Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Ouest France
par La rédaction
La mécanique est bien huilée, d'une ville à l'autre, à travers la planète. Elle emboîte les pas d'interprètes inspirés qui parviennent à installer tension, glamour, suspense ou fièvre dans des situations d'une force parfois inégale.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Ecran Large
par Laurent Pécha
Le piège du film choral : frustrer le spectateur avec certains segments peu ou trop présents. Malgré un certain brio, Meirelles finit par tomber dedans.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Express
par Julien Welter
Même s'il est un brin factice pour convaincre, ce film choral a de jolis moments.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
La Croix
par Arnaud Schwartz
Les grincheux pourront toujours prétendre que "360" est menacé par un excès de bons sentiments ou une ambition trop " globalisante " à l'universalisme un peu aseptisé. On peut aussi choisir de se laisser emmener par ces parcours de vie, entre fautes et tentatives de maîtrise, monde intérieur et altérité, contingences et exercice délicat de la liberté individuelle
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
À l'aune d'une mondialisation qui se mêle de tout, y compris de nos rapports les plus intimes, cela donne"360", une fresque internationale. Et beaucoup (trop) de scènes d'aéroport, d'hôtel ou de voiture, soulignant parfois lourdement ces destinées en transit.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Hubert Lizé
Son casting exceptionnel et la justesse des sentiments explorés confèrent un charme réel à ce périple désenchanté — qui rappelle par certains aspects le "Night on Earth" de Jim Jarmusch.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Guillaume Tion
Dans son ensemble, la ronde "360" sursignifiante s'apparente à une quête impossible de l'amour, appliquée et vaine, verrouillée selon les standards de série A. Au gré de la balade, la somme de travail présente quand même de bons moments à picorer.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Isabelle Danel
Ce film choral aux personnages pléthoriques reliés par le sexe, le hasard et la volonté du scénariste est une belle enveloppe qui sonne parfois creux. Trop d'artifices et de clichés en noient l'intérêt (...). Reste la grandeur des acteurs, qui fait parfois la différence.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Clément Sautet
Voir le site de Studio Ciné Live
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Frédéric Strauss
Capable de donner au moindre plan une grande force visuelle, [le réalisateur] aime aussi être au plus proche de ses comédiens. Il en dirige ici d'excellents (...). Ces talents concertés finissent par faire exister des personnages qu'une fragilité universelle réunit. (...) En les regardant avec générosité, Meirelles les rend vrais et touchants.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Excessif
par Romain Le Vern
Fernando Meirelles (...) signe avec "360" son film le plus dense. (...) C'est aussi son film le plus faible. (...) Cette fresque polyphonique scénarisée par Peter Morgan paraît terriblement artificielle. (...) Si "360" vaut le coup d'oeil, c'est à la rigueur pour ses qualités techniques.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Les Fiches du Cinéma
par Isabelle Boudet
Fable inégale sur l'amour et la destinée, le nouveau Meirelles fait oublier le mauvais "Blindness", mais tourne souvent à vide.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Paris Match
par Alain Spira
On attendait une partition plus violente, plus rock'n'roll, plus viscérale, et [le réalisateur] nous sert une petite musique de chambre d'hôtel, sans fausses notes cinématographiques, mais aussi sans ce rythme qui fait la différence.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télé 7 Jours
par Philippe Ross
Meirelles ("La Cité de Dieu") entremêle des destinées sans nous transporter totalement. Musique appuyée, intrigues inutiles : l'intérêt du spectateur varie au gré de ces amours dotées d'un enivrant casting international.
TéléCinéObs
par Sophie Grassin
Fernando Meirelles ("La Cité de Dieu") adapte librement "La Ronde", d'Arthur Schnitzler, et s'applique à condenser au maximum chacune de ses histoires, les amputant au passage de leur subtilité et de leur profondeur.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Azalbert
Meirelles fait porter à la pièce le regard moralisateur et réactionnaire qui est le sien sur le couple, l'adultère et la prostitution. On est bien sûr davantage du côté de "Desperate Housewives" que de celui de Max Ophüls.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Les coïncidences qui mènent les héros de "360" à se croiser n'apparaissent que comme des facilités d'écriture, dont le film ne tire pas grand-chose.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Positif
par Jean-Dominique Nuttens
Les personnages sont dépourvus d'épaisseur, réduits qu'ils sont à leur "problème" amoureux ou sexuels, les situations sont légèrement scabreuses, mais juste ce qu'il faut pour faire un peu d'épate, les spectateurs ne sont souvent que des voyeurs.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Ouest France
La mécanique est bien huilée, d'une ville à l'autre, à travers la planète. Elle emboîte les pas d'interprètes inspirés qui parviennent à installer tension, glamour, suspense ou fièvre dans des situations d'une force parfois inégale.
