Presque 10 ans après, cette comédie marche toujours aussi bien. Elle aborde des thèmes pas simples dont le don de sperme et la famille plus globalement. Le québécois fait peur lors des premières minutes, mais il n'y a pas d'argot, cela reste donc très compréhensible. Le message est certes sur la famille, mais va encore plus loin que ça. C'est un message sur la vie. Pourquoi ne faire du bien qu'autour de ses proches ? Pourquoi ne pas aussi aider les autres ? Si "Starbuck" fait le bien autour de ses enfants, on sent quand même la volonté derrière de Ken Scott qui donne un message empathique sur la vie. Peut-être un peu niais sur les bords et une fin prévisible, mais on ne lui demande pas d'être extravagant.
Quelle idée saugrenue que sont les remakes par la même mise en scène ? Les séquences et dialogues sont similaires, des répliques de personnage, tel David Wosniak, le Canada 🇨🇦nouvelle terre à explorer avant la prochaine. Les États-Unis vous voilà qui eurent l’idée jouable de re-préparée la sauce barbecue plat poutine pommes de terre huile de tournesol oméga frit frites graisse saturée French fries cheddar viande hachée bacon, miam miam......
Vince Vaughn nice great actor Patrick Huard jolie excellent acteur ! Il est itinérant nomade dans l’âme, à l’image de sa famille icône Sainte-Anne-de-Beaupré, touchant de sincèrement, par la simplicité douce dans l’interprétation sur son environnement canadien. On en a juste des larmes coulantes, petite rivière grand pont construit élévation gratte-ciel, des choses fictives qui ne seraient visibles qu’en Amérique du Nord, arctique banquise pôle auréole boréale couché d’ozone, contrée contraste espacée large horizon verticale vertigineuse, le souffle oxygéné.
Vous voyez la compréhension mutuelle linguistique tour de Babel idiome dialecte patois régional belle province qu’est-ce délicieux parlé musical chantonné à part entière ? Du dépaysement culturel ramené des bois canadiens pendant 1h49 !?..... Hein........ on comprend, cette réalisation nous a servi la soupe à la guimauve fakir international voyageur Londres-Paris Ken Scott, salle obscure éteinte aveugle puisse interaction lumière allumée voyante se révèle dans ce film révélation 2011.
Starbucks café tea milk muffins cookies donuts cheesecake bretzel Apple pie wrap sandwich subway 2013, alors l’anglicanisme explorateur américanisé chez les caribous, puisé de l’érable feuille sirop, une touche de clavier de piano. Des cordes de guitare d’amertume et d’humour sur ce don de sperme prolifique qui n’eu pô chômé, bô travail David au pot à la banque clinique ! La famille canadienne possède le meilleur père ever rencontré, seul 30% a envie de savoir qui est l’anonyme Starbuck delivery man.
Who is ce remue-ménage une à intrigue perverse sex comedy au niveau, la décision de justice faite au patrimoine génétique paternaliste infantilisante ADN, l’entreprise société multinationale américaine détienne les droits. De possédée ce nom dénominateur fédérale subdivision état monarchie constitutionnelle parlementaire, à ne pas confondre les marques déposées célèbres et riches.
Un trentenaire découvre qu'il a plus de 500 enfants...
Un magnifique film sur la paternité. C'est beau et drôle en même temps. Les plans fixes sont magnifiques, les dialogues bons et si on n'est pas allergique au québécois, on passe un grand moment.
Comédie sympathique, drôle, originale, mais qui dilue un sujet de fond intéressant dans un flot de bons sentiments et d'une niaiserie insupportable. On peut faire une comédie drôle, intelligente qui fait réfléchir. Encore faut-il en prendre le risque. Ici, tout est superficiel, rien ne questionne sur les dons de sperme que ce soit sous un prisme politique, social ou individuel. Reste les acteurs attachants, dans la bonne humeur et souvent justes dans les moments plus émotionnels, qui rendent le visionnage plaisant.
Ce film est beaucoup trop long à mon goût mais "whatever" comme on dit au Québec, l'histoire est touchante, les acteurs convaincants et ils apportent de la fraîcheur à l'ensemble.
Une belle surprise ! Film charmant et drôlement généreux ... Il y a de l'humour et de l'humanité. Scénario bien construit et l'idée directrice est originale. Ce film m'a apporté beaucoup de plaisirs.
Starbuck c’est le super héros du Canada ! D’une histoire improbable ressort une incroyable fable de la paternité et du passage à l’âge adulte. À vous émouvoir et vous faire rire aux larmes.
Coup de cœur ! Le film est drôle, émouvant, original. Malgré son sujet tendancieux le film ne tombe jamais dans le graveleux ni même a l'inverse dans la mièvrerie ou le sentimentalisme et pourtant c'est super émouvant. On pense en voyant ce film à full monty, little miss sunshine ou juno pour son style social-comédie. Les personnages sont tous très bien écrits et l'acteur principal est terriblement attachant. A voir c'est un bijoux !!
