrigante, et le lien souvent invisible entre les différentes personnes composant le récit a beau être parfois tiré par les cheveux, on y croit, la démonstration restant suffisamment bien faite pour rester cohérente. Cohérent, le casting ne l'est pas totalement et s'avère inégal, malgré de bonnes surprises : Anthony Hopkins a enfin compris que l'on pouvait jouer sobrement, tandis que Ben Foster confirme son impressionnant talent dans un rôle d'ex-délinquant sexuel pourtant chargé. Bref, si certains reprocheront (pas totalement à tort) à l'œuvre d'être un peu vaine et morale, cette dernière garde une belle tenue formelle et un sens de la narration la rendant fréquentable, surtout au vue de sa médiocre réputation. Honnête.
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 328 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 septembre 2012
    Aller voir des films sans rien en savoir (ou peu) ça a ses avantages, mais parfois ça peut aussi avoir ses gros inconvénients, comme j'ai pu le découvrir avec ce "360". La seule chose que je savais, c'est que c'était un film de Fernando Meireilles avec Ben Foster. Mais vu que le film commence sans titre, sans nom d'acteur ni de réalisateur affichés, il m'a bien fallu 10 minutes avant de me convaincre que j'étais bien dans la bonne salle (je ne comprends pas cette démarche, mais bon, je vais en faire un fromage non plus.) A dire vrai, savoir que Meireilles était aux commandes était la seule chose qui m'avait intrigué dans ce film. Pourtant, le début m'a un peu fait déchanter. Ça commence avec une fille de l'est prête à devenir une Escort Girl pour vivre. Bref, ça sentait la grosse fibre sociale... J'ai eu très peur. Style épuré, photographie réaliste, refus de la musique : nouvelle peur... Au bout d'un moment, le film commence à passer d'un personnage à un autre : film chorale. L'angoisse est désormais clairement là car je trouve que c'est vraiment un genre casse-gueule dans lequel peu s'en sont sortis. Eh bah comme quoi un bon réalisateur peut faire la différence : pas un seul instant je me suis ennuyé. Certes le film brasse du social, mais il ne se limite pas qu'à ça et ne s'en lamente jamais. Au contraire, Meireilles prend tout de suite les personnages pour les travailler et les faire évoluer. On n'est pas ici dans le film européen lambda où le personnage reste là, inerte, pour qu'on se lamente sur lui, sans aucune évolution. J'hallucine d'ailleurs que beaucoup de films pensent qu'on peut se dispenser de créer des personnages dynamiques. Ce "360" créé clairement un parcours évolutif pour chacun des personnages et rien que pour ça, c’est du bon. Surtout que l'ami Fernando s'est fait un nom depuis et il sait s'entourer pour donner vie à tout ça. Le casting est un régal. Effectivement, quand on donne à manger à des acteurs d'exception, ça à l'air d'être facile de faire un bon film. Ici, en l'occurrence, je n'ai rien à redire. Peut-être que Jamel Debbouze est un petit peu en dessous du reste, par contre Anthony Hopkins et Ben Foster sortent clairement du lot par leur charisme et la puissance de leur interprétation. D'ailleurs, le film gère plutôt bien l'emboîtement de ses histoires les unes dans les autres, ce qui est pour moi l'un des deux gros pièges du film chorale à éviter. L'autre piège pour moi c'est l'inégalité des histoires racontées. Là encore le film s'en sort bien. Je n'ai jamais vraiment senti de moments mous, même si j'avoue que certains passages ont suscité davantage d'émotions que d'autres (désolé, mais je reviens encore sur le passage avec Ben Foster, Anthony Hopkins, et la petite Maria Flor, mais j'ai trouvé l'enjeu de ces personnages vraiment captivants). Enfin, pour ce qui est de la réalisation, bien qu'épurée, elle n'en est pas pour autant dénuée d'idées ni d’intérêt. Elle est même assez gracieuse parfois et rend le film très riche de sens et agréable à regarder. Bref, bien que pas friand du tout de ce genre de film, j'avoue qu'entre les mains de Meireilles, ce "360" est passé comme du petit lait me concernant. Bien évidemment, le problème avec ce genre de film c’est qu'il est assez inégal par rapport à ce qu'il raconte et perd aussi de sa portée sur son final à cause de son intrigue trop hachée. C'est peut-être d'ailleurs le seul reproche que je pourrais lui faire, mais peut-on vraiment reprocher à un film de ne pas être parvenu à devenir un chef d'œuvre ? Certes, on préférerait tous en manger tous les jours du chef d'oeuvre, mais des films honnêtes et agréables faute d'être ambitieux et fulgurants, en ces temps, c'est déjà très bien...
    Ciné2909
    Ciné2909

