Avis : Starbuck - Page 5

Très bonne comédie canadienne, drôle et touchant à la fois. Sous-titre indispensable :)

Je recommande de voir ce film, on passe un très bon moment et il y a beaucoup d'émotions dans ce que l'on voit à l'écran...Allez y vous ne regretterez pas.

Très Bonne comédie venant tout droit du Québec. Drôle et attachant dans son ensemble. Je conseille vivement...

Film agréable à regarder : scénario original, de l'émotion, et un peu d'humour (même si je n'ai jamais ri). Je m'attendais a mieux au vue des critiques, mais bon film dans l'ensemble.

La encore je ne comprend pas réellement le succès de ce film. Effectivement le scénario attire , il a déja tout d'une bonne comédie dramatique. En profondeur il sagit tout de meme d'un quebecois qui a donné son sperme, et qui des années plus tard apprend que son sperme excellent a donné naissance a 533 enfants qui reveraient de renconter leur père. Bon à la vue du topo, j'y prend du recul , au début ce que je vois me plait, il propose une situation extraordinaire et l'illustre pendant tout le film : " comment se fait la rencontre entre lui et ses enfants " " que ressent le David Wosniak qui se retrouve avec 533 gosses alors qu'il ne s'était juste branlé pour gagner de l'argent " " est ce reellement possible" A la dernière question aucun septicisme, non. Et c'est immediatement non quand on remarque la veritable credibilité du scénario. Car la tout est idéalisé comme dans le meilleur des mondes. Il s'organise quelque rencontre surprises avec ses enfants qui ont deja grandi, tous aussi différents les uns que les autres, ils le prennent tous aussi bien qu'un inconnu dans leur vie vienne revendiquer d'etre leur père ce qu'ils cherchent tous bizarrement. Le film prend trop vite une tournure trop Happy et le bonheur parfois ça pue dans le cinéma. Enfin je n'ai rien contre les films qui sont dans une optique joyeuse pour donner le smile au spectateur seulement la c'est beaucoup de trop. Et puis tout est exagérée La célébrité du personnage est ultra-exagérée, le repas avec tout ses enfants qui relève de l'impossible est exagéré , pourquoi tant de bonté et d'idiocratie québecoise reunie combinée fusionnée dans un meme film ?

déçu par le scénario tiré par les cheveux. Aurait fait plutôt un téléfilm correct plein de bonnes intentions...

Les préférences, les références ou les chefs d'œuvres ne sont pas forcement issus des vieux greniers !
Starbuck est une de ces rares trouvailles, qui une fois vu, nous font pleinement savourer les nouvelles vagues du Cinéma ! Original, touchant, drôle, et sensiblement vivant, Starbuck amène comme par magie une parfaite corrélation des genres, concoctant ainsi une histoire fabuleuse, incontestablement irrésistible ! Le 7e art a plus d'un tour dans son sac, Starbuck est tout simplement une des 10 merveilles de mon répertoires cinématographiques.

Le cinéma québécois réserve rarement de mauvaises surprises mais plutôt des sujets surprenants pour nous autres français dont le cinéma subventionné est devenu depuis quelques décennies beaucoup plus convenu et sans aspérité. Ken Scott, artiste protéiforme tout à la fois acteur, humoriste, scénariste et réalisateur a tapé dans le mille avec cette comédie qui a eu le droit à trois remakes en moins de deux ans dont un à Hollywood réalisé par lui-même. Nous éviterons par charité d'évoquer le remake français. Personne n'y avait jamais pensé mais le don de sperme peut fournir un véritable sujet de comédie à partir de l'idée simple mais saugrenue que l'ensemble des enfants conçus à partir de la semence d'un seul des donneurs prennent l'initiative de se regrouper pour attaquer la banque du sperme afin d'obtenir une recherche en paternité. C'est exactement ce qu'il arrive au pauvre David Wozniak (Patrick Huard), fils d'un boucher industriel mais aussi éternel looser sympathique qui dans sa jeunesse a fait généreusement don de son sperme en échange d'espèces sonnantes et trébuchantes. En moins d'un quart d'heure, Ken Scott et Martin Petit (scénariste) brossent de la plus belle manière la situation. Efficacement mis en condition, le spectateur se délecte à l'idée de savoir comment le pauvre David dit "Starbuck" (le nom d'emprunt que lui a trouvé la clinique qui utilisait ses services en rapport avec un taureau de race Holstein très célèbre dans les années 80 et 90 pour sa fécondité) va pouvoir faire face à un tel afflux d'enfants (533 exactement). Lui qui était en quête de pouvoir enfin assumer ses responsabilités va être servi. Si les gags sont nombreux et les personnages secondaires sympathiques, le film ne se prive pas au passage de nous rappeler quelques vérités toutes simples comme celle qui veut que l'instinct de paternité puisse gagner n'importe qui, même un donneur multiple dès l'instant où l'anonymat est rompu. Charge émotionnelle dont se débrouille fort bien David qui comprend très vite qu'à défaut de pouvoir être le père de chacun, il pourra être une sorte d'ange gardien pour ceux qui comme lui ont du mal à se faire un chemin. Cette très belle idée qui va faire grandir David et lui permettre d'entrer enfin dans sa vie d'adulte avec à la clef une paternité choisie, délivre un parfum qui rappelle les grandes comédies romantiques de Frank Capra, Ernst Lubitsch ou Henry Koster. Mais il convient de rappeler que la réussite d'une telle comédie n'est possible qu'avec le naturel des comédiens, avec ici une mention spéciale pour Patrick Huard et Antoine Bertrand l'avocat de Starbuck qui rendent toutes les situations comiques comme émouvantes crédibles. Une qualité qui en sus d'un accent très particulier rend le cinéma québécois si rafraîchissant. Pour s'en convaincre il suffit de regarder le remake français renommé "Fonzy" (2012) où un José Garcia mal secondé rame pour sauver les meubles.