Ecran Large
Le piège du film choral : frustrer le spectateur avec certains segments peu ou trop présents. Malgré un certain brio, Meirelles finit par tomber dedans.
L'Express
Même s'il est un brin factice pour convaincre, ce film choral a de jolis moments.
La Croix
Les grincheux pourront toujours prétendre que "360" est menacé par un excès de bons sentiments ou une ambition trop " globalisante " à l'universalisme un peu aseptisé. On peut aussi choisir de se laisser emmener par ces parcours de vie, entre fautes et tentatives de maîtrise, monde intérieur et altérité, contingences et exercice délicat de la liberté individuelle
Le Journal du Dimanche
À l'aune d'une mondialisation qui se mêle de tout, y compris de nos rapports les plus intimes, cela donne"360", une fresque internationale. Et beaucoup (trop) de scènes d'aéroport, d'hôtel ou de voiture, soulignant parfois lourdement ces destinées en transit.
Le Parisien
Son casting exceptionnel et la justesse des sentiments explorés confèrent un charme réel à ce périple désenchanté — qui rappelle par certains aspects le "Night on Earth" de Jim Jarmusch.
Libération
Dans son ensemble, la ronde "360" sursignifiante s'apparente à une quête impossible de l'amour, appliquée et vaine, verrouillée selon les standards de série A. Au gré de la balade, la somme de travail présente quand même de bons moments à picorer.
Première
Ce film choral aux personnages pléthoriques reliés par le sexe, le hasard et la volonté du scénariste est une belle enveloppe qui sonne parfois creux. Trop d'artifices et de clichés en noient l'intérêt (...). Reste la grandeur des acteurs, qui fait parfois la différence.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live
Télérama
Capable de donner au moindre plan une grande force visuelle, [le réalisateur] aime aussi être au plus proche de ses comédiens. Il en dirige ici d'excellents (...). Ces talents concertés finissent par faire exister des personnages qu'une fragilité universelle réunit. (...) En les regardant avec générosité, Meirelles les rend vrais et touchants.
Excessif
Fernando Meirelles (...) signe avec "360" son film le plus dense. (...) C'est aussi son film le plus faible. (...) Cette fresque polyphonique scénarisée par Peter Morgan paraît terriblement artificielle. (...) Si "360" vaut le coup d'oeil, c'est à la rigueur pour ses qualités techniques.
Les Fiches du Cinéma
Fable inégale sur l'amour et la destinée, le nouveau Meirelles fait oublier le mauvais "Blindness", mais tourne souvent à vide.
Paris Match
On attendait une partition plus violente, plus rock'n'roll, plus viscérale, et [le réalisateur] nous sert une petite musique de chambre d'hôtel, sans fausses notes cinématographiques, mais aussi sans ce rythme qui fait la différence.
Télé 7 Jours
Meirelles ("La Cité de Dieu") entremêle des destinées sans nous transporter totalement. Musique appuyée, intrigues inutiles : l'intérêt du spectateur varie au gré de ces amours dotées d'un enivrant casting international.
TéléCinéObs
Fernando Meirelles ("La Cité de Dieu") adapte librement "La Ronde", d'Arthur Schnitzler, et s'applique à condenser au maximum chacune de ses histoires, les amputant au passage de leur subtilité et de leur profondeur.
Cahiers du Cinéma
Meirelles fait porter à la pièce le regard moralisateur et réactionnaire qui est le sien sur le couple, l'adultère et la prostitution. On est bien sûr davantage du côté de "Desperate Housewives" que de celui de Max Ophüls.
CinemaTeaser
Les coïncidences qui mènent les héros de "360" à se croiser n'apparaissent que comme des facilités d'écriture, dont le film ne tire pas grand-chose.
Positif
Les personnages sont dépourvus d'épaisseur, réduits qu'ils sont à leur "problème" amoureux ou sexuels, les situations sont légèrement scabreuses, mais juste ce qu'il faut pour faire un peu d'épate, les spectateurs ne sont souvent que des voyeurs.