    69 abonnés 1 638 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 août 2012
    Après les favelas brésiliens ou avoir plongé le monde dans le noir, Fernando Meirelles s’essaye maintenant au film choral en adaptant la pièce de théâtre La ronde d’Arthur Schnitzler. Ce sont donc une petite dizaine de personnages qui nous sont présenté seulement chacun ne va pas avoir droit au même traitement. Si 360 développe certaines histoires, il en délaisse aussi d’autres comme celles du couple Jude Law / Rachel Weisz ou encore l’aventure de notre cher Jamel Debbouze. Un déséquilibre plutôt étrange associé à des portraits peu captivants (le seul intéressant étant celui de Tyler) font qu’on a là un résultat décevant qui ne déchainera pas les passions dans les salles obscures.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 13 août 2012
    Casting de folie pour un film totalement désincarné. C'est ce qu'on appelle jeter l'argent par les fenêtres...
    nikolazh
    nikolazh

    60 abonnés 1 060 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 9 août 2012
    Apres un début de carrière sur les chapeaux de roues, et des films au scénario ambitieux, on est étonné de retrouver Meirelles au commande de cette adaptation. Si on retrouve la pâte visuelle de l'auteur et son amour pour les portraits de personnages, on s'étonne devant la maigreur du scénario et le désintérêt total de ces portraits. Un film absolument sans aucun intérêt, d'autant plus frustrant qu'il y avait là une belle brochette d'acteurs.
    Kinopoivre
    Kinopoivre

    29 abonnés 200 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 août 2012
    Le nombre 360, s’il exprime des degrés, suggère un tour complet. C’est ce que confirme le dossier de presse, qui rappelle que le scénariste s’est inspiré de la pièce "Reigen", d’Arthur Schnitzler. D’ailleurs, une scène du film montre deux personnages faisant en voiture le tour du Ring, célèbre avenue circulaire de Vienne, or Schnitzler est natif de cette ville. Il y eut aussi le film "La ronde", de Max Ophüls, qui a illustré le thème : A rencontre B, B rencontre C, et ainsi de suite, I rencontre J, et J... rencontre A, ce qui boucle la boucle. Thème inusable au cinéma, car il autorise toutes les variations, il suffit de changer les personnages. Cela dit, et en dépit d’une réalisation classique et qui ne démérite pas, le film n’est pas à la hauteur du film d’Ophüls, lequel tenait par son style (et aussi sa musique). Avec "360", l’histoire ne suit pas le canevas linéaire, part dans toutes les directions, les personnages reviennent au lieu de disparaître, et donc le scénario ôte son sens au concept de base. Ne reste que les histoires, or tous les personnages, non seulement sont inégalement intéressants, mais ne restent pas, pour certains, assez longtemps à l’écran pour nous accrocher un peu (je pense à ce photographe brésilien, qui passe en coup de vent et ne sert qu’à introduire dans la chaîne l’épouse qu’il trompe). Autre inconvénient, Jamel Debbouze est aussi crédible en dentiste qu’il l’était en lanceur de grenades dans "Indigènes" ! Il faut dire que son personnage ne tient pas une seconde : musulman et amoureux de son assistante, il préfère la licencier pour ne pas succomber à la tentation d’un adultère, puisqu’elle est mariée. Ben voyons ! Un époux musulman peut, lui, "licencier" son épouse, simplement en prononçant trois fois la formule "Je te répudie" (mais elle ne le peut pas).
    L'AlsacienParisien
    L'AlsacienParisien

