Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
L'Humanité
par Vincent Ostria
Suivant les traces de l'auteur de "Playtime", Pascal Rabaté a trouvé un dosage parfait entre candeur et dérision.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Express
par Christophe Carrière
La multiplication des situations de "Ni à vendre, ni à louer" autorise Pascal Rabaté à diversifier les cadres et à s'amuser des profondeurs de champ. C'est une récréation graphique, une invitation à la folie douce et à l'absurde.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Obs
par Pascal Mérigeau
(...) Il y a du Tati dans ce cinéma-là, que servent ici des comédiens très à leur affaire (...). Pas à vendre, donc, cette version talentueuse, ambitieuse et intelligente des "Camping" de sinistre mémoire, mais à louer, certainement.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaroscope
par Olivier Delcroix
Un petit bijou d'invention de 1 h 17' à déguster avant de partir en vacances.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Une histoire burlesque sans paroles que n'aurait pas renié Jacques Tati. (...) Semé d'idées et de gags, ce film est habité par un souci de légèreté qui s'adapte aux situations les plus graves.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Positif
par Ariane Allard
Son film a beau être d'un format vif et ramassé (1h17), ses personnages ont beau être bousculés par une tempête inopinée, c'est un sentiment de parenthèse et de temps suspendu qui prévaut tout le long.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Christophe Narbonne
Rabaté signe au final une comédie qui ne manque ni de poésie ni d'âme, photographie d'une France éternellement râleuse et pittoresque.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Lucie Calet
(...) Le film souffre de quelques faiblesses (l'épisode sado-maso, en particulier) mais parvient pour le reste à tisser une petite chronique vive (1 heure 17) et excellemment cadrée dont la tendresse, déjà patente dans "Les Petits Ruisseaux", chavire.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
20 Minutes
par Caroline Vié
Projet ambitieux, "Ni à vendre, ni à louer" ne manque pas de charme, mais souffre d'un défaut de structure perdant parfois le spectateur sur le chemin des vacances.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Le Journal du Dimanche
par Jean-Pierre Lacomme
D'abord ça intrigue; ensuite, ça amuse; enfin, ça séduit. (...) Bien sûr l'exercice a ses limites, et un léger sentiment de répétition peut parfois se faire sentir.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
voir lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
"Ni à vendre ni à louer" n'est ni à dézinguer ni à louer excessivement : c'est un bel exercice de style tatiesque, avec tous les charmes et les limites du genre.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par La Rédaction
(...) Ce film muet qui passe en revue les archétypes des vacanciers modernes fait preuve d'une férocité parfois salutaire.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Metro
par Jérôme Vermelin
Même s'il ne fait que frôler la folie douce du duo belge Abel & Gordon ("L'Iceberg"), maîtres modernes du burlesque ordinaire, Pascal Rabaté alterne les saynètes avec pas mal d'humour et de tendresse, soutenus par une bande originale bondissante et des comédiens au diapason.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Ouest France
par La rédaction
Il faut accepter de s'y laisser embarquer, parce que si on reste sur le bord du chemin, on n'y éprouvera que l'ennui et la fadeur.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Télérama
par Guillemette Odicino
Juste une succession d'instantanés de vacances, croqués avec plus ou moins d'inspiration. Certaines scènes ne dépassent pas le niveau d'un sketch de "Groland", d'autres, dans leur minimalisme même, dégagent une vraie poésie, une douce mélancolie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Julia Allouache
Si Tati était son maître, disons que Rabaté serait le bon élève zélé et ennuyeux que les profs ne supportent pas : trop sage, de bonne volonté mais sans volonté propre, définitivement sans personnalité.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Excessif
par Valérie Levilain
(...) Si Pascal Rabaté peut néanmoins compter sur les performances d'un brillant casting et qu'il nous arrive d'esquisser un sourire devant certains gags, "Ni à vendre, ni à louer" ne parvient pas à égaler la poésie et le génie de Jacques Tati, son illustre source d'inspiration.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Malgré une jolie distribution (Jacques Gamblin, Maria de Medeiros, François Morel, Dominique Pinon) et quelques saynètes poétiques, drôles ou émouvantes, le film ne parvient pas à tenir de bout en bout ses promesses.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Sans doute Tati s'attaquait-il dans la joie à un phénomène naissant dont Rabaté hérite de la déliquescence. Reste que ce qui manque dans "Ni à vendre, ni à louer", c'est encore l'essentiel: la science du rythme, la précision du gag, le trait incisif des personnages, l'enchaînement irrésistible des situations. Une vraie poétique en somme, plutôt qu'une suite drolatique de cartes postales.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
Voir le site de Studio Ciné Live
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Du burlesque " pouëtico-pouëtique " sous cloche, une bande-son grommeleuse et sans dialogues, un enfilage de gags "sam'suffit", un timing besogneux et une esthétique globale de court métrage à chute : "Ni à vendre, ni à louer" (...) est aux "Vacances de M. Hulot" ce que le minigolf est à St Andrews : une réduction kitsch et balisée.