Une fois qu'on s'habitue à tendre l'oreille pour passer cette "barrière de l'accent", je n'ai qu'une chose à dire: quel film excellent, autant sur le fond que sur la forme! Les répliques et les situations font mouche, et sont parfaitement équilibré avec des passages touchants. Ce film est à la fois très amusant et touchant. Les pertes de rythme sont quasi inexistantes, et on regrette presque que chacun des 544 enfants ne soient pas développés, tant chacune des relations père-enfant traitées sont intelligentes et sonnent justes.
une jolie surprise que ce Starbuck. d'abord improbable par son personnage central en marge, son humour décalé. puis, le scénario se révèle touchant, jusqu'au final plein d'humanité.
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3,5
Publiée le 15 novembre 2017
Savoir qui on est ou quelles sont ses origines quand la naissance est en partie un mystère ? Voilà un sujet qui pose de multiples questions! Dèlicieuse comèdie quèbecquoise qui nous raconte les mèsaventures d'un quadragènaire à la vie un peu compliquèe qui, au moment de devenir papa, va dècouvrir qu'il est le gèniteur de 533 enfants! Rien que ça! En effet, pour gagner sa vie, David Wosniak a (à de multiples reprises) donner son sperme à un laboratoire! Formidable, Patrick Huard joue constamment vrai dans une comèdie qui vous fera rire et en même temps rèflèchir au secret des origines! Finalement, est-ce qu'on peut dire que la loi, les règles, sont les mêmes qu'on soit nè sous X ou par don de gamètes ? Non, il y a èvidemment concertation de donnèes sur la femme qui accouche sous x ; il y a possibilitè de demander accès à des donnèes non identifiant et de demander à rentrer en contact avec la femme qui a accouchèe sous x! Celle-ci peut d'ailleurs y consentir ou peut ne pas y consentir! Le film nous fait savoir que l'on devient un homme que quand on est père mais on peut rèussir une vie absolument èblouissante sans être père! il n'empêche que devenir papa est une expèrience personnelle qui peut-être inouïe (message personnel). Bref, "Starbuck", c'est du cinèma quècbecquois comme on aime...
Le cinéma québécois réserve rarement de mauvaises surprises mais plutôt des sujets surprenants pour nous autres français dont le cinéma subventionné est devenu depuis quelques décennies beaucoup plus convenu et sans aspérité. Ken Scott, artiste protéiforme tout à la fois acteur, humoriste, scénariste et réalisateur a tapé dans le mille avec cette comédie qui a eu le droit à trois remakes en moins de deux ans dont un à Hollywood réalisé par lui-même. Nous éviterons par charité d'évoquer le remake français. Personne n'y avait jamais pensé mais le don de sperme peut fournir un véritable sujet de comédie à partir de l'idée simple mais saugrenue que l'ensemble des enfants conçus à partir de la semence d'un seul des donneurs prennent l'initiative de se regrouper pour attaquer la banque du sperme afin d'obtenir une recherche en paternité. C'est exactement ce qu'il arrive au pauvre David Wozniak (Patrick Huard), fils d'un boucher industriel mais aussi éternel looser sympathique qui dans sa jeunesse a fait généreusement don de son sperme en échange d'espèces sonnantes et trébuchantes. En moins d'un quart d'heure, Ken Scott et Martin Petit (scénariste) brossent de la plus belle manière la situation. Efficacement mis en condition, le spectateur se délecte à l'idée de savoir comment le pauvre David dit "Starbuck" (le nom d'emprunt que lui a trouvé la clinique qui utilisait ses services en rapport avec un taureau de race Holstein très célèbre dans les années 80 et 90 pour sa fécondité) va pouvoir faire face à un tel afflux d'enfants (533 exactement). Lui qui était en quête de pouvoir enfin assumer ses responsabilités va être servi. Si les gags sont nombreux et les personnages secondaires sympathiques, le film ne se prive pas au passage de nous rappeler quelques vérités toutes simples comme celle qui veut que l'instinct de paternité puisse gagner n'importe qui, même un donneur multiple dès l'instant où l'anonymat est rompu. Charge émotionnelle dont se débrouille fort bien David qui comprend très vite qu'à défaut de pouvoir être le père de chacun, il pourra être une sorte d'ange gardien pour ceux qui comme lui ont du mal à se faire un chemin. Cette très belle idée qui va faire grandir David et lui permettre d'entrer enfin dans sa vie d'adulte avec à la clef une paternité choisie, délivre un parfum qui rappelle les grandes comédies romantiques de Frank Capra, Ernst Lubitsch ou Henry Koster. Mais il convient de rappeler que la réussite d'une telle comédie n'est possible qu'avec le naturel des comédiens, avec ici une mention spéciale pour Patrick Huard et Antoine Bertrand l'avocat de Starbuck qui rendent toutes les situations comiques comme émouvantes crédibles. Une qualité qui en sus d'un accent très particulier rend le cinéma québécois si rafraîchissant. Pour s'en convaincre il suffit de regarder le remake français renommé "Fonzy" (2012) où un José Garcia mal secondé rame pour sauver les meubles.
un bon moment en perpective une idee originale pour un très bon film un scenario plus qu intéressant et pour ma part bien réalise des acteurs attachants un très bon divertissement pour ma part Merci