    631 abonnés 1 403 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 août 2012
    "360", bien qu'adapté d'une pièce de théâtre, est la réplique même d'un film à la forme avantageuse et au casting friand mais qui, en fouillant plus, sonne creux et ne débouche finalement sur aucun rebondissement original. Fernando Meirelles (La Cité de Dieu, The Constant Gardener) propose une mise en scène chorale et omnisciente où l'écran n'hésite pas à se découper pour laisser transparaître les différents personnages disséminés aux quatre coins de la planète (Paris, Vienne, Bratislava, Moscou, Phoenix, Londres,...). Les acteurs sont doués et efficaces, allant des plus connus aux jeunes nouveaux, et constituent une série de petites histoires, qui, par les liens et les sentiments, s'encastrent l'une avec l'autre jusqu'à former un cercle répétitif, une histoire sans fin... C'est ici la contradiction première du film, c'est qu'il sert des scènes clichées et déjà-vue par des acteurs de hauts niveaux, et on se laisse tout de même surprendre lors de la découverte des liens qui les unie. Mais les sentiments sont une redite remâchée et ne trouvent pas de saveur émotionnelle auprès du spectateur. Jude Law et Rachel Weisz dans le rôle d'un couple bourgeois qui cherche du réconfort ailleurs mais qui se tiennent aux conventions du mariage, Jamel Debbouze (pour une fois sans bégaiement et autres tics, c'est beaucoup mieux) dans le rôle d'un dentiste musulman amoureux de sa collègue, Anthony Hopkins dans le rôle d'un père inconsolable et alcoolique ayant perdu sa fille et la retrouve via une inconnue rencontrée dans l'avion, les débuts d'une call-girl slovaque accompagnée par sa soeur sage comme une image (deux jeunes actrices très bonnes) et un délinquant sexuel remis en liberté (Ben Foster, absolument remarquable même si son rôle est très court). Les points de vue riches et les images dépareillées prouvent le talent du réalisateur. Les musiques, quasi omniprésentes, par contre, assomment notre intérêt et gâchent le tout à la forme intéressante. Le scénario amorce donc des situations qui aiguisent le suspense, mais qui, en fin de compte, ne débouchent sur rien de spécial et laissent le spectateur sans connaissance de fin ; le segment de Jamel Debbouze, par exemple, se finit bêtement et là où on ne s'y attend pas. Sa manque de surprises et d'émotions, sinon, c'est sûr, "360" se serait inscrit à côté de la qualité de "Collision".
    Hakim1976
    Hakim1976

    94 abonnés 352 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 août 2012
    Même si le film porte très bien son nom en réussissant à passer le témoin de rôle en rôle et cela en faisant un tour complet à 360 degrés via divers pays (Paris, Londres, Vienne, Bratislava...), il n'en reste pas moins très mou et maladroit. Ce qui rend ce long métrage sans intérêt même si le message, qu'il veut faire porter, reste tout de même symbolique. On y trouve cependant des moments forts et touchants mais on les oublie assez vite tellement on ressort assez facilement du contexte scénaristique mettant en situation chacun des acteurs de ce très grand casting dont le nombre aurait pu être divisé par 2...
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 6 août 2012
    Idée de film intéressante. Manque un peu de rythme. La trame de fond est bonne mais peu exploitée. Peut mieux faire.
    ERIK09
    ERIK09

    7 abonnés 12 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 6 août 2012
    Djamel Debouze c'est une cata ce mec!Il détruit ce film qui est pas mal du tout .Comment est-il arrivé dans ce film?Il a du payer cher pour etre accepté à côté de tous ces acteurs confirmés.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 6 août 2012
    Vous avez beaucoup de mal a savoir ce que l'on veut montrer dans ce film . L'histoire ne vous accroche pas , les personnages non plus. le film montre trop de clichés . Film sans intérêt.
    annereporter94
    annereporter94

    49 abonnés 1 006 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 août 2012
    Comme "Jane Eyre", sorti le même jour, voici une nouvelle adaptation d'un roman-culte et là, j'avoue avoir été surprise plutôt agréablement. L'internationalisation du scénario fait que l'on passe non seulement d'une histoire à l'autre, mais d'un pays à l'autre... et c'est réussi avec une pléiade d'acteurs excellents même si certains ont des rôles bien modestes...
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 196 abonnés 7 501 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 août 2012
    Énième adaptation du roman "La Ronde" écrit par Arthur Schnitzler (en 1897). Cette fois-ci, c’est au tour du cinéaste Brésilien de s’atteler à cette transposition sur grand écran et force est de constater que même un réalisateur talentueux (La cité de Dieu - 2002 & The Constant Gardener - 2005) peut encore nous décevoir. En effet, qu’est-ce que 360 (2012) à part son défilé de stars à la distribution (Jude Law, Rachel Weisz, Anthony Hopkins, Ben Foster, Jamel Debbouze & Moritz Bleibtreu). Près de 120 minutes durant lesquelles le cinéaste ne cessera de brasser du vent en mettant en scène des saynètes plus ou moins inutiles (notamment celle avec Jamel Debbouze). Cependant, là où nous aurons eu l’impression de ne pas avoir fait le déplacement pour rien, c’est grâce à l’histoire réunissant Maria Flor & Ben Foster (en délinquant sexuel), ainsi que Anthony Hopkins (qui nous offre un magnifique et émouvant monologue chez les Alcooliques Anonymes). Au final, de la part d’un tel réalisateur, on en attendait davantage, dommage.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 3 août 2012
    Quelle déception!!!! Heureusement que les acteurs étaient la pour remonter ce film car d'un plat absolut , je me suis profondément ennuyée.
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