Un père en relation avec ses centaines d'enfants, procrée par l'intermédiaire d'une banque du sperme. Au bout d'une demi-heure j'ai commencé à m'ennuyé sérieusement et j'ai arrêté. 1 étoile et demie.

Une idée de départ intéressante et des acteurs sympathiques suffisent à rendre ce film agréable à suivre. L'ensemble demeure toutefois assez inégal, la faute à un scénario finalement plutôt basique et pas mal de remplissages qui frôlent parfois la mièvrerie. Le talent de Patrick Huard et une bande son efficace sont toutefois de vrais atouts !

D'abord essayé de voir "Starbuck" sous titrée parce que par moments c'est très compliqué de comprendre , néanmoins le film est vraiment agréable , il est souvent drôle mais je dirais surtout très émouvant et quand c'est bien fait et bah ça fait du bien . Mais je dois avouer que je m'attendais vu le pitch a quelque chose de plus corrosif .

Starbuck : On m’a vendu ça comme une comédie et bien, je n’ai pas forcement rigolé plus ça. Donc, du point de vue humour, les gags sont pas présent car le film a un coté assez sérieux, c’est plus les situations cocasses et absurdes qui pourrait faire sourire. Et venons maintenant a l’essentiel, puisque loin d’être une comédie, mais ce film a un scénario en béton. A la fois original, délirant et novateur, pour un drame, c’est vrai que on va de surprise en surprise. Car pour la petite histoire, c’est un homme qui dans ses jeunes années a donné de sa personne en donnant du sperme a une banque et la, il se retrouve avec plus de 500 enfants qui veulent le connaitre, c’est assez incroyable pour les enfants, pour lui, pour tout le monde et donc ils veulent que l’anonyme soit levé, mais lui, il va faire mieux et devenir leur ange gardiens en les aidants dans leur quotidien sans savoir qui sait et c’est point la, j’ai beaucoup apprécier et il y a donc pas mal de point d’émotion, ça passe très bien. Et il faut dire que le personnage est très attachants et intéressant a suive, il a une vraie personnalité et il aurait pu vite tomber dans le cliché. Après, ce film est Canadien et tout le film est en français/Québec sous titré, 90 pourcent est en français mais c’est assez déroutant au début de suive et de s’adapter a cette accent et langage, et ça pourrait en perturbé plus d’un mais on s’y fait vite. Après, pour le coté pas humour, il faut dire que comme je vous disais, le ton est sérieux et aussi, le personnage a des sacrés problèmes financier donc c’est pour ça que le film est aussi plus dramatique que comique. Sinon, les acteurs sont tous crédibles et convaincants, rien à dire. Donc voila, un film original, frais, bien pensé donc c’est une bonne surprise.

Film magnifique! Décidemment le cinéma canadien recèle de belles pépites comme Starbuck, je suis définitivement fan du style québecois! Ne vous fiez pas uniquement au caractère humoristique de la bande annonce, il est beaucoup plus profond que ca! Un de mes films préférés !!!

A l'ère des familles multi-recomposées, un nouvel (anti)-héros bien de notre époque : David Wosniak. Inspiré d'une histoire vraie, situation cocasse, dialogues mitonnées, acteurs excellents, une ode compatissante au rôle du père, à la responsabilité qui en découle. Drole (il faut rencontrer ses progénitures sans réveler son identité), capable d'instants mélancoliques par moment (l'envie de faire plus et mieux, enfants en difficultés), malgré un final trop sentimental, une petite perle ce film canadien de Ken Scott.

Derrière le modeste adolescent attardé de 42 ans, David Wosniak, se cache le géniteur de 533 enfants, Starbuck. Le premier va devenir père pour la première fois au moment même où le second apprend que ses enfants génétiques souhaitent intenter une procédure afin qu’il se dévoile. Ces 533 enfants vont l’aider à affronter une paternité à venir à laquelle il n’est pas préparé.
Le démarrage du film est de bonne facture avec une succession de saynètes cocasses où Starbuck rencontre à leur insu certains de ses enfants biologiques ; dans un rôle d’ange gardien protecteur vis-à-vis de cette progéniture improbable. La mue de cet homme vers cette nouvelle paternité est sympathique à suivre. Les situations sont souvent drôle et les répliques fleurie made in Québec, souvent très imagées, nous tirent fréquemment un sourire. Oui mais derrière une idée originale irrésistible finit par émerger un film grand public dégoulinant de bons sentiments. Canadien, québécois ; ils finissent par tomber dans les travers insupportables de leurs cousins nord américains. Quel dommage ! Un tel sujet méritait mieux que ce final écoeurant et moralisateur.
Cahier du Cinéma : « Ce feel good movie québécois néglige malheureusement assez vite son propre potentiel et s'interdit aussi bien d'aller vers la satire que vers l'exploration des paradoxes sentimentaux motivant ses divers protagonistes. »
Et pour moi c’est rédhibitoire… Je ne conseille pas