L'Humanité
Suivant les traces de l'auteur de "Playtime", Pascal Rabaté a trouvé un dosage parfait entre candeur et dérision.
L'Express
La multiplication des situations de "Ni à vendre, ni à louer" autorise Pascal Rabaté à diversifier les cadres et à s'amuser des profondeurs de champ. C'est une récréation graphique, une invitation à la folie douce et à l'absurde.
L'Obs
(...) Il y a du Tati dans ce cinéma-là, que servent ici des comédiens très à leur affaire (...). Pas à vendre, donc, cette version talentueuse, ambitieuse et intelligente des "Camping" de sinistre mémoire, mais à louer, certainement.
Le Figaroscope
Un petit bijou d'invention de 1 h 17' à déguster avant de partir en vacances.
Le Parisien
Une histoire burlesque sans paroles que n'aurait pas renié Jacques Tati. (...) Semé d'idées et de gags, ce film est habité par un souci de légèreté qui s'adapte aux situations les plus graves.
Positif
Son film a beau être d'un format vif et ramassé (1h17), ses personnages ont beau être bousculés par une tempête inopinée, c'est un sentiment de parenthèse et de temps suspendu qui prévaut tout le long.
Première
Rabaté signe au final une comédie qui ne manque ni de poésie ni d'âme, photographie d'une France éternellement râleuse et pittoresque.
TéléCinéObs
(...) Le film souffre de quelques faiblesses (l'épisode sado-maso, en particulier) mais parvient pour le reste à tisser une petite chronique vive (1 heure 17) et excellemment cadrée dont la tendresse, déjà patente dans "Les Petits Ruisseaux", chavire.
20 Minutes
Projet ambitieux, "Ni à vendre, ni à louer" ne manque pas de charme, mais souffre d'un défaut de structure perdant parfois le spectateur sur le chemin des vacances.
Le Journal du Dimanche
D'abord ça intrigue; ensuite, ça amuse; enfin, ça séduit. (...) Bien sûr l'exercice a ses limites, et un léger sentiment de répétition peut parfois se faire sentir.
Le Point
voir lepoint.fr
Les Inrockuptibles
"Ni à vendre ni à louer" n'est ni à dézinguer ni à louer excessivement : c'est un bel exercice de style tatiesque, avec tous les charmes et les limites du genre.
Libération
(...) Ce film muet qui passe en revue les archétypes des vacanciers modernes fait preuve d'une férocité parfois salutaire.
Metro
Même s'il ne fait que frôler la folie douce du duo belge Abel & Gordon ("L'Iceberg"), maîtres modernes du burlesque ordinaire, Pascal Rabaté alterne les saynètes avec pas mal d'humour et de tendresse, soutenus par une bande originale bondissante et des comédiens au diapason.
Ouest France
Il faut accepter de s'y laisser embarquer, parce que si on reste sur le bord du chemin, on n'y éprouvera que l'ennui et la fadeur.
Télérama
Juste une succession d'instantanés de vacances, croqués avec plus ou moins d'inspiration. Certaines scènes ne dépassent pas le niveau d'un sketch de "Groland", d'autres, dans leur minimalisme même, dégagent une vraie poésie, une douce mélancolie.
Critikat.com
Si Tati était son maître, disons que Rabaté serait le bon élève zélé et ennuyeux que les profs ne supportent pas : trop sage, de bonne volonté mais sans volonté propre, définitivement sans personnalité.
Excessif
(...) Si Pascal Rabaté peut néanmoins compter sur les performances d'un brillant casting et qu'il nous arrive d'esquisser un sourire devant certains gags, "Ni à vendre, ni à louer" ne parvient pas à égaler la poésie et le génie de Jacques Tati, son illustre source d'inspiration.
La Croix
Malgré une jolie distribution (Jacques Gamblin, Maria de Medeiros, François Morel, Dominique Pinon) et quelques saynètes poétiques, drôles ou émouvantes, le film ne parvient pas à tenir de bout en bout ses promesses.
Le Monde
Sans doute Tati s'attaquait-il dans la joie à un phénomène naissant dont Rabaté hérite de la déliquescence. Reste que ce qui manque dans "Ni à vendre, ni à louer", c'est encore l'essentiel: la science du rythme, la précision du gag, le trait incisif des personnages, l'enchaînement irrésistible des situations. Une vraie poétique en somme, plutôt qu'une suite drolatique de cartes postales.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live
Cahiers du Cinéma
Du burlesque " pouëtico-pouëtique " sous cloche, une bande-son grommeleuse et sans dialogues, un enfilage de gags "sam'suffit", un timing besogneux et une esthétique globale de court métrage à chute : "Ni à vendre, ni à louer" (...) est aux "Vacances de M. Hulot" ce que le minigolf est à St Andrews : une réduction kitsch et balisée.